Lors des JO accueillis par Paris du 26 juillet au 11 août, la boxe marocaine fait face au défi de retrouver une place sur la scène internationale et de renouer avec les podiums des grandes compétitions.
Après les médailles de bronze d'Abdelhak Achik (Séoul 1988 et Barcelone 1992), Tahar Tamsamani (Sydney 2000) et Mohamed Rabii (Rio 2016), qui marquent un chapitre glorieux de l'histoire de la boxe nationale, les boxeuses marocaines aux JO de Paris ambitionnent d'étoffer ce palmarès et d'honorer les couleurs nationales.
La boxe marocaine aspire ainsi à une participation distinguée aux JO, confirmant les bons résultats du tournoi de qualification olympique africain à Diamniadio au Sénégal avec six médailles dont deux en or, et du championnat d'Afrique à Yaoundé avec 8 médailles d'or, 2 d'argent et 3 de bronze, ainsi qu'aux Jeux sportifs arabes en Algérie.
Selon le directeur technique national, Othmane Fadili, la championne Khadija El Mardi, première Africaine et Arabe à remporter une médaille d'or mondiale en boxe féminine, ainsi que Widad Bertal et Yasmine Mouttaki, ambitionnent de décrocher un sacre olympique et de marquer les JO de leur empreinte.
Fadili a déclaré à la MAP que les trois pugilistes marocaines ont montré un excellent niveau technique et physique et une grande détermination à honorer le noble art national en décrochant une médaille olympique.
Les préparatifs pour les JO ont été intenses, avec un récent stage en Kazakhstan incluant un tournoi international, suivi de préparations au centre de Bourgogne à Casablanca et au centre de Vittel en France avec 18 autres équipes nationales.
L'équipe nationale féminine a disputé plusieurs combats amicaux pour évaluer les forces et faiblesses de chaque pugiliste et peaufiner les aspects techniques, physiques et psychologiques.
Fadili a souligné que la Fédération Royale Marocaine de Boxe a fourni les moyens nécessaires et les conditions adéquates pour permettre aux boxeuses de préparer cette compétition de manière optimale, mentionnant également le rôle crucial du Comité national olympique Marocain.
Les cadres techniques se concentrent sur une préparation optimale aux JO, tandis que les membres de l'équipe nationale insistent sur leur ambition de monter sur le podium et de hisser haut le drapeau marocain, s'engageant à tout donner pour atteindre cet objectif.
La dernière médaille olympique de la boxe nationale remonte à l'édition 2016 à Rio, où Mohamed Rabii, champion du monde 2015 dans la catégorie des 69 kg, a remporté la médaille de bronze.
Après les médailles de bronze d'Abdelhak Achik (Séoul 1988 et Barcelone 1992), Tahar Tamsamani (Sydney 2000) et Mohamed Rabii (Rio 2016), qui marquent un chapitre glorieux de l'histoire de la boxe nationale, les boxeuses marocaines aux JO de Paris ambitionnent d'étoffer ce palmarès et d'honorer les couleurs nationales.
La boxe marocaine aspire ainsi à une participation distinguée aux JO, confirmant les bons résultats du tournoi de qualification olympique africain à Diamniadio au Sénégal avec six médailles dont deux en or, et du championnat d'Afrique à Yaoundé avec 8 médailles d'or, 2 d'argent et 3 de bronze, ainsi qu'aux Jeux sportifs arabes en Algérie.
Selon le directeur technique national, Othmane Fadili, la championne Khadija El Mardi, première Africaine et Arabe à remporter une médaille d'or mondiale en boxe féminine, ainsi que Widad Bertal et Yasmine Mouttaki, ambitionnent de décrocher un sacre olympique et de marquer les JO de leur empreinte.
Fadili a déclaré à la MAP que les trois pugilistes marocaines ont montré un excellent niveau technique et physique et une grande détermination à honorer le noble art national en décrochant une médaille olympique.
Les préparatifs pour les JO ont été intenses, avec un récent stage en Kazakhstan incluant un tournoi international, suivi de préparations au centre de Bourgogne à Casablanca et au centre de Vittel en France avec 18 autres équipes nationales.
L'équipe nationale féminine a disputé plusieurs combats amicaux pour évaluer les forces et faiblesses de chaque pugiliste et peaufiner les aspects techniques, physiques et psychologiques.
Fadili a souligné que la Fédération Royale Marocaine de Boxe a fourni les moyens nécessaires et les conditions adéquates pour permettre aux boxeuses de préparer cette compétition de manière optimale, mentionnant également le rôle crucial du Comité national olympique Marocain.
Les cadres techniques se concentrent sur une préparation optimale aux JO, tandis que les membres de l'équipe nationale insistent sur leur ambition de monter sur le podium et de hisser haut le drapeau marocain, s'engageant à tout donner pour atteindre cet objectif.
La dernière médaille olympique de la boxe nationale remonte à l'édition 2016 à Rio, où Mohamed Rabii, champion du monde 2015 dans la catégorie des 69 kg, a remporté la médaille de bronze.