Objectif : Rattraper le rtard face aux chinois
Les ambitions des deux constructeurs sont claires : d'ici juin 2025, ils espèrent finaliser un accord définitif, avec une introduction en Bourse de la nouvelle entité prévue pour août 2026. En cas de succès, cette fusion pourrait générer un chiffre d'affaires combiné impressionnant de 30 000 milliards de yens (environ 191 milliards de dollars) et un bénéfice d'exploitation dépassant les 3 000 milliards de yens.
Ce rapprochement permettrait également de mutualiser les coûts et de partager les risques liés au développement de véhicules électriques et de technologies de batteries, un secteur en pleine expansion. En sécurisant leurs chaînes d'approvisionnement et en réalisant des économies d'échelle, Honda et Nissan pourraient renforcer leur compétitivité sur un marché de plus en plus exigeant.
Mitsubishi Motors, principal actionnaire de Nissan, devra également décider d'ici fin janvier s'il souhaite rejoindre cette alliance, ce qui pourrait permettre aux trois marques de collaborer sur la production de véhicules, consolidant ainsi leur force sur le marché mondial !
Ce rapprochement permettrait également de mutualiser les coûts et de partager les risques liés au développement de véhicules électriques et de technologies de batteries, un secteur en pleine expansion. En sécurisant leurs chaînes d'approvisionnement et en réalisant des économies d'échelle, Honda et Nissan pourraient renforcer leur compétitivité sur un marché de plus en plus exigeant.
Mitsubishi Motors, principal actionnaire de Nissan, devra également décider d'ici fin janvier s'il souhaite rejoindre cette alliance, ce qui pourrait permettre aux trois marques de collaborer sur la production de véhicules, consolidant ainsi leur force sur le marché mondial !