Poème en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Je ne suis pas si bon, je soigne ma vertu,
Dans ce grand théâtre, chaque rôle est vécu.
Les mots que l'on choisit sont plumes enivrantes,
Bienveillance à semer sur nos routes errantes.
Parfois, je m'égare, le verbe devient froid,
Mais la plume s'élève, douce, je la revois.
Dépendance à l'élégance qui me blesse,
Je soigne le langage, écartant la tristesse.
Chaque mot est un fil, qui pourrait m'enchaîner,
Ou bien une passerelle vers un ciel apaisé.
Tant de doutes qui me rongent, des limites à poser,
Je me soigne doucement, les dépasse sans bronzer.
L'esprit se transforme, à chaque pas sur la route,
Je m'efforce de choisir la bienveillance en toute.
Le para-verbal, écho qui me dévoile,
Timbre et ton à affiner, douceur qu'il me voile.
Le "bonjour" frisé comme un frisbee lancé,
Se transforme en sourire, en chaleur partagée.
Une simple phrase, peut être un trésor caché,
Ou bien un écrin froid que nul ne veut toucher.
Je dépose mes mots, telle une pluie de fleurs,
Sur la route des autres, éveillant leurs cœurs.
La bienveillance s'élève, écho vibrant de vie,
Dans chaque sourire offert, une graine fleurit.
Peut-être que demain je serai plus adroit,
À choisir les mots qui résonnent avec moi.
Mais aujourd'hui je soigne mon art imparfait,
Pour répandre la paix, comme un rêve éveillé.
Je ne suis pas encore le plus bienveillant,
Mais je soigne ce verbe pour devenir aimant.
Soigner mes mots, soigner mes rêves,
Pour que chaque jour plus de lumière s'élève,
Semer la douceur au gré des vents,
Pour devenir enfin un être bienveillant.
Dans ce grand théâtre, chaque rôle est vécu.
Les mots que l'on choisit sont plumes enivrantes,
Bienveillance à semer sur nos routes errantes.
Parfois, je m'égare, le verbe devient froid,
Mais la plume s'élève, douce, je la revois.
Dépendance à l'élégance qui me blesse,
Je soigne le langage, écartant la tristesse.
Chaque mot est un fil, qui pourrait m'enchaîner,
Ou bien une passerelle vers un ciel apaisé.
Tant de doutes qui me rongent, des limites à poser,
Je me soigne doucement, les dépasse sans bronzer.
L'esprit se transforme, à chaque pas sur la route,
Je m'efforce de choisir la bienveillance en toute.
Le para-verbal, écho qui me dévoile,
Timbre et ton à affiner, douceur qu'il me voile.
Le "bonjour" frisé comme un frisbee lancé,
Se transforme en sourire, en chaleur partagée.
Une simple phrase, peut être un trésor caché,
Ou bien un écrin froid que nul ne veut toucher.
Je dépose mes mots, telle une pluie de fleurs,
Sur la route des autres, éveillant leurs cœurs.
La bienveillance s'élève, écho vibrant de vie,
Dans chaque sourire offert, une graine fleurit.
Peut-être que demain je serai plus adroit,
À choisir les mots qui résonnent avec moi.
Mais aujourd'hui je soigne mon art imparfait,
Pour répandre la paix, comme un rêve éveillé.
Je ne suis pas encore le plus bienveillant,
Mais je soigne ce verbe pour devenir aimant.
Soigner mes mots, soigner mes rêves,
Pour que chaque jour plus de lumière s'élève,
Semer la douceur au gré des vents,
Pour devenir enfin un être bienveillant.
Ce poème explore la quête personnelle de l'auteur pour devenir plus bienveillant.
Il se perçoit comme un acteur imparfait dans le théâtre de la vie, cherchant à transformer ses mots et ses actions pour répandre la bienveillance. Chaque mot est comparé à une plume ou une fleur, symbolisant la douceur et l'impact des paroles. L'auteur reconnaît ses erreurs et ses limites, mais s'efforce de les dépasser grâce à une communication positive. Le poème met l'accent sur l'importance du para-verbal, comme le ton de la voix et la gestuelle, pour renforcer le message bienveillant. Le refrain d'introduction et celui de conclusion encadrent cette transformation avec des vers courts et rythmés qui soulignent l'engagement de l'auteur à soigner son langage pour apporter la paix et l'amour autour de lui.