Alors que la transformation numérique s'accélère dans le monde entier, les menaces cybernétiques deviennent de plus en plus sophistiquées. Le Maroc, conscient des enjeux, s'attelle à renforcer la sécurité de ses infrastructures numériques. Lors d'une récente déclaration, Fouzi Lekjaa, ministre délégué auprès du ministère de l'Économie et des Finances chargé du budget, a mis en lumière les efforts du pays pour se conformer à la loi sur la cybersécurité et pour protéger ses systèmes d'information stratégiques.
Selon Lekjaa, la cybersécurité n'est plus un luxe, mais une nécessité absolue dans un monde interconnecté. Avec l'augmentation des cyberattaques à l’échelle mondiale, protéger les systèmes d'information des institutions publiques est devenu une priorité pour le gouvernement marocain. « Nous ne pouvons plus ignorer les menaces qui pèsent sur nos infrastructures numériques. Chaque jour, des attaques sophistiquées ciblent les systèmes sensibles, et nous devons être prêts à y répondre avec des outils modernes et adaptés », a-t-il déclaré.
Une conformité stricte avec la loi sur la cybersécurité
Depuis l'adoption de la loi n° 05.20 relative à la cybersécurité, le Maroc s'engage à protéger les informations sensibles et les infrastructures critiques des institutions publiques. La loi, adoptée en 2020, définit un cadre rigoureux pour la classification des actifs numériques et la sécurisation des systèmes d'information en fonction de leur niveau de sensibilité. Fouzi Lekjaa a souligné que le ministère de l’Économie et des Finances s’est pleinement aligné sur cette réglementation, en classifiant ses actifs et en renforçant ses systèmes selon leur criticité.
« La loi 05.20 représente un tournant dans la protection des systèmes d'information au Maroc. Notre ministère a déjà pris les mesures nécessaires pour classer nos actifs numériques et sécuriser nos systèmes d’information selon leur niveau de sensibilité », a précisé Lekjaa. Il a également ajouté que des audits réguliers et des contrôles de sécurité sont désormais en place pour garantir que ces systèmes respectent les normes les plus strictes en matière de cybersécurité.
Renforcement des infrastructures critiques et nouveaux projets
L’un des piliers de cette stratégie repose sur l'amélioration des infrastructures critiques. Lekjaa a dévoilé que de nouveaux projets sont en cours de développement pour renforcer la protection des systèmes d’information du secteur public, notamment à travers des solutions de sécurité avancées et des outils de surveillance renforcés. Des centres de données et des systèmes de sauvegarde ont également été mis en place pour assurer la résilience des services publics en cas d'incident ou de cyberattaque.
L’un des objectifs majeurs du gouvernement est d’instaurer une culture de la cybersécurité au sein des institutions publiques. Pour y parvenir, des formations spécifiques sont dispensées aux employés des ministères et des entreprises publiques, afin de les sensibiliser aux risques et aux bonnes pratiques en matière de sécurité informatique. « La cybersécurité ne concerne pas uniquement les outils techniques, mais aussi les compétences humaines. Nous devons former notre personnel pour qu'il soit à la hauteur des menaces actuelles », a affirmé Lekjaa.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une feuille de route ambitieuse qui prévoit également l'intégration de nouvelles technologies, telles que l'intelligence artificielle, pour détecter les menaces en amont et réagir rapidement face aux cyberattaques potentielles. « L'innovation est au cœur de notre stratégie. En intégrant des outils technologiques de pointe, nous serons capables de répondre plus efficacement aux cybermenaces », a-t-il ajouté.
Le rôle central de la coopération internationale
Pour répondre aux défis croissants en matière de cybersécurité, le Maroc ne mise pas uniquement sur des solutions internes. Fouzi Lekjaa a souligné l’importance de la coopération internationale pour renforcer la résilience du pays face aux cyber-menaces. Le Maroc participe activement à plusieurs initiatives internationales visant à échanger des informations sur les cyberattaques, partager des solutions techniques, et coopérer en matière de surveillance et de défense contre les intrusions numériques.
La cybersécurité étant un enjeu mondial, le Maroc a signé plusieurs accords de partenariat avec des institutions internationales et des pays étrangers pour renforcer ses capacités dans ce domaine. « La cybersécurité ne connaît pas de frontières. Nous devons travailler avec nos partenaires internationaux pour anticiper les menaces et nous protéger efficacement », a-t-il déclaré.
Dans ce contexte, la collaboration avec l'Agence Nationale de Réglementation des Télécommunications (ANRT) et l'Autorité Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information (ANSSI) joue un rôle crucial. Ces organismes sont en première ligne dans la mise en œuvre des politiques de sécurité et dans la supervision des infrastructures critiques. Ils veillent à ce que les systèmes d'information des entreprises et des administrations respectent les normes internationales les plus exigeantes.
L'importance de la cybersécurité pour l'économie numérique
Alors que le Maroc accélère sa transformation numérique, la cybersécurité devient une composante essentielle du développement économique. Les investissements dans les infrastructures numériques et les nouvelles technologies augmentent, ce qui rend le pays plus attractif pour les investisseurs. Cependant, comme l’a souligné Fouzi Lekjaa, garantir la sécurité des données et des systèmes d’information est un préalable indispensable pour assurer la confiance des entreprises et des citoyens.
