Poème en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
J’accepte la critique lorsqu’elle est raisonnée,
Et son poids, bien pesé, jamais ne m’a freiné.
Formé à l’esprit clair qui décortique et voit,
Je chéris la remarque au service de la loi.
Tout mot bien réfléchi m’élève et me transforme,
Chaque critique honnête est une aide qui forme.
Les paroles sincères portent dans leurs éclats
La lumière précieuse qui guide nos pas.
Mais la mauvaise foi, je la tiens en horreur,
Elle obscurcit l’échange et déchaîne ma fureur.
Le propos injuste, acéré comme un glaive,
Blesse sans raison, tel un ennemi sans trêve.
Je me dresse toujours contre ces maux cruels,
Ces mots injustifiés, ces poisons artificiels.
J’aime qu’on me défie dans un noble dessein,
Mais non qu’on me salisse d’un discours assassin.
L’échange doit grandir et nourrir la raison,
Non tomber en mépris et briser l’unisson.
L’injustice éveille en moi feu et révolte,
Car tout ce qui faillit à l’honnêteté m’exulte.
La vérité, jadis, fut ma noble compagne,
Et j’honore toujours la critique sans morgue ni hargne.
Mais qu’on m’attaque en vain par des maux venimeux,
Je combats ces serpents aux visages sourcilleux.
Le dialogue éclairé est un bien précieux,
Un trésor partagé pour les esprits ambitieux.
Ainsi, critique ou louange, que tout soit sincère,
Je ne crains rien du vrai, mais déteste l’enfer.
Et son poids, bien pesé, jamais ne m’a freiné.
Formé à l’esprit clair qui décortique et voit,
Je chéris la remarque au service de la loi.
Tout mot bien réfléchi m’élève et me transforme,
Chaque critique honnête est une aide qui forme.
Les paroles sincères portent dans leurs éclats
La lumière précieuse qui guide nos pas.
Mais la mauvaise foi, je la tiens en horreur,
Elle obscurcit l’échange et déchaîne ma fureur.
Le propos injuste, acéré comme un glaive,
Blesse sans raison, tel un ennemi sans trêve.
Je me dresse toujours contre ces maux cruels,
Ces mots injustifiés, ces poisons artificiels.
J’aime qu’on me défie dans un noble dessein,
Mais non qu’on me salisse d’un discours assassin.
L’échange doit grandir et nourrir la raison,
Non tomber en mépris et briser l’unisson.
L’injustice éveille en moi feu et révolte,
Car tout ce qui faillit à l’honnêteté m’exulte.
La vérité, jadis, fut ma noble compagne,
Et j’honore toujours la critique sans morgue ni hargne.
Mais qu’on m’attaque en vain par des maux venimeux,
Je combats ces serpents aux visages sourcilleux.
Le dialogue éclairé est un bien précieux,
Un trésor partagé pour les esprits ambitieux.
Ainsi, critique ou louange, que tout soit sincère,
Je ne crains rien du vrai, mais déteste l’enfer.
Ce poème explore la distinction entre la critique constructive, acceptée et appréciée, et les attaques injustes, fondées sur la mauvaise foi.
L'auteur célèbre l'échange sincère et argumenté, qui élève la réflexion et nourrit l’esprit critique. Il valorise les remarques honnêtes, perçues comme des opportunités de croissance personnelle et de développement intellectuel.
Cependant, il s’insurge contre les propos injustes et malveillants, qui ne visent qu’à nuire sans raison valable.
Ces paroles empoisonnées suscitent chez lui une profonde révolte et une opposition farouche. Le poème met en avant l’importance d’un dialogue honnête, basé sur la vérité et le respect mutuel, tout en dénonçant les discours venimeux qui sèment la discorde.
C’est un appel à une critique éclairée, loin des bassesses de la mauvaise foi, où l’échange devient un chemin vers la vérité.
Cependant, il s’insurge contre les propos injustes et malveillants, qui ne visent qu’à nuire sans raison valable.
Ces paroles empoisonnées suscitent chez lui une profonde révolte et une opposition farouche. Le poème met en avant l’importance d’un dialogue honnête, basé sur la vérité et le respect mutuel, tout en dénonçant les discours venimeux qui sèment la discorde.
C’est un appel à une critique éclairée, loin des bassesses de la mauvaise foi, où l’échange devient un chemin vers la vérité.