Il est fort improbable que le joueur, qui se trouve au Brésil, soit extradé vers l’Italie, la Constitution du Brésil interdisant l’extradition de ses ressortissants. Le mandat d’arrêt international en revanche présente un risque pour lui car il pourrait, en cas de voyage à l’étranger, être arrêté dans un pays ayant des accords avec l’Italie prévoyant l’extradition, selon les médias.
Des faits datés à 2013
"Pour nous c’est indifférent s’il purge sa peine en Italie ou au Brésil. L’important c’est qu’il la purge, surtout vu le délit commis et pour protéger les femmes", a déclaré à l’AFP Jacopo Gnocchi, l’avocat de la victime. La Cour de cassation italienne avait confirmé en janvier, la peine de neuf ans de prison pour viol en réunion d’une jeune femme.
Les faits remontent à janvier 2013, à l’époque où Robinho jouait à l’AC Milan. Selon les médias de l’époque, Robinho et cinq de ses amis auraient fait boire une jeune femme albanaise de 22 ans "au point de la rendre inconsciente et incapable de résister". Ils auraient ensuite eu avec elle "des rapports sexuels multiples et consécutifs".
Un tribunal de la ville lombarde l’avait reconnu coupable en 2017 de viol en réunion sur cette jeune femme et l’avait condamné à neuf ans de prison. Cette peine avait été confirmée en appel en décembre 2020. Robinho avait déjà été brièvement arrêté en Angleterre en 2009, soupçonné d’avoir violé une femme dans une boîte de nuit de Leeds.
LODJ avec AFP
Des faits datés à 2013
"Pour nous c’est indifférent s’il purge sa peine en Italie ou au Brésil. L’important c’est qu’il la purge, surtout vu le délit commis et pour protéger les femmes", a déclaré à l’AFP Jacopo Gnocchi, l’avocat de la victime. La Cour de cassation italienne avait confirmé en janvier, la peine de neuf ans de prison pour viol en réunion d’une jeune femme.
Les magistrats de la plus haute juridiction italienne avaient "considéré que l’appel interjeté par le joueur était irrecevable et que la condamnation était donc définitive", avait alors déclaré à la presse Jacopo Gnocchi. "Au total, quinze magistrats italiens ont estimé que les accusations ont été amplement prouvées. Notre souhait est que le Brésil exécute la sentence", avait-il ajouté.
Les faits remontent à janvier 2013, à l’époque où Robinho jouait à l’AC Milan. Selon les médias de l’époque, Robinho et cinq de ses amis auraient fait boire une jeune femme albanaise de 22 ans "au point de la rendre inconsciente et incapable de résister". Ils auraient ensuite eu avec elle "des rapports sexuels multiples et consécutifs".
Un tribunal de la ville lombarde l’avait reconnu coupable en 2017 de viol en réunion sur cette jeune femme et l’avait condamné à neuf ans de prison. Cette peine avait été confirmée en appel en décembre 2020. Robinho avait déjà été brièvement arrêté en Angleterre en 2009, soupçonné d’avoir violé une femme dans une boîte de nuit de Leeds.
LODJ avec AFP