Malgré un investissement massif de plus de 1,5 milliard de dollars dans une tentative de rejoindre les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, et Afrique du Sud), l’Algérie a vu son projet d’adhésion échouer de manière définitive. Ce groupe de pays, qui se positionne comme une alternative aux puissances occidentales dans l'économie mondiale, continue de croître en influence, mais l’Algérie ne parviendra pas à en faire partie.
Cette exclusion marque un coup dur pour les ambitions algériennes de renforcer ses liens avec les économies émergentes. L'Algérie a cherché à diversifier ses partenaires économiques, notamment pour s'éloigner de sa dépendance historique vis-à-vis de l’Europe et pour trouver de nouveaux débouchés pour ses exportations de gaz et de pétrole. Toutefois, cet échec met en lumière les limites de la diplomatie économique algérienne et soulève des questions sur la pertinence de ses choix stratégiques.
Le gouvernement algérien avait misé gros sur une intégration aux BRICS pour revigorer son économie, en grande difficulté depuis plusieurs années, notamment en raison de la baisse des prix des hydrocarbures et d'une gestion économique jugée inefficace par de nombreux observateurs. En intégrant ce groupe, l’Algérie espérait accéder à des financements plus importants, de nouveaux partenariats commerciaux et une influence accrue sur la scène internationale.
Pourtant, les raisons de ce rejet sont multiples. Selon certains experts, les critères d'adhésion aux BRICS sont stricts et ne se limitent pas aux simples capacités financières. Les membres actuels cherchent avant tout à renforcer leur coopération sur des projets d'infrastructures, de développement durable, et de nouvelles technologies. L'Algérie, dont l'économie reste largement basée sur les ressources fossiles, n'a pas réussi à convaincre les membres du groupe de l’intérêt d’une intégration.
Cet échec pourrait également affaiblir la position diplomatique de l’Algérie en Afrique, alors que d’autres pays, comme l’Éthiopie ou le Nigeria, ont exprimé un intérêt similaire pour rejoindre les BRICS. Avec cet investissement qui n’a pas porté ses fruits, la pression augmente sur le gouvernement algérien pour repenser sa stratégie économique à long terme.
Cette exclusion marque un coup dur pour les ambitions algériennes de renforcer ses liens avec les économies émergentes. L'Algérie a cherché à diversifier ses partenaires économiques, notamment pour s'éloigner de sa dépendance historique vis-à-vis de l’Europe et pour trouver de nouveaux débouchés pour ses exportations de gaz et de pétrole. Toutefois, cet échec met en lumière les limites de la diplomatie économique algérienne et soulève des questions sur la pertinence de ses choix stratégiques.
Le gouvernement algérien avait misé gros sur une intégration aux BRICS pour revigorer son économie, en grande difficulté depuis plusieurs années, notamment en raison de la baisse des prix des hydrocarbures et d'une gestion économique jugée inefficace par de nombreux observateurs. En intégrant ce groupe, l’Algérie espérait accéder à des financements plus importants, de nouveaux partenariats commerciaux et une influence accrue sur la scène internationale.
Pourtant, les raisons de ce rejet sont multiples. Selon certains experts, les critères d'adhésion aux BRICS sont stricts et ne se limitent pas aux simples capacités financières. Les membres actuels cherchent avant tout à renforcer leur coopération sur des projets d'infrastructures, de développement durable, et de nouvelles technologies. L'Algérie, dont l'économie reste largement basée sur les ressources fossiles, n'a pas réussi à convaincre les membres du groupe de l’intérêt d’une intégration.
Cet échec pourrait également affaiblir la position diplomatique de l’Algérie en Afrique, alors que d’autres pays, comme l’Éthiopie ou le Nigeria, ont exprimé un intérêt similaire pour rejoindre les BRICS. Avec cet investissement qui n’a pas porté ses fruits, la pression augmente sur le gouvernement algérien pour repenser sa stratégie économique à long terme.