La ville de Kénitra a été secouée par un incident tragique ce week-end, alors que deux enfants ont perdu la vie après avoir été mordus par un chien enragé. Ce drame met en lumière un problème récurrent au Maroc : la gestion des chiens errants. Selon des témoignages, le chien errant, porteur de la rage, avait déjà été signalé à plusieurs reprises par les habitants du quartier, mais aucune action concrète n’avait été entreprise par les autorités locales.
Les morsures de chiens errants sont devenues un fléau dans plusieurs villes marocaines. En plus de représenter un danger immédiat pour les populations, ces animaux non vaccinés sont des vecteurs de la rage, une maladie virale mortelle si elle n’est pas traitée à temps. Selon les données du ministère de la Santé, plus de 400 cas de morsures par des chiens errants sont rapportés chaque année au Maroc, avec des zones rurales particulièrement touchées.
Cet incident tragique relance le débat sur la gestion des populations animales errantes. Plusieurs voix s'élèvent pour demander des solutions durables, comme des programmes de stérilisation et de vaccination massive des chiens errants. Cependant, des solutions plus radicales, telles que l’euthanasie systématique, sont également envisagées, bien que contestées par les associations de protection des animaux.
En comparaison, des pays comme l’Inde ont déjà mis en place des programmes de contrôle des populations de chiens errants, combinant stérilisation et vaccination, avec des résultats positifs sur la réduction des cas de rage. Le Maroc pourrait s'inspirer de ces modèles pour répondre à cette crise sanitaire grandissante.
Les morsures de chiens errants sont devenues un fléau dans plusieurs villes marocaines. En plus de représenter un danger immédiat pour les populations, ces animaux non vaccinés sont des vecteurs de la rage, une maladie virale mortelle si elle n’est pas traitée à temps. Selon les données du ministère de la Santé, plus de 400 cas de morsures par des chiens errants sont rapportés chaque année au Maroc, avec des zones rurales particulièrement touchées.
Cet incident tragique relance le débat sur la gestion des populations animales errantes. Plusieurs voix s'élèvent pour demander des solutions durables, comme des programmes de stérilisation et de vaccination massive des chiens errants. Cependant, des solutions plus radicales, telles que l’euthanasie systématique, sont également envisagées, bien que contestées par les associations de protection des animaux.
En comparaison, des pays comme l’Inde ont déjà mis en place des programmes de contrôle des populations de chiens errants, combinant stérilisation et vaccination, avec des résultats positifs sur la réduction des cas de rage. Le Maroc pourrait s'inspirer de ces modèles pour répondre à cette crise sanitaire grandissante.