Un accord a été conclu lors d’une réunion présidée par le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, la semaine dernière, avec les représentants des fédérations Interprofessionnelles et le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et forêts, Mohamed Sadiki, sur des mesures visant à soutenir le secteur agricole.
La réunion a abouti, dans le cadre des mesures à mettre en œuvre, à alléger la pression sur le cheptel national, avec l’importation de viandes bovines et ovines sur une période déterminée, comme l’a indiqué un communiqué de la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural (CAMADER).
Dans ce contexte, Abdelali Ramou, président de l’Association nationale des vendeurs grossistes de viandes rouges au Maroc, a déclaré que les professionnels ont convenu d’importer des viandes rouges de pays comme le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay et le Paraguay, avec la possibilité d’élargir l’importation à certains pays européens tels que la France et l’Espagne.
Ramou a expliqué, dans une déclaration , que cette démarche contribuerait à réduire les prix, car l’importation de bovins vivants coûte plus cher, précisant que les professionnels seront exonérés des frais d’abattage et de plusieurs autres démarches qui augmentalent auparavant les coûts.
Les prix des viandes rouges ont connu une hausse après l’Aïd al-Adha, atteignant environ 100 dirhams le kilogramme pour la viande bovine et 120 dirhams le kilogramme pour la viande ovine.
De son côté, Mohamed Jabli, président de la président de la Fédération marocaine des acteurs de la filière élevage, a confirmé que le ministère publierait dans les deux prochains jours un cahier des charges définissant les conditions d’importation des bovins et ovins abattus.
Jabli a ajouté, dans une déclaration, que l’importation de bovins abattus coûte moins cher que l’importation de bovins vivants, car les professionnels seront exonérés des frais d’analyses de laboratoire, d’alimentation et de nombreuses autres taxes associées.
Il est à noter que les importations marocaines de bovins et d’ovins vivants ont contribué, selon un rapport de l’Office des changes, à l’augmentation du volume des importations d’animaux vivants, atteignant 771 tonnes au cours des huit premiers mois de cette année, contre 640 tonnes à la même période l’an dernier, ce qui a entraîné une hausse de la valeur des importations de ces animaux, passant de 50 millions de dirhams à plus de 68 millions de dirhams.
La réunion a abouti, dans le cadre des mesures à mettre en œuvre, à alléger la pression sur le cheptel national, avec l’importation de viandes bovines et ovines sur une période déterminée, comme l’a indiqué un communiqué de la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural (CAMADER).
Dans ce contexte, Abdelali Ramou, président de l’Association nationale des vendeurs grossistes de viandes rouges au Maroc, a déclaré que les professionnels ont convenu d’importer des viandes rouges de pays comme le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay et le Paraguay, avec la possibilité d’élargir l’importation à certains pays européens tels que la France et l’Espagne.
Ramou a expliqué, dans une déclaration , que cette démarche contribuerait à réduire les prix, car l’importation de bovins vivants coûte plus cher, précisant que les professionnels seront exonérés des frais d’abattage et de plusieurs autres démarches qui augmentalent auparavant les coûts.
Les prix des viandes rouges ont connu une hausse après l’Aïd al-Adha, atteignant environ 100 dirhams le kilogramme pour la viande bovine et 120 dirhams le kilogramme pour la viande ovine.
De son côté, Mohamed Jabli, président de la président de la Fédération marocaine des acteurs de la filière élevage, a confirmé que le ministère publierait dans les deux prochains jours un cahier des charges définissant les conditions d’importation des bovins et ovins abattus.
Jabli a ajouté, dans une déclaration, que l’importation de bovins abattus coûte moins cher que l’importation de bovins vivants, car les professionnels seront exonérés des frais d’analyses de laboratoire, d’alimentation et de nombreuses autres taxes associées.
Il est à noter que les importations marocaines de bovins et d’ovins vivants ont contribué, selon un rapport de l’Office des changes, à l’augmentation du volume des importations d’animaux vivants, atteignant 771 tonnes au cours des huit premiers mois de cette année, contre 640 tonnes à la même période l’an dernier, ce qui a entraîné une hausse de la valeur des importations de ces animaux, passant de 50 millions de dirhams à plus de 68 millions de dirhams.