Le Maroc a ainsi fait de la cybersécurité un enjeu stratégique, non seulement pour protéger ses institutions, mais aussi pour garantir un développement numérique durable et sécurisé. Grâce à des projets ambitieux et une coopération internationale accrue, le royaume se dote des outils nécessaires pour faire face aux cybermenaces du futur.
Selon Lekjaa, la cybersécurité n'est plus un luxe, mais une nécessité absolue dans un monde interconnecté. Avec l'augmentation des cyberattaques à l’échelle mondiale, protéger les systèmes d'information des institutions publiques est devenu une priorité pour le gouvernement marocain. « Nous ne pouvons plus ignorer les menaces qui pèsent sur nos infrastructures numériques. Chaque jour, des attaques sophistiquées ciblent les systèmes sensibles, et nous devons être prêts à y répondre avec des outils modernes et adaptés », a-t-il déclaré.
Une conformité stricte avec la loi sur la cybersécurité
Depuis l'adoption de la loi n° 05.20 relative à la cybersécurité, le Maroc s'engage à protéger les informations sensibles et les infrastructures critiques des institutions publiques. La loi, adoptée en 2020, définit un cadre rigoureux pour la classification des actifs numériques et la sécurisation des systèmes d'information en fonction de leur niveau de sensibilité. Fouzi Lekjaa a souligné que le ministère de l’Économie et des Finances s’est pleinement aligné sur cette réglementation, en classifiant ses actifs et en renforçant ses systèmes selon leur criticité.
« La loi 05.20 représente un tournant dans la protection des systèmes d'information au Maroc. Notre ministère a déjà pris les mesures nécessaires pour classer nos actifs numériques et sécuriser nos systèmes d’information selon leur niveau de sensibilité », a précisé Lekjaa. Il a également ajouté que des audits réguliers et des contrôles de sécurité sont désormais en place pour garantir que ces systèmes respectent les normes les plus strictes en matière de cybersécurité.
Renforcement des infrastructures critiques et nouveaux projets
L’un des piliers de cette stratégie repose sur l'amélioration des infrastructures critiques. Lekjaa a dévoilé que de nouveaux projets sont en cours de développement pour renforcer la protection des systèmes d’information du secteur public, notamment à travers des solutions de sécurité avancées et des outils de surveillance renforcés. Des centres de données et des systèmes de sauvegarde ont également été mis en place pour assurer la résilience des services publics en cas d'incident ou de cyberattaque.
L’un des objectifs majeurs du gouvernement est d’instaurer une culture de la cybersécurité au sein des institutions publiques. Pour y parvenir, des formations spécifiques sont dispensées aux employés des ministères et des entreprises publiques, afin de les sensibiliser aux risques et aux bonnes pratiques en matière de sécurité informatique. « La cybersécurité ne concerne pas uniquement les outils techniques, mais aussi les compétences humaines. Nous devons former notre personnel pour qu'il soit à la hauteur des menaces actuelles », a affirmé Lekjaa.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une feuille de route ambitieuse qui prévoit également l'intégration de nouvelles technologies, telles que l'intelligence artificielle, pour détecter les menaces en amont et réagir rapidement face aux cyberattaques potentielles. « L'innovation est au cœur de notre stratégie. En intégrant des outils technologiques de pointe, nous serons capables de répondre plus efficacement aux cybermenaces », a-t-il ajouté.
Le rôle central de la coopération internationale
Pour répondre aux défis croissants en matière de cybersécurité, le Maroc ne mise pas uniquement sur des solutions internes. Fouzi Lekjaa a souligné l’importance de la coopération internationale pour renforcer la résilience du pays face aux cyber-menaces. Le Maroc participe activement à plusieurs initiatives internationales visant à échanger des informations sur les cyberattaques, partager des solutions techniques, et coopérer en matière de surveillance et de défense contre les intrusions numériques.
La cybersécurité étant un enjeu mondial, le Maroc a signé plusieurs accords de partenariat avec des institutions internationales et des pays étrangers pour renforcer ses capacités dans ce domaine. « La cybersécurité ne connaît pas de frontières. Nous devons travailler avec nos partenaires internationaux pour anticiper les menaces et nous protéger efficacement », a-t-il déclaré.
Dans ce contexte, la collaboration avec l'Agence Nationale de Réglementation des Télécommunications (ANRT) et l'Autorité Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information (ANSSI) joue un rôle crucial. Ces organismes sont en première ligne dans la mise en œuvre des politiques de sécurité et dans la supervision des infrastructures critiques. Ils veillent à ce que les systèmes d'information des entreprises et des administrations respectent les normes internationales les plus exigeantes.
L'importance de la cybersécurité pour l'économie numérique
Alors que le Maroc accélère sa transformation numérique, la cybersécurité devient une composante essentielle du développement économique. Les investissements dans les infrastructures numériques et les nouvelles technologies augmentent, ce qui rend le pays plus attractif pour les investisseurs. Cependant, comme l’a souligné Fouzi Lekjaa, garantir la sécurité des données et des systèmes d’information est un préalable indispensable pour assurer la confiance des entreprises et des citoyens.
Le Maroc a ainsi fait de la cybersécurité un enjeu stratégique, non seulement pour protéger ses institutions, mais aussi pour garantir un développement numérique durable et sécurisé. Grâce à des projets ambitieux et une coopération internationale accrue, le royaume se dote des outils nécessaires pour faire face aux cybermenaces du futur.