Le cadre ne pouvant pas être plus approprié, même langue, même religion… que celles parlées et pratiquées dans le Royaume. D’aucuns disent même, que c’est le Maroc qui est l’hôte de cette Coupe du monde et non le Qatar tant notre pays a bénéficié d’un grand soutien dans les tribunes pendant cet évènement, et partant, a grandement contribué au succès de cette édition. Supporters marocains, émiratis, palestiniens, égyptiens, tunisiens, saoudiens, jordaniens, yéménites, algériens… et autres nationalités du monde arabe et d’ailleurs, étaient à l’unisson pour encourager la sélection de Walid Regragui.
Il faut le reconnaître, l’exploit des Lions de l’Atlas n’en est devenu que plus retentissant dépassant même, et largement, le cadre des frontières du sport. C’est qu’il s’agit d’un événement historique à bien des égards. Seules deux nations, les Etats-Unis et la Corée du Sud, en dehors de l’Europe et de l’Amérique du Sud, avaient réussi un tel exploit au cours des 21 Coupes du monde qui ont eu lieu jusqu’à présent.
La Coupe du Monde de football, secret de polichinelle, est l’évènement de la planète le plus suivi. Donc, il y a les regards de tous les pays la planète, qui drainés, cibleront le pays organisateur, le Qatar mais également les sélections nationales qui font bonne figure pendant les quatre semaines de compétition et le Maroc n’a plus rien à leur envier.
Aussi, arriver à ce stade de la compétition, les demi-finales en l’occurrence, c’est charrier pour le pays qualifié et par le sport un ensemble de valeurs classées (culturelles, patriotiques, d’éducation…, dans la conscience, de la plus importante à la moins importante. S’effectueront alors les jugements où s’établira toute conduite sociétale ou individuelle.
Le Maroc, à chaque match et à sa fin, a diffusé des images on ne peut plus positives et vertueuses qu’elles soit patriotiques, culturelles, d’union, de solidarité, d’éducation, de religion ou autres nobles sentiments comme l’amour parental etc.
Dans toutes ces valeurs, la culture arabo-musulmane s’y trouve fortement liée, de façon explicite, à la nation marocaine et à notre Monarchie. Sûr qu’on y montre des valeurs à même de changer certains préjugés négatifs ancrés dans des pays occidentaux à l’égard de la culture arabo-musulmane.
A l’analyse, elle apporte à notre nation quelques vertus aux conséquences géopolitiques très bénéfiques pour l’image de notre pays, de notre continent, du monde arabe et de la nation musulmane et bien plus, encore avec des échos positifs aux quatre coins de la planète. Et du coup quoi de mieux que le “soft power“ (pouvoir de l’intelligence) cette capacité à influencer les orientations de la politique internationale en sa faveur. Cette doctrine qui vise à choisir les meilleurs outils – diplomatiques, économiques, militaires, politiques, légaux ou culturels – en fonction d’une situation donnée comme un Coupe du Monde.
Quand on voit la prostration collective des Lions de l’Atlas à la fin de chaque match, nos nationaux avec leurs mères et leurs pères les embrassant et les honorant de les avoir mis au monde, devant les écrans du monde on ne peut être que fiers de l’éducation de nos Lions. Au Maroc il n’existe pas d’établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPAD), ces dernières sont sacralisées. C’est culturel. L’éducation préoccupe les sociétés, c’est certain. Chaque civilisation a la sienne, avec les convergences et les divergences en conséquence. La civilisation musulmane se veut celle de l’éducation réussie, la voie du juste milieu, celle qui forme un citoyen équilibré, compétent et vertueux et détermine le niveau de développement et le projet de société qu’on se le dise.
Toutes ces valeurs de la fierté d’être et identitaire véhiculées à travers les images par nos supporters au Qatar et de par le monde de nos joueurs sur le terrain et en dehors, même avilies par certains, n’en deviennent qu’un capital de plus en plus énorme pour notre pays à chaque fois qu’une étape est franchie.
