A lire ou à écouter en podcast :
Tous pourris ?
Non pas que nous soyons portés, par une paresse empressée d’en découdre avec le détail, par une surenchère fine bouche, sur carte, à verser et notre manichéisme dans le distinguo irrécupérable, cassant, dans le tri plastique, orthodoxe, à user de pincettes taillées, moulues dans l’austère, mais gardons-nous de tout brasser, de tout tasser, de tout mêler dans l’incongru d’un sac de masse.
Il sied, non pas par souci de convenance, de démagogie, du-t-il un temps sauver la face, et la préface, et grand bien vous fasse, mais plutôt par rigueur intellectuelle que de s’acquitter en bon citoyen de démêler le bon grain de l’ivraie, le vrai d’avec le faux, de se refuser cette délectation de l’ambigu, de s’y noyer pour choyer un appétit nihiliste, se mettre à la table des débâcles, avec au menu, toute la chair humaine prête à marchander votre ire, au coût d’un « Tous pourris ».
Non pas que nous soyons portés, par une paresse empressée d’en découdre avec le détail, par une surenchère fine bouche, sur carte, à verser et notre manichéisme dans le distinguo irrécupérable, cassant, dans le tri plastique, orthodoxe, à user de pincettes taillées, moulues dans l’austère, mais gardons-nous de tout brasser, de tout tasser, de tout mêler dans l’incongru d’un sac de masse.
Il sied, non pas par souci de convenance, de démagogie, du-t-il un temps sauver la face, et la préface, et grand bien vous fasse, mais plutôt par rigueur intellectuelle que de s’acquitter en bon citoyen de démêler le bon grain de l’ivraie, le vrai d’avec le faux, de se refuser cette délectation de l’ambigu, de s’y noyer pour choyer un appétit nihiliste, se mettre à la table des débâcles, avec au menu, toute la chair humaine prête à marchander votre ire, au coût d’un « Tous pourris ».
La mauvaise graine !
Sans doute est-il poignant, tordant, répugnant, et l’on peut énumérer de ces vocables jusqu’aux confins de l’abject, du sordide, et de la révolte sincère, que de saisir en vol, par l’entremise d’un proche, ou en sa chair propre, un comportement discourtois, qui rompt de fait avec les exigences de la convenance la plus triviale, la bienséance la plus élémentaire, un comportement sans égards, grossier, infecte, qui émane comme un relent, celui d’un prochain décomposé-vivant, qui sent la mauvaise éducation.
Un comportement prégnant, qui pullule et ses airs véreux et fanfarons, dans notre société marocaine, qui prend plus d’une tête réfléchie, la tourne, la retourne, la tutoie, rudoie de haines low cost, et de vitesse, et d’impertinence arrachée à l’incompris.
Sans doute est-il poignant, tordant, répugnant, et l’on peut énumérer de ces vocables jusqu’aux confins de l’abject, du sordide, et de la révolte sincère, que de saisir en vol, par l’entremise d’un proche, ou en sa chair propre, un comportement discourtois, qui rompt de fait avec les exigences de la convenance la plus triviale, la bienséance la plus élémentaire, un comportement sans égards, grossier, infecte, qui émane comme un relent, celui d’un prochain décomposé-vivant, qui sent la mauvaise éducation.
Un comportement prégnant, qui pullule et ses airs véreux et fanfarons, dans notre société marocaine, qui prend plus d’une tête réfléchie, la tourne, la retourne, la tutoie, rudoie de haines low cost, et de vitesse, et d’impertinence arrachée à l’incompris.
Chassons l’infâme !
Il est sans conteste, d’où notre préambule qui traine, entraine de longueur, de langueur ? qu’il est des marocains, des nôtres, en l’être et en nombre, faiseurs d’agréments, qui font honneur à la bonne conduite, que l’on peine à dépeindre de peur que d’en éliminer la grâce de par des couleurs impulsives, et criardes.
La tempérance dans le goût est l’apanage de ces ciseleurs de comportements en fleurs, ne dérangeons en rien leur goût bon train ! Mais il s’agit là, non pas d’extirper, de ressortir, assortir, vaille que vaille, à un désarroi citoyen, ce secret de polichinelle, de tous connu, qu’est le manque d’égards, encore moins de redresser de par la volonté d’un billet ce tort qui gangrène une partie saillante de notre société, notre vécu, mais de rappeler, si tant est que l’on puisse lever, comme dans une chasse à courre, à cheval sur notre authenticité marocaine faite de courtoisie, et de bienséance, sacrifier sur l’autel du bien, cette familiarité, mauvaise vie d’une fille de l’habitude, qui aguiche et s’éprend d’un comportement qui n’est pas nôtre.
Il est sans conteste, d’où notre préambule qui traine, entraine de longueur, de langueur ? qu’il est des marocains, des nôtres, en l’être et en nombre, faiseurs d’agréments, qui font honneur à la bonne conduite, que l’on peine à dépeindre de peur que d’en éliminer la grâce de par des couleurs impulsives, et criardes.
La tempérance dans le goût est l’apanage de ces ciseleurs de comportements en fleurs, ne dérangeons en rien leur goût bon train ! Mais il s’agit là, non pas d’extirper, de ressortir, assortir, vaille que vaille, à un désarroi citoyen, ce secret de polichinelle, de tous connu, qu’est le manque d’égards, encore moins de redresser de par la volonté d’un billet ce tort qui gangrène une partie saillante de notre société, notre vécu, mais de rappeler, si tant est que l’on puisse lever, comme dans une chasse à courre, à cheval sur notre authenticité marocaine faite de courtoisie, et de bienséance, sacrifier sur l’autel du bien, cette familiarité, mauvaise vie d’une fille de l’habitude, qui aguiche et s’éprend d’un comportement qui n’est pas nôtre.
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Soyons polis ! Gare aux conséquences !
Puisse notre naturel revenir au galop ! Que celles et ceux, alloués, de leur gré, pour le besoin d’une tâche, monnayable de par le contribuable, ou autre, puisse revoir leurs tares, leurs travers, leur égo « démiurge », rendre présent de par les sauts mesurés de la perspective, qui tranche d’avec leurs humeurs démesurées, de se présenter donc leur carrière qui risque par malheur, par inadvertance, de voler aux éclats par une piètre insouciance non-citoyenne. Soyons polis !
Puisse notre naturel revenir au galop ! Que celles et ceux, alloués, de leur gré, pour le besoin d’une tâche, monnayable de par le contribuable, ou autre, puisse revoir leurs tares, leurs travers, leur égo « démiurge », rendre présent de par les sauts mesurés de la perspective, qui tranche d’avec leurs humeurs démesurées, de se présenter donc leur carrière qui risque par malheur, par inadvertance, de voler aux éclats par une piètre insouciance non-citoyenne. Soyons polis !