Grâce à son début de saison tonitruant, l’équipe de Miguel Ángel Sánchez Muñoz « Míchel », présenté comme Pep Guardiola bis, occupe la première place de la Liga avec 11 victoires, un nul et une seule défaite, et signe la meilleure saison de son histoire.
Les Catalans de Gérone réalisent jusqu’à maintenant une saison de haut vol, alors qu’il y a deux ans de cela, à la même période, leur équipe était 19ème de deuxième division et se battait pour le maintien, devant des concurrents moins compétitifs, comme Leganés, Amorebieta et Alcorcon.
Sa victoire samedi sur le terrain du Rayo Vallecano (1-2) lui a permis de se conforter en tête du classement, après un tiers du championnat, devant les habitués de la tête du classement, le Real Madrid et le FC Barcelone.
L’équipe de Michel propose un football offensif, avec un cocktail inhabituel de rigueur, de risques assumés et d’exubérance, qui représente l’aboutissement d’une stratégie mise en place et développée par un style de jeu collectif fondé sur la vitesse.
Le secret, c’est, entre autres, le travail effectué par le club, qui a pu s’offrir notamment le renfort de l’attaquant ukrainien Artem Dovbyk, recrue la plus chère de son histoire (7,5 millions d’euros). Mais aussi ceux du milieu vénézuélien Yangel Herrera, acheté cinq millions à ManCity, et de l’ailier brésilien Savio, prêté par Troyes (L2 française).
Ces joueurs sont les protagonistes de ce début de saison historique, avec sept buts et cinq passes décisives pour Dovbyk, quatre buts et quatre passes pour Savio (19 ans), intenable sur son côté gauche, et quatre buts pour Herrera.
Sur le terrain, «la magie» opère, selon lui, car Michel dispose désormais d' «assez de talents» pour développer son projet de jeu : «Ne pas trop se soucier du résultat, et attaquer, attaquer pour mettre des buts».
Si les Catalans ne peuvent, évidemment, pas encore être considérés comme de sérieux prétendants au titre, la manière dont ils dominent leurs adversaires depuis le début du championnat force le respect et leur permet d’occuper le fauteuil de leader.
Un leadership que les « blanc-i-vermell » vont conserver au moins deux semaines, en raison de l’arrêt du championnat, pour laisser place à la trêve internationale.
Les Catalans de Gérone réalisent jusqu’à maintenant une saison de haut vol, alors qu’il y a deux ans de cela, à la même période, leur équipe était 19ème de deuxième division et se battait pour le maintien, devant des concurrents moins compétitifs, comme Leganés, Amorebieta et Alcorcon.
«Ce qui se passe n’est pas normal», a déclaré aux médias le directeur sportif gironiste, Quique Carcel. «C’est une période de rêve, on hallucine tous. Aujourd’hui, je crois qu’on a marqué plus de buts que Manchester City (29 buts en Liga contre 28 en Premier League, NDLR), ce qui peut paraître totalement irréel. Et nous en sommes conscients.»
Sa victoire samedi sur le terrain du Rayo Vallecano (1-2) lui a permis de se conforter en tête du classement, après un tiers du championnat, devant les habitués de la tête du classement, le Real Madrid et le FC Barcelone.
L’équipe de Michel propose un football offensif, avec un cocktail inhabituel de rigueur, de risques assumés et d’exubérance, qui représente l’aboutissement d’une stratégie mise en place et développée par un style de jeu collectif fondé sur la vitesse.
Le secret, c’est, entre autres, le travail effectué par le club, qui a pu s’offrir notamment le renfort de l’attaquant ukrainien Artem Dovbyk, recrue la plus chère de son histoire (7,5 millions d’euros). Mais aussi ceux du milieu vénézuélien Yangel Herrera, acheté cinq millions à ManCity, et de l’ailier brésilien Savio, prêté par Troyes (L2 française).
Ces joueurs sont les protagonistes de ce début de saison historique, avec sept buts et cinq passes décisives pour Dovbyk, quatre buts et quatre passes pour Savio (19 ans), intenable sur son côté gauche, et quatre buts pour Herrera.
«Dovbyk a des qualités physiques exceptionnelles. Il a faim et veut être un buteur», décrit Quique Carcel. «Je pense qu’il peut faire encore mieux, mais il nous donne ce que l’on recherchait, avec cette capacité à gagner des duels devant, à prendre l’espace et être un joueur qui pèse sur les défenses.»
Sur le terrain, «la magie» opère, selon lui, car Michel dispose désormais d' «assez de talents» pour développer son projet de jeu : «Ne pas trop se soucier du résultat, et attaquer, attaquer pour mettre des buts».
Si les Catalans ne peuvent, évidemment, pas encore être considérés comme de sérieux prétendants au titre, la manière dont ils dominent leurs adversaires depuis le début du championnat force le respect et leur permet d’occuper le fauteuil de leader.
«Le leadership du championnat est mérité, se maintenir en Liga apparaît comme un petit objectif et maintenant on rêve du maximum», a estimé l’entraineur du club.
Un leadership que les « blanc-i-vermell » vont conserver au moins deux semaines, en raison de l’arrêt du championnat, pour laisser place à la trêve internationale.