Le festival s’ouvrira avec des noms prestigieux comme Cheikh Tidiane Seck, icône de la musique malienne et figure incontournable du jazz mondial. Avec ses collaborations légendaires – de Salif Keita à Wayne Shorter – et ses nominations aux Grammy Awards, l’artiste incarnera le lien entre jazz, blues et traditions africaines.
Le trio Saiyuki, mené par le guitariste Nguyen Le, explorera quant à lui un dialogue musical fascinant entre l'Asie et l'Occident. Accompagné de Mieko Miyazaki au koto japonais et de Prabhu Edouard aux tablas indiens, leur performance promet de repousser les frontières de la virtuosité musicale.
Autre moment fort : le concert de Jullian Belbachir, musicien australo-marocain tombé amoureux d’Essaouira. À travers le luth ngoni et des rythmes gnaouis enrichis d’accents brésiliens et cubains, son art reflète un métissage culturel profondément enraciné dans l'âme de la ville.
Le festival célèbrera également le talent d’artistes comme Aly Keita, maître du balafon, et le luthiste Alaa Zouiten, qui s’efforcera de fusionner ses racines maroco-andalouses avec le flamenco. Ces artistes incarnent une quête constante de dialogue entre les traditions musicales.
Le festival s’achèvera sur une note mémorable avec un hommage au pianiste afro-américain Randy Weston, grand défenseur des racines africaines du jazz. Cet hommage, orchestré par Cheikh Tidiane Seck et ses invités, résonnera comme un rappel de l’apport essentiel des rythmes gnaouis à l’histoire du jazz.
Avec ses concerts intimistes, ses jam-sessions nocturnes et ses forums matinaux, Jazz sous l’Arganier ne se contente pas de célébrer la musique. Il offre une réflexion sur les liens culturels qui unissent les genres et les continents. Essaouira devient ainsi, le temps de quelques jours, le carrefour des cultures et des mélodies.
Le trio Saiyuki, mené par le guitariste Nguyen Le, explorera quant à lui un dialogue musical fascinant entre l'Asie et l'Occident. Accompagné de Mieko Miyazaki au koto japonais et de Prabhu Edouard aux tablas indiens, leur performance promet de repousser les frontières de la virtuosité musicale.
Autre moment fort : le concert de Jullian Belbachir, musicien australo-marocain tombé amoureux d’Essaouira. À travers le luth ngoni et des rythmes gnaouis enrichis d’accents brésiliens et cubains, son art reflète un métissage culturel profondément enraciné dans l'âme de la ville.
Le festival célèbrera également le talent d’artistes comme Aly Keita, maître du balafon, et le luthiste Alaa Zouiten, qui s’efforcera de fusionner ses racines maroco-andalouses avec le flamenco. Ces artistes incarnent une quête constante de dialogue entre les traditions musicales.
Le festival s’achèvera sur une note mémorable avec un hommage au pianiste afro-américain Randy Weston, grand défenseur des racines africaines du jazz. Cet hommage, orchestré par Cheikh Tidiane Seck et ses invités, résonnera comme un rappel de l’apport essentiel des rythmes gnaouis à l’histoire du jazz.
Avec ses concerts intimistes, ses jam-sessions nocturnes et ses forums matinaux, Jazz sous l’Arganier ne se contente pas de célébrer la musique. Il offre une réflexion sur les liens culturels qui unissent les genres et les continents. Essaouira devient ainsi, le temps de quelques jours, le carrefour des cultures et des mélodies.