Cette initiative résulte d'un partenariat entre le ministère et la Fondation Mohammed V pour la Solidarité, à travers le Centre de Formation et de Qualification aux Métiers de l'Artisanat de Marrakech. Elle vise à protéger et à promouvoir cet héritage culturel immatériel, qui est non seulement un élément central de l'artisanat marocain, mais également un symbole fort de l'identité nationale.
Protéger le caftan face à la concurrence
Lors de cet atelier, Moha Errich, directeur de la Préservation du Patrimoine, de l'Innovation et de la Promotion au ministère, a souligné l'importance de cette démarche pour protéger le caftan marocain contre les tentatives d'appropriation à l'étranger. Il a évoqué la nécessité d'une labellisation face à une concurrence déloyale croissante, affirmant que l'objectif est de créer une marque collective de certification qui facilitera la commercialisation du caftan tout en garantissant son authenticité. "En déposant cette marque au niveau national et international, nous assurons que le caftan marocain est un produit 100 % marocain", a-t-il déclaré.
M. Errich a également cité l'exemple du zellige de Fès, illustrant l'importance d'une telle protection pour préserver l'origine et la qualité des produits représentant l'identité culturelle du Maroc. "Il est primordial que tous les produits qui incarnent notre héritage bénéficient d'une telle garantie", a-t-il conclu.
Une stratégie de valorisation du patrimoine
Abderrahim Belkhayat, directeur régional de l'artisanat à Fès, a rappelé la politique de protection mise en place par le ministère pour sauvegarder l'artisanat marocain face aux tentatives d'appropriation. "Notre héritage culturel est souvent sujet à la contrefaçon et à la piraterie", a-t-il averti. L'atelier a pour but de définir un cahier des charges pour l'utilisation de la marque collective, qui renforcera la notoriété du caftan et son rayonnement sur la scène touristique internationale.
Les organisateurs précisent que ce projet s'inscrit dans une stratégie plus large, visant à préserver les savoir-faire traditionnels et à valoriser le patrimoine immatériel national, conformément à la loi 133.12 et ses textes d'application. Cette rencontre a réuni des acteurs clés du secteur, incluant des représentants du ministère, de la Fondation Mohammed V, ainsi que des experts et des professionnels du caftan, renforçant ainsi l'engagement collectif pour la protection de cet héritage précieux.
Protéger le caftan face à la concurrence
Lors de cet atelier, Moha Errich, directeur de la Préservation du Patrimoine, de l'Innovation et de la Promotion au ministère, a souligné l'importance de cette démarche pour protéger le caftan marocain contre les tentatives d'appropriation à l'étranger. Il a évoqué la nécessité d'une labellisation face à une concurrence déloyale croissante, affirmant que l'objectif est de créer une marque collective de certification qui facilitera la commercialisation du caftan tout en garantissant son authenticité. "En déposant cette marque au niveau national et international, nous assurons que le caftan marocain est un produit 100 % marocain", a-t-il déclaré.
M. Errich a également cité l'exemple du zellige de Fès, illustrant l'importance d'une telle protection pour préserver l'origine et la qualité des produits représentant l'identité culturelle du Maroc. "Il est primordial que tous les produits qui incarnent notre héritage bénéficient d'une telle garantie", a-t-il conclu.
Une stratégie de valorisation du patrimoine
Abderrahim Belkhayat, directeur régional de l'artisanat à Fès, a rappelé la politique de protection mise en place par le ministère pour sauvegarder l'artisanat marocain face aux tentatives d'appropriation. "Notre héritage culturel est souvent sujet à la contrefaçon et à la piraterie", a-t-il averti. L'atelier a pour but de définir un cahier des charges pour l'utilisation de la marque collective, qui renforcera la notoriété du caftan et son rayonnement sur la scène touristique internationale.
Les organisateurs précisent que ce projet s'inscrit dans une stratégie plus large, visant à préserver les savoir-faire traditionnels et à valoriser le patrimoine immatériel national, conformément à la loi 133.12 et ses textes d'application. Cette rencontre a réuni des acteurs clés du secteur, incluant des représentants du ministère, de la Fondation Mohammed V, ainsi que des experts et des professionnels du caftan, renforçant ainsi l'engagement collectif pour la protection de cet héritage précieux.