Voyons donc, la vérité

Qui dit le mois de juin dit la saison des examens et surtout pour certains le moment du choix dur entre science ou littérature

Imaginons un dialogue entre ces deux personnes pour mieux comprendre les enjeux de ce choix impossible.
 
D'un côté, nous avons le littéraire, plongé dans les mondes imaginaires, bercé par les mots et les émotions.
 
Et de l'autre côté, nous avons le Scientifique, avide de découvertes et de vérité, cherchant à percer les mystères du monde
 
Le littéraire pourrait dire: " la littérature est la nourriture de l'âme, elle nous transporte dans des univers fantastiques, fait vibrer nos émotions et nous permet de voir le monde à travers les yeux des autres"
 
Mais le scientifique ne se laisse pas intimider et il répond : " la science est la clé du savoir, elle nous permet de comprendre les lois de l'univers, de résoudre des énigmes complexes et de contribuer au progrès de l'humanité. Rien n'est plus excitant que la quête de vérité et la découverte de nouvelles connaissances"

Franchement, les deux sont convaincants, mais est-il vraiment nécessaire de faire un choix aussi restrictif ?
Pourquoi ne pas fusionner les deux mondes et devenir un scientifique littéraire ou un littéraire scientifique ?

Imaginez un scientifique qui exprime ses découvertes avec poésie ou un écrivain qui s'inspire des avancées scientifiques pour créer des mondes encore plus captivants
 
Alors, plutôt que de vous déchirer entre le choix du littéraire ou du scientifique, pourquoi ne pas embrasser la richesse de ces deux mondes, après tout, la vie est trop courte pour se limiter à une seule facette de notre curiosité et de notre créativité
 
Donc, que vous soyez scientifiques ou littéraires vous êtes tous intelligents faites ce que vous aimez, mais souvenez-vous, vous pouvez être un littéraire et un scientifique à la fois! Faites preuve d'ouverture d'esprit, explorez tous les horizons et profitez de la magie de la littérature et de la logique de la science
 
C'est tout pour aujourd’hui, merci de nous avoir suivi, à la prochaine chronique toujours sur L’ODJ Média