"AYYUR"
Le court-métrage "AYYUR" de Zineb Wakrim, âgée de 22 ans, a été sélectionné pour la compétition officielle "Cinef" au Festival de Cannes. Cette réalisation marque une première pour une cinéaste marocaine.
À 22 ans, Zineb Wakrim, une jeune réalisatrice marocaine fraîchement diplômée de l’École Supérieure des Arts Visuels de Marrakech, vient de créer l'histoire en étant sélectionnée dans la compétition officielle "Cinef" au Festival de Cannes.
Le film "AYYUR" qu'il a réalisé relate l'histoire de Samad et Hasna, deux jeunes de 14 ans souffrant d'une maladie rare qui les rend extrêmement sensibles aux rayons ultraviolets, ce qui les oblige à se couvrir entièrement ou à porter un scaphandre pour sortir à la lumière du jour.
À 22 ans, Zineb Wakrim, une jeune réalisatrice marocaine fraîchement diplômée de l’École Supérieure des Arts Visuels de Marrakech, vient de créer l'histoire en étant sélectionnée dans la compétition officielle "Cinef" au Festival de Cannes.
Le film "AYYUR" qu'il a réalisé relate l'histoire de Samad et Hasna, deux jeunes de 14 ans souffrant d'une maladie rare qui les rend extrêmement sensibles aux rayons ultraviolets, ce qui les oblige à se couvrir entièrement ou à porter un scaphandre pour sortir à la lumière du jour.
Beaucoup de tendresse et d’humanité
Dans sa production cinématographique de 13 minutes, Zineb Wakrim porte un regard respectueux sur la vie quotidienne ritualisée de deux enfants souffrant d'une maladie héréditaire rare.
Les taches brunes sur leur visage reflètent leur état de santé et semblent questionner le monde, mais leur silence révèle l'emprisonnement qu'impose leur condition.
La directrice de film a opté pour l'utilisation d'une narration hors-champ de poèmes persans de Fourough Farrokhzad traduits en Amazigh, plutôt que de laisser les personnages s'exprimer.
Zineb Wakrim, avec beaucoup de tendresse et d'humanité, présente des enfants marginalisés vivant en milieu rural, oscillant entre espoir et résignation, dans un cadre à la fois lumineux et obscur.
Les taches brunes sur leur visage reflètent leur état de santé et semblent questionner le monde, mais leur silence révèle l'emprisonnement qu'impose leur condition.
La directrice de film a opté pour l'utilisation d'une narration hors-champ de poèmes persans de Fourough Farrokhzad traduits en Amazigh, plutôt que de laisser les personnages s'exprimer.
Zineb Wakrim, avec beaucoup de tendresse et d'humanité, présente des enfants marginalisés vivant en milieu rural, oscillant entre espoir et résignation, dans un cadre à la fois lumineux et obscur.
Une première pour le Maroc
C'est la première fois que le Maroc est représenté à la compétition officielle "Cinef" avec la sélection de "AYYUR", parmi les 16 films d'école provenant de 13 pays différents. Cette compétition a pour but de découvrir les cinéastes de demain et de récompenser les trois meilleurs d'entre eux.
Grâce à cette sélection, Zineb Wakrim a la possibilité de présenter son talent au monde entier et d'espérer remporter l'un des prestigieux prix décernés lors de cette compétition.
L'odj avec SNRTnews
Grâce à cette sélection, Zineb Wakrim a la possibilité de présenter son talent au monde entier et d'espérer remporter l'un des prestigieux prix décernés lors de cette compétition.
L'odj avec SNRTnews