Pour sa 26e édition, la deuxième post-Covid, le Festival de Fès des musiques sacrées met à l’honneur la sacralité de l’architecture traditionnelle. Et quoi de mieux, pour ce faire, que l’ancestrale médina de Fès, avec ses nombreux lieux de culte, mausolées et cimetières des trois religions abrahamiques ? Un thème tout choisi pour cette manifestation qui se propose de faire dialoguer des artistes issus des différentes traditions religieuses.
Pour la soirée d’inauguration, une monumentale projection architecturale, ou « mapping 3D », est prévue sur les murs de l’immémorial Bab el-Makina. Ce spectacle géant mis en scène par Alain Weber verra se succéder chanteurs, danseurs et musiciens.
Représentants des traditions musicales islamiques, chrétiennes, juives, bouddhistes et hindouistes, ces artistes se transformeront, le temps d’une nuit, en narrateurs de la puissance évocatrice de l’architecture dans l’inconscient spirituel collectif.
Pas moins de 17 concerts, étalés sur quatre jours, auront lieu sur la scène de l’historique Makina, dans la synagogue Aben Danan, le parc Jnan Sbil ou encore l’impressionnant manoir historique Dar Adiyel.
Et comme on ne change pas une recette qui marche, les organisateurs ont de nouveau choisi de mélanger les genres. Après les traditionnels chants de confréries soufies, les spectateurs pourront aussi apprécier les mélodies d’artistes mondialement connus, comme le trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf. Par le passé, le festival a accueilli des stars comme Björk, Patti Smith ou encore Barbara Hendricks.
Fidèles interprètes de la musique soufie de l’Inde du Nord, The Roohani Sisters seront accompagnées, le 10 juin, de la Franco-Iranienne Ariana Vafadari et de la danseuse et chorégraphe Rinku Bhattacharya Das. Le lendemain, deux rendez-vous majeurs sont prévus : le concert de l’une des rares femmes à dominer le monde de la kora, la Sénégalaise Senny Camara, et la formation Haïdouti Orkestar, du Turc Zéki Ayad Çölaş, invitée d’Ibrahim Maalouf.
Pour la soirée d’inauguration, une monumentale projection architecturale, ou « mapping 3D », est prévue sur les murs de l’immémorial Bab el-Makina. Ce spectacle géant mis en scène par Alain Weber verra se succéder chanteurs, danseurs et musiciens.
Représentants des traditions musicales islamiques, chrétiennes, juives, bouddhistes et hindouistes, ces artistes se transformeront, le temps d’une nuit, en narrateurs de la puissance évocatrice de l’architecture dans l’inconscient spirituel collectif.
Pas moins de 17 concerts, étalés sur quatre jours, auront lieu sur la scène de l’historique Makina, dans la synagogue Aben Danan, le parc Jnan Sbil ou encore l’impressionnant manoir historique Dar Adiyel.
Et comme on ne change pas une recette qui marche, les organisateurs ont de nouveau choisi de mélanger les genres. Après les traditionnels chants de confréries soufies, les spectateurs pourront aussi apprécier les mélodies d’artistes mondialement connus, comme le trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf. Par le passé, le festival a accueilli des stars comme Björk, Patti Smith ou encore Barbara Hendricks.
Fidèles interprètes de la musique soufie de l’Inde du Nord, The Roohani Sisters seront accompagnées, le 10 juin, de la Franco-Iranienne Ariana Vafadari et de la danseuse et chorégraphe Rinku Bhattacharya Das. Le lendemain, deux rendez-vous majeurs sont prévus : le concert de l’une des rares femmes à dominer le monde de la kora, la Sénégalaise Senny Camara, et la formation Haïdouti Orkestar, du Turc Zéki Ayad Çölaş, invitée d’Ibrahim Maalouf.