En raison d'un non-respect flagrant d'un accord préalablement établi, les commissaires ont décidé d'interrompre leurs activités, dénonçant l'attitude du ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi. Ce dernier a soumis un projet de loi sur la réglementation de leur profession sans consulter l'Autorité nationale, ce qui a suscité l'indignation des commissaires, qui estiment que leurs droits ont été ignorés.
Cette grève, débutée mercredi et se poursuivant jusqu'à vendredi, reflète une tension croissante dans le secteur judiciaire. Les commissaires, en tant que garants de la légalité, demandent une prise en compte de leurs préoccupations pour rétablir la confiance dans les institutions judiciaires. Ce mouvement pourrait entraîner des répercussions sur le fonctionnement du système judiciaire si aucune solution n'est rapidement trouvée. Les discussions autour de cette situation devraient être attentivement suivies, car elles mettent en lumière des enjeux plus larges de gouvernance et de collaboration entre les différentes instances de l'État.
Cette grève, débutée mercredi et se poursuivant jusqu'à vendredi, reflète une tension croissante dans le secteur judiciaire. Les commissaires, en tant que garants de la légalité, demandent une prise en compte de leurs préoccupations pour rétablir la confiance dans les institutions judiciaires. Ce mouvement pourrait entraîner des répercussions sur le fonctionnement du système judiciaire si aucune solution n'est rapidement trouvée. Les discussions autour de cette situation devraient être attentivement suivies, car elles mettent en lumière des enjeux plus larges de gouvernance et de collaboration entre les différentes instances de l'État.