À 43 ans, Samuel Eto’o, ancien attaquant du FC Barcelone et des Lions Indomptables, et actuel président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), est frappé d’une suspension de six mois. Cette décision de la FIFA fait suite à un comportement jugé offensant lors du huitième de finale du Mondial U20 féminin entre le Cameroun et le Brésil, disputé le 11 septembre dernier à Bogota, en Colombie.
La commission de discipline de la FIFA reproche à Eto’o d'avoir exercé une pression démesurée sur les officiels suite à l’attribution d’un penalty controversé en faveur du Brésil. Ce penalty avait permis l’égalisation brésilienne, avant que les Camerounaises ne s'inclinent 3-1 après prolongation. L’ancien N°9 du Barça est accusé d’avoir enfreint les principes du fair-play, adoptant un « comportement offensant » et d'« incorrection ». Le président de la fédération camerounaise est donc écarté de toute activité en lien avec les sélections nationales pendant six mois comme assister à des matchs.
Cette suspension survient alors que la Fécafoot fait face à une période de turbulences. Pour Eto'o, cette sanction risque de ternir son image de dirigeant, lui qui est déjà critiqué pour sa gestion de la fédération. Au-delà de la sanction, la question se pose désormais sur l’avenir d’Eto’o à la tête de la Fécafoot et sur la capacité de cette instance à sortir de cette crise.
La commission de discipline de la FIFA reproche à Eto’o d'avoir exercé une pression démesurée sur les officiels suite à l’attribution d’un penalty controversé en faveur du Brésil. Ce penalty avait permis l’égalisation brésilienne, avant que les Camerounaises ne s'inclinent 3-1 après prolongation. L’ancien N°9 du Barça est accusé d’avoir enfreint les principes du fair-play, adoptant un « comportement offensant » et d'« incorrection ». Le président de la fédération camerounaise est donc écarté de toute activité en lien avec les sélections nationales pendant six mois comme assister à des matchs.
Cette suspension survient alors que la Fécafoot fait face à une période de turbulences. Pour Eto'o, cette sanction risque de ternir son image de dirigeant, lui qui est déjà critiqué pour sa gestion de la fédération. Au-delà de la sanction, la question se pose désormais sur l’avenir d’Eto’o à la tête de la Fécafoot et sur la capacité de cette instance à sortir de cette crise.