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On ne peut que constater que l'exécutif a déployé des efforts considérables pour préparer un terrain propice à l'investissement, invitant les capitaux à s'épanouir.
Avec l'essor des zones industrielles, logistiques, commerciales et touristiques, la mise en valeur des terrains pour les projets d'investissement, et le soutien financier aux entrepreneurs, le Maroc a concocté un package séduisant.
Cependant, le secteur privé, jusqu'à présent timide dans ses contributions - ne franchissant pas le seuil des 100 milliards de dirhams annuels - est appelé à prendre le flambeau, d'autant plus que l'investissement public représente 65% du total, contre une moyenne mondiale de 20%.
Dans cette optique, le Souverain a interpellé le secteur privé lors de la 4ème édition du Forum pour l'Investissement en Afrique (AIF), qui se déroule à Marrakech, les incitant à prendre des "initiatives audacieuses et innovantes" pour s'intégrer de manière plus efficace dans les chaînes de valeur mondiales.
En effet, le financement des politiques nationales par l'endettement devrait être le dernier recours, compte tenu de la conjoncture économique morose qui affecte les conditions d'emprunt et des tensions géopolitiques qui redessinent le monde en blocs antagonistes, rappelant l'ère de la guerre froide et ses répercussions économiques persistantes.
Le Maroc, avec sa fiscalité avantageuse, sa stabilité politique et ses mesures incitatives, s'impose comme une terre promise pour les investisseurs. Il est temps pour le secteur privé marocain de se réveiller et d'agir avec audace au nom du patriotisme économique, avant que l'opportunité ne s'évanouisse.
Avec l'essor des zones industrielles, logistiques, commerciales et touristiques, la mise en valeur des terrains pour les projets d'investissement, et le soutien financier aux entrepreneurs, le Maroc a concocté un package séduisant.
Cependant, le secteur privé, jusqu'à présent timide dans ses contributions - ne franchissant pas le seuil des 100 milliards de dirhams annuels - est appelé à prendre le flambeau, d'autant plus que l'investissement public représente 65% du total, contre une moyenne mondiale de 20%.
Dans cette optique, le Souverain a interpellé le secteur privé lors de la 4ème édition du Forum pour l'Investissement en Afrique (AIF), qui se déroule à Marrakech, les incitant à prendre des "initiatives audacieuses et innovantes" pour s'intégrer de manière plus efficace dans les chaînes de valeur mondiales.
En effet, le financement des politiques nationales par l'endettement devrait être le dernier recours, compte tenu de la conjoncture économique morose qui affecte les conditions d'emprunt et des tensions géopolitiques qui redessinent le monde en blocs antagonistes, rappelant l'ère de la guerre froide et ses répercussions économiques persistantes.
Le Maroc, avec sa fiscalité avantageuse, sa stabilité politique et ses mesures incitatives, s'impose comme une terre promise pour les investisseurs. Il est temps pour le secteur privé marocain de se réveiller et d'agir avec audace au nom du patriotisme économique, avant que l'opportunité ne s'évanouisse.