Dernière nation arabe et africaine, qui était toujours en lice au Mondial 2022, le Maroc a été à la hauteur de son rendez-vous avec l'Histoire.
A l’Education City Stadium d’al-Rayyan, les Lions de l’Atlas ont tenu en échec l’Espagne, lors de la première mi-temps, de ce huitième de finale du Mondial 2022.
Soutenus par un public des grands jours, les hommes de Walid Regragui ont justifié leur réputation.
Pour cette rencontre, le sélectionneur national a reconduit son onze type, avec le milieu de terrain Azzedine Ounahi qui était, un moment, incertain.
Pour sa part, l’Espagnol Luis Enrique a remis son équipe-type, avec toutefois une petite surprise: la titularisation de Marcos Llorente au poste d'arrière droit à la place de Cesar Azpilicueta et Dani Carvajal, qui s’étaient partagé les minutes jusque-là.
Le match, dirigé par l’arbitre argentin Fernando Rapallini, a démarré sur les chapeaux de roue, mais avec un jeu très serré.
Les Lions de l’Atlas ont dû attendre la 10e minute pour obtenir une belle occasion d’ouvrir le score, après une faute sur Sofiane Boufal à quelques mètres de la surface de réparation adverse. Mais le coup franc, exécuté par Achraf Hakimi, est passé au-dessus du but espagnol.
En milieu de terrain, comme dans les ailes, les hommes de Walid Regragui ont fermé les espaces, avec un Sofyan Ambrabat téméraire et généreux dans l'effort, au four et au moulin.
Très remuant, Sofiane Boufal a donné des sueurs froides à la défense de la Roja, tout autant que Achraf Hakimi et Hakim Ziyech.
Mais profitant d’un moment d’inattention de la défense marocaine (25e), le milieu offensif Marco Asensio a failli surprendre Yassine Bounou. Heureusement que son tir a été logé dans les petits filets. Mais ce n’est que partie remise puisque Noussair Mazraoui a répliqué par une puissante frappe qui a mis rudement à l’épreuve le keeper adverse.
Face aux assauts des joueurs de la Roja, les coéquipiers de Romain Saïss n’ont pas baissé les bras. Voire mieux, ils étaient, lors des cinq dernières minutes de jeu, les plus entreprenants.
Des Lions de l’Atlas tout simplement magnifiques
En deuxième mi-temps, les Espagnols ont été largement au-dessus, faisant preuve d’une grande détermination et surtout de fraicheur physique.
Justement, on doit aux Lions de l’Atlas leur abnégation et leur sens du devoir. Car nombre d’entre eux, bien que souffrant de pépins physiques, ont tenu à honorer leurs engagements.
Tels un Hakimi, seigneurial sur le flanc droit, Noussair Mazraoui ou encore Sofiane Boufal et Azzedine Ounahi, ainsi que tous les joueurs. Sinon que dire de Soyan Amrabat, la parfaite illustration de l’image du team national version Regragui.
Coach Walid Regragui a beau procéder à des changements, mais c’était sans compter avec des adversaires bien dans leur peau et ayant plus d’éléments de rechange et, qui plus, sont bien portants.
Le temps réglementaire s’étant soldé par un nul blanc, les deux sélections sont alors passées aux prolongations, qui ont souri aux Espagnols.
Et les Lions n’ont jamais baissé les bras. Au contraire, et sans complexe, ils ont cru en leurs chances jusqu’au bout, manquant même des occasions franches d’ouvrir le score.
Les Lions de l'Atlas ont fini par prendre le dessus sur la Roja, championne du monde 2010, dans une séance où trois Espagnols ont manqué leurs tentatives. Seul représentant non européen ni sud-américain en quarts, le Maroc affrontera le vainqueur du dernier huitième entre le Portugal et la Suisse (20h00).
LODJ avec Le360.ma
A l’Education City Stadium d’al-Rayyan, les Lions de l’Atlas ont tenu en échec l’Espagne, lors de la première mi-temps, de ce huitième de finale du Mondial 2022.
Soutenus par un public des grands jours, les hommes de Walid Regragui ont justifié leur réputation.
Pour cette rencontre, le sélectionneur national a reconduit son onze type, avec le milieu de terrain Azzedine Ounahi qui était, un moment, incertain.
Pour sa part, l’Espagnol Luis Enrique a remis son équipe-type, avec toutefois une petite surprise: la titularisation de Marcos Llorente au poste d'arrière droit à la place de Cesar Azpilicueta et Dani Carvajal, qui s’étaient partagé les minutes jusque-là.
Le match, dirigé par l’arbitre argentin Fernando Rapallini, a démarré sur les chapeaux de roue, mais avec un jeu très serré.
Les Lions de l’Atlas ont dû attendre la 10e minute pour obtenir une belle occasion d’ouvrir le score, après une faute sur Sofiane Boufal à quelques mètres de la surface de réparation adverse. Mais le coup franc, exécuté par Achraf Hakimi, est passé au-dessus du but espagnol.
En milieu de terrain, comme dans les ailes, les hommes de Walid Regragui ont fermé les espaces, avec un Sofyan Ambrabat téméraire et généreux dans l'effort, au four et au moulin.
Très remuant, Sofiane Boufal a donné des sueurs froides à la défense de la Roja, tout autant que Achraf Hakimi et Hakim Ziyech.
Mais profitant d’un moment d’inattention de la défense marocaine (25e), le milieu offensif Marco Asensio a failli surprendre Yassine Bounou. Heureusement que son tir a été logé dans les petits filets. Mais ce n’est que partie remise puisque Noussair Mazraoui a répliqué par une puissante frappe qui a mis rudement à l’épreuve le keeper adverse.
Face aux assauts des joueurs de la Roja, les coéquipiers de Romain Saïss n’ont pas baissé les bras. Voire mieux, ils étaient, lors des cinq dernières minutes de jeu, les plus entreprenants.
Des Lions de l’Atlas tout simplement magnifiques
En deuxième mi-temps, les Espagnols ont été largement au-dessus, faisant preuve d’une grande détermination et surtout de fraicheur physique.
Justement, on doit aux Lions de l’Atlas leur abnégation et leur sens du devoir. Car nombre d’entre eux, bien que souffrant de pépins physiques, ont tenu à honorer leurs engagements.
Tels un Hakimi, seigneurial sur le flanc droit, Noussair Mazraoui ou encore Sofiane Boufal et Azzedine Ounahi, ainsi que tous les joueurs. Sinon que dire de Soyan Amrabat, la parfaite illustration de l’image du team national version Regragui.
Coach Walid Regragui a beau procéder à des changements, mais c’était sans compter avec des adversaires bien dans leur peau et ayant plus d’éléments de rechange et, qui plus, sont bien portants.
Le temps réglementaire s’étant soldé par un nul blanc, les deux sélections sont alors passées aux prolongations, qui ont souri aux Espagnols.
Et les Lions n’ont jamais baissé les bras. Au contraire, et sans complexe, ils ont cru en leurs chances jusqu’au bout, manquant même des occasions franches d’ouvrir le score.
Les Lions de l'Atlas ont fini par prendre le dessus sur la Roja, championne du monde 2010, dans une séance où trois Espagnols ont manqué leurs tentatives. Seul représentant non européen ni sud-américain en quarts, le Maroc affrontera le vainqueur du dernier huitième entre le Portugal et la Suisse (20h00).
LODJ avec Le360.ma