Que dire encore de cette autre vertu à travers cette discipline exemplaire face à la stratégie mise en place par notre héros national Walid Regragui qui aura réussi en un laps de temps à donner enfin une identité à notre sélection. Ses poulains l’ont appliquée scrupuleusement et cela leur a réussi. A en déplacer d’autres montagnes.
LODJ avec Hespress
Il faut le reconnaître, l’exploit des Lions de l’Atlas n’en est devenu que plus retentissant dépassant même, et largement, le cadre des frontières du sport. C’est qu’il s’agit d’un événement historique à bien des égards. Seules deux nations, les Etats-Unis et la Corée du Sud, en dehors de l’Europe et de l’Amérique du Sud, avaient réussi un tel exploit au cours des 21 Coupes du monde qui ont eu lieu jusqu’à présent.
La Coupe du Monde de football, secret de polichinelle, est l’évènement de la planète le plus suivi. Donc, il y a les regards de tous les pays la planète, qui drainés, cibleront le pays organisateur, le Qatar mais également les sélections nationales qui font bonne figure pendant les quatre semaines de compétition et le Maroc n’a plus rien à leur envier.
Aussi, arriver à ce stade de la compétition, les demi-finales en l’occurrence, c’est charrier pour le pays qualifié et par le sport un ensemble de valeurs classées (culturelles, patriotiques, d’éducation…, dans la conscience, de la plus importante à la moins importante. S’effectueront alors les jugements où s’établira toute conduite sociétale ou individuelle.
Le Maroc, à chaque match et à sa fin, a diffusé des images on ne peut plus positives et vertueuses qu’elles soit patriotiques, culturelles, d’union, de solidarité, d’éducation, de religion ou autres nobles sentiments comme l’amour parental etc.
Dans toutes ces valeurs, la culture arabo-musulmane s’y trouve fortement liée, de façon explicite, à la nation marocaine et à notre Monarchie. Sûr qu’on y montre des valeurs à même de changer certains préjugés négatifs ancrés dans des pays occidentaux à l’égard de la culture arabo-musulmane.
A l’analyse, elle apporte à notre nation quelques vertus aux conséquences géopolitiques très bénéfiques pour l’image de notre pays, de notre continent, du monde arabe et de la nation musulmane et bien plus, encore avec des échos positifs aux quatre coins de la planète. Et du coup quoi de mieux que le “soft power“ (pouvoir de l’intelligence) cette capacité à influencer les orientations de la politique internationale en sa faveur. Cette doctrine qui vise à choisir les meilleurs outils – diplomatiques, économiques, militaires, politiques, légaux ou culturels – en fonction d’une situation donnée comme un Coupe du Monde.
Quand on voit la prostration collective des Lions de l’Atlas à la fin de chaque match, nos nationaux avec leurs mères et leurs pères les embrassant et les honorant de les avoir mis au monde, devant les écrans du monde on ne peut être que fiers de l’éducation de nos Lions. Au Maroc il n’existe pas d’établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPAD), ces dernières sont sacralisées. C’est culturel. L’éducation préoccupe les sociétés, c’est certain. Chaque civilisation a la sienne, avec les convergences et les divergences en conséquence. La civilisation musulmane se veut celle de l’éducation réussie, la voie du juste milieu, celle qui forme un citoyen équilibré, compétent et vertueux et détermine le niveau de développement et le projet de société qu’on se le dise.
Toutes ces valeurs de la fierté d’être et identitaire véhiculées à travers les images par nos supporters au Qatar et de par le monde de nos joueurs sur le terrain et en dehors, même avilies par certains, n’en deviennent qu’un capital de plus en plus énorme pour notre pays à chaque fois qu’une étape est franchie.
Que dire encore de cette autre vertu à travers cette discipline exemplaire face à la stratégie mise en place par notre héros national Walid Regragui qui aura réussi en un laps de temps à donner enfin une identité à notre sélection. Ses poulains l’ont appliquée scrupuleusement et cela leur a réussi. A en déplacer d’autres montagnes.
LODJ avec Hespress