En 2019, la Commission européenne avait sanctionné Google pour avoir imposé des clauses restrictives à ses partenaires utilisant le service AdSense, entravant la concurrence dans le secteur de la publicité en ligne. Selon Bruxelles, le géant de la technologie avait exploité sa suprématie pour favoriser ses propres services au détriment de la concurrence. Cependant, la justice européenne a récemment annulé cette sanction, jugeant que les preuves fournies ne justifiaient pas une telle amende.
Malgré cette victoire, Google reste sous pression en Europe. En 2017, l’entreprise a été condamnée à une autre amende de 2,42 milliards d’euros pour avoir favorisé son propre service de comparaison de prix. Plus récemment, en 2022, une autre amende record de 4,3 milliards d’euros, liée à l’utilisation abusive de son système Android, a été légèrement réduite, mais toujours maintenue.
Cette série de batailles judiciaires souligne l’importance croissante des législations européennes dans la régulation des grandes entreprises technologiques. L’Union européenne, avec la mise en place du Digital Markets Act (DMA), s’est armée de nouvelles lois pour limiter les abus de position dominante des géants de la tech, et d’autres actions contre Google et ses concurrents pourraient suivre.
La décision d’annuler l’amende de 1,49 milliard d’euros offre à Google un répit, mais la société reste confrontée à d’importants défis en Europe. Bruxelles, de son côté, continue d’étudier les recours possibles et pourrait bien faire appel de cette décision, montrant ainsi que la régulation des géants du numérique reste une priorité pour l’Union européenne
Malgré cette victoire, Google reste sous pression en Europe. En 2017, l’entreprise a été condamnée à une autre amende de 2,42 milliards d’euros pour avoir favorisé son propre service de comparaison de prix. Plus récemment, en 2022, une autre amende record de 4,3 milliards d’euros, liée à l’utilisation abusive de son système Android, a été légèrement réduite, mais toujours maintenue.
Cette série de batailles judiciaires souligne l’importance croissante des législations européennes dans la régulation des grandes entreprises technologiques. L’Union européenne, avec la mise en place du Digital Markets Act (DMA), s’est armée de nouvelles lois pour limiter les abus de position dominante des géants de la tech, et d’autres actions contre Google et ses concurrents pourraient suivre.
La décision d’annuler l’amende de 1,49 milliard d’euros offre à Google un répit, mais la société reste confrontée à d’importants défis en Europe. Bruxelles, de son côté, continue d’étudier les recours possibles et pourrait bien faire appel de cette décision, montrant ainsi que la régulation des géants du numérique reste une priorité pour l’Union européenne