A lire ou à écouter en podcast :
Par Mehdi Bousellama
Les réseaux sociaux sont une arme à double tranchant, s’ils nous permettent de communiquer avec n’importe qui à n’importe quel moment, la partie cachée de l’iceberg est beaucoup plus volumineuse.
L’accès à ces réseaux est désormais possible par toutes les catégories d’âges et plus précisément les jeunes.
Une enquête de l’association Générale Numérique confirme : que 63% de moins de 13 ans possèdent un compte sur les réseaux sociaux.
Un chiffre dont-t-il faut prendre conscience. Ces enfants seront éventuellement confrontés à des images ou vidéos inappropriés à connotation sexuelle ainsi qu’a l’addiction aux écrans et les rencontres dangereuses.
"Les enfants demandent de plus en plus à leurs parents s'ils peuvent rejoindre des applis les aidant à rester en contact avec leurs amis", a écrit M. Mosseri. "Une version d'Instagram où les parents gardent le contrôle, comme ce que nous avons fait avec Messenger Kids, est une idée que nous explorons."
Les réseaux sociaux sont une arme à double tranchant, s’ils nous permettent de communiquer avec n’importe qui à n’importe quel moment, la partie cachée de l’iceberg est beaucoup plus volumineuse.
L’accès à ces réseaux est désormais possible par toutes les catégories d’âges et plus précisément les jeunes.
Une enquête de l’association Générale Numérique confirme : que 63% de moins de 13 ans possèdent un compte sur les réseaux sociaux.
Un chiffre dont-t-il faut prendre conscience. Ces enfants seront éventuellement confrontés à des images ou vidéos inappropriés à connotation sexuelle ainsi qu’a l’addiction aux écrans et les rencontres dangereuses.
"Les enfants demandent de plus en plus à leurs parents s'ils peuvent rejoindre des applis les aidant à rester en contact avec leurs amis", a écrit M. Mosseri. "Une version d'Instagram où les parents gardent le contrôle, comme ce que nous avons fait avec Messenger Kids, est une idée que nous explorons."
C’est dans cette optique que le géant affilié à Facebook, mène la réflexion sur le lancement d’une version « kids » qui reposera sur des technologies d’intelligence artificielle pour reconnaitre l’âge réel de ses utilisateurs.
C’est ainsi qu’il pourra identifier les enfants moins de 13 ans et les orienter vers la version junior qui sera sous la tutelle de ses parents.
A l’opposition "On ne donne pas des choses aux enfants parce qu'ils les VEULENT", a répondu une utilisatrice se présentant comme "une mère". Lit-on sur Challenge (presse en ligne).
Une réponse pragmatique, qui souligne en quelque sorte, les objectifs égocentriques d’Instagram de faire face à la concurrence de Snapchat et TikTok.
Aucune date n’a été déclarée pour le lancement de la version Kids, mais cette querelle digitale semble être un bras de fer parti pour durer.
Par Mehdi Bousellama
C’est ainsi qu’il pourra identifier les enfants moins de 13 ans et les orienter vers la version junior qui sera sous la tutelle de ses parents.
A l’opposition "On ne donne pas des choses aux enfants parce qu'ils les VEULENT", a répondu une utilisatrice se présentant comme "une mère". Lit-on sur Challenge (presse en ligne).
Une réponse pragmatique, qui souligne en quelque sorte, les objectifs égocentriques d’Instagram de faire face à la concurrence de Snapchat et TikTok.
Aucune date n’a été déclarée pour le lancement de la version Kids, mais cette querelle digitale semble être un bras de fer parti pour durer.
Par Mehdi Bousellama