Les Laziali (3e) dépassent à la différence de buts l'Atalanta Bergame (4e), battue samedi par le leader Naples (2-1), devant une Roma désormais 5e à deux points de son rival de la capitale. L'Inter Milan (6e) peut aussi toutefois rejoindre la Lazio et la "Dea" si elle s'impose dans la soirée à Turin face à la Juventus (8e).
Pour faire basculer un derby tendu et tactique entre Maurizio Sarri et José Mourinho, il a fallu une grossière erreur de Roger Ibanez dans sa propre surface de réparation. Le défenseur giallorosso, trop lent, s'est fait chiper le ballon par le rusé Pedro, et Felipe Anderson, qui n'attendait que ça au point de penalty, ne s'est pas fait prier pour battre Rui Patricio de près (29e).
La fumée des fumigènes bleus craqués dans le virage nord de l'Olimpico occupés par les ultras laziali n'avait toutefois pas eu le temps de se dissiper que Nicolo Zaniolo avait déjà ranimé l'espoir des supporters romanisti avec un tir renvoyé par la barre (33e).
Mais mis à part cette réplique immédiate, la Roma a eu bien du mal à mettre de la vitesse et à se montrer dangereuse, sinon en tout début de match sur des frappes de Tammy Abraham (2e) et Zaniolo déjà (5e).
La Louve a bien tenté de sortir davantage les crocs après la pause, malgré la sortie prématurée de Lorenzo Pellegrini pour une douleur à une cuisse (54e). Mais Chris Smalling a manqué le cadre (52e) et Zaniolo a buté sur Ivan Provedel (67e).
La Roma, toujours privée de Paulo Dybala (cuisse), a fait trop de mauvais choix aux abords de la surface adverse, cédant à la nervosité en fin de match face à une Lazio qui a principalement passé son match à (bien) défendre.
Maurizio Sarri, pourtant privé de son maître à jouer Sergej Milinkovic-Savic, n'a même pas eu besoin de lancer son buteur Ciro Immobile, en phase de reprise après une blessure et resté sur le banc.
LODJ avec AFP
Pour faire basculer un derby tendu et tactique entre Maurizio Sarri et José Mourinho, il a fallu une grossière erreur de Roger Ibanez dans sa propre surface de réparation. Le défenseur giallorosso, trop lent, s'est fait chiper le ballon par le rusé Pedro, et Felipe Anderson, qui n'attendait que ça au point de penalty, ne s'est pas fait prier pour battre Rui Patricio de près (29e).
La fumée des fumigènes bleus craqués dans le virage nord de l'Olimpico occupés par les ultras laziali n'avait toutefois pas eu le temps de se dissiper que Nicolo Zaniolo avait déjà ranimé l'espoir des supporters romanisti avec un tir renvoyé par la barre (33e).
Mais mis à part cette réplique immédiate, la Roma a eu bien du mal à mettre de la vitesse et à se montrer dangereuse, sinon en tout début de match sur des frappes de Tammy Abraham (2e) et Zaniolo déjà (5e).
La Louve a bien tenté de sortir davantage les crocs après la pause, malgré la sortie prématurée de Lorenzo Pellegrini pour une douleur à une cuisse (54e). Mais Chris Smalling a manqué le cadre (52e) et Zaniolo a buté sur Ivan Provedel (67e).
La Roma, toujours privée de Paulo Dybala (cuisse), a fait trop de mauvais choix aux abords de la surface adverse, cédant à la nervosité en fin de match face à une Lazio qui a principalement passé son match à (bien) défendre.
Maurizio Sarri, pourtant privé de son maître à jouer Sergej Milinkovic-Savic, n'a même pas eu besoin de lancer son buteur Ciro Immobile, en phase de reprise après une blessure et resté sur le banc.
"Je n'ai plus de voix mais ça valait la peine. On sait que chaque match entre la Lazio et la Roma fait partie de l'histoire du football en Italie, il faut la gagner", a commenté sur DAZN le buteur du jour, Felipe Anderson, après avoir célébré cette victoire avec ses partenaires pendant plus de dix minutes devant le virage laziale.
"On a lutté sur chaque ballon tous ensemble. C'est un groupe qui veut aller loin. Il faut continuer, le parcours est long", a-t-il ajouté.
LODJ avec AFP