Poème en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Quand bien McKinsey se targue d’être grand,
Je pense et propose, moi aussi, vaillant.
Les maîtres des conseils vêtus de prestige,
N’ont que des mots vides d’écho et vertige.
Ils bâtissent des tours hautes de discours,
Mais moi, je dessine un chemin plus court.
Leur savoir éloquent, teinté de mystère,
N’éblouit qu’à peine mon humble lumière.
Dans leurs riches salons où le monde s’endort,
Je trace des lignes, loin du bruit, dehors.
La grandeur se cache sous leurs lourds manteaux,
Mais l’esprit se libère au creux de mes mots.
Là où l’or gouverne leur sagesse froide,
J’offre à mes pensées une âme plus chaude.
Si leurs solutions sont couvertes d'or fin,
Les miennes s’adaptent à chaque matin.
Leurs voix dictent l’ordre, du haut de leurs tours.
Moi, je construis sans bruit, là où tout résonne.
Ils vendent des rêves aux ministères endormis,
Mais je forge des ponts dans le cœur des vies.
Leurs stratégies sont brodées de grand art,
Quand ma plume dessine un plus simple regard.
Et quand leurs succès d’argent volent au vent,
Je tisse un labeur qui dure en vivant.
Ils peuvent clamer leurs fastes élancés,
Moi, je bâtis sur des solives pensés.
Tandis qu’ils chiffrent et qu’ils parlent sans fin,
Je laisse l’esprit cheminer, serein.
Leur gloire est un feu que l’ombre ravale,
Mais je propose, et mon savoir s’installe.
Quand bien McKinsey se croit sans égal,
Je pense et propose, libre, sans rival.
Je pense et propose, moi aussi, vaillant.
Les maîtres des conseils vêtus de prestige,
N’ont que des mots vides d’écho et vertige.
Ils bâtissent des tours hautes de discours,
Mais moi, je dessine un chemin plus court.
Leur savoir éloquent, teinté de mystère,
N’éblouit qu’à peine mon humble lumière.
Dans leurs riches salons où le monde s’endort,
Je trace des lignes, loin du bruit, dehors.
La grandeur se cache sous leurs lourds manteaux,
Mais l’esprit se libère au creux de mes mots.
Là où l’or gouverne leur sagesse froide,
J’offre à mes pensées une âme plus chaude.
Si leurs solutions sont couvertes d'or fin,
Les miennes s’adaptent à chaque matin.
Leurs voix dictent l’ordre, du haut de leurs tours.
Moi, je construis sans bruit, là où tout résonne.
Ils vendent des rêves aux ministères endormis,
Mais je forge des ponts dans le cœur des vies.
Leurs stratégies sont brodées de grand art,
Quand ma plume dessine un plus simple regard.
Et quand leurs succès d’argent volent au vent,
Je tisse un labeur qui dure en vivant.
Ils peuvent clamer leurs fastes élancés,
Moi, je bâtis sur des solives pensés.
Tandis qu’ils chiffrent et qu’ils parlent sans fin,
Je laisse l’esprit cheminer, serein.
Leur gloire est un feu que l’ombre ravale,
Mais je propose, et mon savoir s’installe.
Quand bien McKinsey se croit sans égal,
Je pense et propose, libre, sans rival.
L'auteur se moque de l'arrogance et des solutions prétendument grandioses de McKinsey, soulignant que ces conseils sont souvent déconnectés de la réalité des Marocains, notamment les jeunes NEET (ni en emploi, ni en formation).
Contrairement aux stratégies abstraites et coûteuses de McKinsey, l'auteur se concentre sur des solutions concrètes, simples et adaptées à chaque jour.
Il met en avant l'idée que la véritable grandeur ne réside pas dans les tours d'ivoire ou les discours vides, mais dans l'humilité, l'action discrète et le lien direct avec la vie quotidienne.
Tandis que McKinsey vend des rêves aux élites, l'auteur forge des ponts dans le cœur des individus, offrant une sagesse plus sincère et durable.
Il met en avant l'idée que la véritable grandeur ne réside pas dans les tours d'ivoire ou les discours vides, mais dans l'humilité, l'action discrète et le lien direct avec la vie quotidienne.
Tandis que McKinsey vend des rêves aux élites, l'auteur forge des ponts dans le cœur des individus, offrant une sagesse plus sincère et durable.