A lire ou à écouter en podcast :
mp3 (4.64 Mo)
Vers une dictature de la pensée ?
À écouter de ces voix de nature éparse, disparate, semées dans la confusion du doute, s’arrachant, de biais ou de front, les bancs, les bords contraires, quelle fut notre décomposition et de tête et de ce qui y repose, que de voir de ces mêmes voix élevées, surélevées, et de vitesse et d’intonation, détonation, verser unanimes dans un même et seul canal, à sac conjoint.
Vibrer ensemble, le verbe emporté, crier à l’amalgame, à la restriction des libertés, souvent mal acquises, individuelles, au cran saillant, sans pareil, se profilant, se dandinant sur notre permissivité-mauvaise-habitude, à la démarche en déroute, inquiétante en tout point.
À cette dictature, dit-on, qui se serait indûment attribué, auréolé, d’une aura démocratique, à même de braver de cette entaille, coupure d’avec l’universel, de fluidifier de cette densité, alors, à la texture lourde, d’humeur nonchalante, sédentaire, monobloc, que fut l’information, en peine de recoupage d’avec d’autres sources, à présent, à portée de tics, et de clics, de lever de ces entraves au sac et ressac des ressentis, les chauffer du nécessaire curieux, de parfaire, d’agrémenter de dimensions voisines, cette perspective humaine.
À écouter de ces voix de nature éparse, disparate, semées dans la confusion du doute, s’arrachant, de biais ou de front, les bancs, les bords contraires, quelle fut notre décomposition et de tête et de ce qui y repose, que de voir de ces mêmes voix élevées, surélevées, et de vitesse et d’intonation, détonation, verser unanimes dans un même et seul canal, à sac conjoint.
Vibrer ensemble, le verbe emporté, crier à l’amalgame, à la restriction des libertés, souvent mal acquises, individuelles, au cran saillant, sans pareil, se profilant, se dandinant sur notre permissivité-mauvaise-habitude, à la démarche en déroute, inquiétante en tout point.
À cette dictature, dit-on, qui se serait indûment attribué, auréolé, d’une aura démocratique, à même de braver de cette entaille, coupure d’avec l’universel, de fluidifier de cette densité, alors, à la texture lourde, d’humeur nonchalante, sédentaire, monobloc, que fut l’information, en peine de recoupage d’avec d’autres sources, à présent, à portée de tics, et de clics, de lever de ces entraves au sac et ressac des ressentis, les chauffer du nécessaire curieux, de parfaire, d’agrémenter de dimensions voisines, cette perspective humaine.
Est-ce trop tard ?
De ces esprits dégourdis de par le déclic, qui fait tic, dérègle, déchante, le cours intrusif de cette seconde nature qu’est l’habitude, de ces esprits, donc, façonnés dans l’obsession, qui condamnent de ces tentacules, par-dessus bord, de la GAFA, qui s’immiscerait à n’en plus tenir dans notre schéma quotidien.
Un schéma fait de raccourcis, faiseur impulsif, auxquels, cette dernière , aurait, bon gré mal gré, et en bonne partie, concouru. Comme qui dirait que la GAFA serait à cheval sur le marché du subliminal, qu’elle vendrait de ses roueries taillées sur nos désirs bricolés, créés à l’insu de nos espérances. Que le mal serait fait, que défaire, à ce stade, serait pure lubie bon enfant.
De ces esprits dégourdis de par le déclic, qui fait tic, dérègle, déchante, le cours intrusif de cette seconde nature qu’est l’habitude, de ces esprits, donc, façonnés dans l’obsession, qui condamnent de ces tentacules, par-dessus bord, de la GAFA, qui s’immiscerait à n’en plus tenir dans notre schéma quotidien.
Un schéma fait de raccourcis, faiseur impulsif, auxquels, cette dernière , aurait, bon gré mal gré, et en bonne partie, concouru. Comme qui dirait que la GAFA serait à cheval sur le marché du subliminal, qu’elle vendrait de ses roueries taillées sur nos désirs bricolés, créés à l’insu de nos espérances. Que le mal serait fait, que défaire, à ce stade, serait pure lubie bon enfant.
Un monstre bien nourri…
Cela étant, ces esprits gaillards, loin de rester sur la touche, s’échinent à secouer ce statuquo, jusqu’en voir tomber le diable, ceux-ci sollicitent votre attention, pointe votre mégarde, vous mettent de garde, et en garde, de cette GAFA qui aurait tout d’une gaffe, et qui s’érigerait sournoise, insidieuse, selon leurs dires, en une foi nouvelle qui s’émerveille à dicter sa morale, juger du bien, et du moins bien.
Preuve en est, sa montée en spectacle, lors des évènements qui sévirent au Capitole, et qui aurait, été, à juger de par la célérité de la censure qui fit tôt de prendre et de court et de long le président sortant Trump, qualifié d’injuste, et d’outrecuidant.
Une musculature, dite, hypertrophique, dopée de par nous, miniatures, ayant boursoufflé de ces prérogatives de ces mastodontes qui, à présent, pèsent, de par leurs billets verts, et leurs décisions erratiques, bien plus lourd que nombre d’États.
Quel avenir ? Pour quel monde ? Pour quel humain ? S’il en reste…
Hicham Aboumerrouane
Cela étant, ces esprits gaillards, loin de rester sur la touche, s’échinent à secouer ce statuquo, jusqu’en voir tomber le diable, ceux-ci sollicitent votre attention, pointe votre mégarde, vous mettent de garde, et en garde, de cette GAFA qui aurait tout d’une gaffe, et qui s’érigerait sournoise, insidieuse, selon leurs dires, en une foi nouvelle qui s’émerveille à dicter sa morale, juger du bien, et du moins bien.
Preuve en est, sa montée en spectacle, lors des évènements qui sévirent au Capitole, et qui aurait, été, à juger de par la célérité de la censure qui fit tôt de prendre et de court et de long le président sortant Trump, qualifié d’injuste, et d’outrecuidant.
Une musculature, dite, hypertrophique, dopée de par nous, miniatures, ayant boursoufflé de ces prérogatives de ces mastodontes qui, à présent, pèsent, de par leurs billets verts, et leurs décisions erratiques, bien plus lourd que nombre d’États.
Quel avenir ? Pour quel monde ? Pour quel humain ? S’il en reste…
Hicham Aboumerrouane