Jair Bolsonaro fait partie des 34 personnes accusées, notamment d'organisation criminelle armée, de tentative de renversement violent de l'État de droit démocratique, de complot et de violences qualifiées.
Les procureurs affirment que le complot aurait débuté en 2021 dans le but de miner la confiance du public dans les machines de vote électroniques.
En 2022, Bolsonaro aurait rencontré des ambassadeurs et des diplomates pour discuter des allégations de fraude électorale "afin de préparer la communauté internationale à ignorer la volonté du peuple lors de l'élection présidentielle", selon un communiqué du bureau du procureur général.
Bien qu'aucune preuve de fraude électorale n'ait été trouvée, les accusés auraient continué leur campagne pour discréditer le système électoral, ont précisé les procureurs.
Ils ajoutent que Bolsonaro aurait soutenu un plan pour mener à bien le coup d'État, qui, selon eux, incluait l'assassinat du président élu Luiz Inácio Lula da Silva et de son vice-président.
Les procureurs affirment que la dernière tentative d'annulation de l'élection a eu lieu le 8 janvier 2023, lorsque les accusés auraient incité des partisans de Bolsonaro à se rassembler à Brasilia, où ils ont pris d'assaut et vandalisé les trois bâtiments gouvernementaux.
En novembre, Bolsonaro et 36 autres personnes ont été inculpés dans le cadre de l'enquête sur le complot de coup d'État. Les accusations, présentées devant la Cour suprême de Brasilia, pourraient mener à un procès très médiatisé. Si la Cour suprême accepte les accusations, les personnes incriminées seront formellement jugées.
L'acte d'accusation a été remis à la Cour suprême, qui doit décider si elle ouvre un procès. En cas de procès, Bolsonaro pourrait encourir une peine de 12 à 40 ans de prison.
Les procureurs affirment que le complot aurait débuté en 2021 dans le but de miner la confiance du public dans les machines de vote électroniques.
En 2022, Bolsonaro aurait rencontré des ambassadeurs et des diplomates pour discuter des allégations de fraude électorale "afin de préparer la communauté internationale à ignorer la volonté du peuple lors de l'élection présidentielle", selon un communiqué du bureau du procureur général.
Bien qu'aucune preuve de fraude électorale n'ait été trouvée, les accusés auraient continué leur campagne pour discréditer le système électoral, ont précisé les procureurs.
Ils ajoutent que Bolsonaro aurait soutenu un plan pour mener à bien le coup d'État, qui, selon eux, incluait l'assassinat du président élu Luiz Inácio Lula da Silva et de son vice-président.
Les procureurs affirment que la dernière tentative d'annulation de l'élection a eu lieu le 8 janvier 2023, lorsque les accusés auraient incité des partisans de Bolsonaro à se rassembler à Brasilia, où ils ont pris d'assaut et vandalisé les trois bâtiments gouvernementaux.
En novembre, Bolsonaro et 36 autres personnes ont été inculpés dans le cadre de l'enquête sur le complot de coup d'État. Les accusations, présentées devant la Cour suprême de Brasilia, pourraient mener à un procès très médiatisé. Si la Cour suprême accepte les accusations, les personnes incriminées seront formellement jugées.
L'acte d'accusation a été remis à la Cour suprême, qui doit décider si elle ouvre un procès. En cas de procès, Bolsonaro pourrait encourir une peine de 12 à 40 ans de prison.