Alors que le Sommet de la Francophonie se tient, un constat émerge au Maroc : la langue française perd du terrain auprès des jeunes, qui lui préfèrent désormais l’anglais. Bien que l’arabe et l’amazighe soient les langues officielles du Royaume, le français a longtemps occupé une place prépondérante, notamment dans l’éducation et les affaires.
Politiquement, ce déclin pourrait avoir des conséquences sur les relations franco-marocaines, historiquement marquées par une coopération culturelle et linguistique forte. Sur le plan éducatif, l’anglais gagne en importance, répondant aux exigences de la mondialisation et de l'accès aux nouvelles technologies. Socialement, cette évolution reflète les aspirations des jeunes Marocains à s'intégrer dans un monde globalisé, où l'anglais domine.
Le glissement vers l’anglais au détriment du français est un indicateur des transformations en cours au Maroc. Le défi pour les autorités éducatives est de trouver un équilibre linguistique qui répond aux besoins de la jeunesse tout en préservant les liens historiques et culturels avec la francophonie.
Politiquement, ce déclin pourrait avoir des conséquences sur les relations franco-marocaines, historiquement marquées par une coopération culturelle et linguistique forte. Sur le plan éducatif, l’anglais gagne en importance, répondant aux exigences de la mondialisation et de l'accès aux nouvelles technologies. Socialement, cette évolution reflète les aspirations des jeunes Marocains à s'intégrer dans un monde globalisé, où l'anglais domine.
Le glissement vers l’anglais au détriment du français est un indicateur des transformations en cours au Maroc. Le défi pour les autorités éducatives est de trouver un équilibre linguistique qui répond aux besoins de la jeunesse tout en préservant les liens historiques et culturels avec la francophonie.