Avec cette ligne automne-hiver, le directeur artistique de Dior Homme a choisi de rendre hommage à l’héritage de Christian Dior, en revisitant la célèbre "Ligne H" de 1954-1955. Ce choix audacieux et réfléchi témoigne d’une volonté de réinterpréter les codes du passé tout en les adaptant à une esthétique contemporaine.
La "Ligne H", à l’époque, avait marqué une rupture dans l’univers de la mode féminine, proposant des silhouettes rectangulaires qui uniformisaient les épaules, la taille et les hanches. Kim Jones s’est inspiré de cette structure pour créer une collection masculine aux lignes épurées et graphiques.
"C’est l’idée d’un Dior très élégant, épuré et graphique, qui renvoie vraiment aux origines de la maison", a-t-il confié à la presse lors d’une rencontre en amont du défilé. Cette vision se traduit par des silhouettes structurées mais simples, où chaque pièce semble pensée pour sublimer le mouvement.
Les vestes de tailleur, par exemple, allongent le buste en s’appuyant sur les hanches, tandis que les pantalons prolongent harmonieusement cette ligne. Les manteaux, quant à eux, jouent avec les volumes : certains sont amples et ceinturés à la manière de kimonos, d’autres se transforment en véritables jupes. La palette monochrome, blanc immaculé, ivoire, rose pastel, ocre et noir ajoute une touche de sobriété et d’élégance intemporelle.
Kim Jones ne s’arrête pas là. Il explore également des textures variées avec des vestes en cuir beurré tout en rondeur, des blouses en satin ou encore des pulls qui imitent le décolleté d’une veste. Quelques pièces sont ornées de strass sur les épaules, évoquant subtilement une pluie scintillante. Les souliers, quant à eux, ne sont pas en reste : chaussures de ville et bottes en cuir arborent un embout en satin noué, un détail graphique qui reflète l’ensemble de la collection.
Le défilé a attiré des personnalités telles que Robert Pattinson, égérie de la marque, Kate Moss, Louis Garrel ou encore DJ Snake. Une fois encore, Dior Homme s’impose comme un laboratoire d’innovation et d’hommage au patrimoine.
La "Ligne H", à l’époque, avait marqué une rupture dans l’univers de la mode féminine, proposant des silhouettes rectangulaires qui uniformisaient les épaules, la taille et les hanches. Kim Jones s’est inspiré de cette structure pour créer une collection masculine aux lignes épurées et graphiques.
"C’est l’idée d’un Dior très élégant, épuré et graphique, qui renvoie vraiment aux origines de la maison", a-t-il confié à la presse lors d’une rencontre en amont du défilé. Cette vision se traduit par des silhouettes structurées mais simples, où chaque pièce semble pensée pour sublimer le mouvement.
Les vestes de tailleur, par exemple, allongent le buste en s’appuyant sur les hanches, tandis que les pantalons prolongent harmonieusement cette ligne. Les manteaux, quant à eux, jouent avec les volumes : certains sont amples et ceinturés à la manière de kimonos, d’autres se transforment en véritables jupes. La palette monochrome, blanc immaculé, ivoire, rose pastel, ocre et noir ajoute une touche de sobriété et d’élégance intemporelle.
Kim Jones ne s’arrête pas là. Il explore également des textures variées avec des vestes en cuir beurré tout en rondeur, des blouses en satin ou encore des pulls qui imitent le décolleté d’une veste. Quelques pièces sont ornées de strass sur les épaules, évoquant subtilement une pluie scintillante. Les souliers, quant à eux, ne sont pas en reste : chaussures de ville et bottes en cuir arborent un embout en satin noué, un détail graphique qui reflète l’ensemble de la collection.
Le défilé a attiré des personnalités telles que Robert Pattinson, égérie de la marque, Kate Moss, Louis Garrel ou encore DJ Snake. Une fois encore, Dior Homme s’impose comme un laboratoire d’innovation et d’hommage au patrimoine.