1 520 emplois sacrifiés :
Malgré les efforts de Stellantis, la Fiat 500 électrique peine à séduire les automobilistes. La production réduite à Mirafiori et les licenciements annoncés sonnent comme un coup de tonnerre pour les employés et la ville de Turin.
En accord avec les syndicats, Stellantis a décidé de supprimer 1 520 postes à Turin. Des mesures de départ à la retraite anticipée et des incitations financières seront proposées aux salariés concernés.
Le patron de Stellantis, Carlos Tavares, pointe du doigt le retard de l'Italie dans la mise en place d'un plan d'aides pour les véhicules électriques. Des subventions sont jugées indispensables pour stimuler la demande et sauver l'avenir de Mirafiori.
La reconversion de l'usine semble inévitable. La question cruciale est de savoir quelle nouvelle orientation sera prise pour garantir la pérennité du site et des emplois restants.
En accord avec les syndicats, Stellantis a décidé de supprimer 1 520 postes à Turin. Des mesures de départ à la retraite anticipée et des incitations financières seront proposées aux salariés concernés.
Le patron de Stellantis, Carlos Tavares, pointe du doigt le retard de l'Italie dans la mise en place d'un plan d'aides pour les véhicules électriques. Des subventions sont jugées indispensables pour stimuler la demande et sauver l'avenir de Mirafiori.
La reconversion de l'usine semble inévitable. La question cruciale est de savoir quelle nouvelle orientation sera prise pour garantir la pérennité du site et des emplois restants.