Fouzi Lekjaa, président de la FRMF.
Tout le monde est d’accord que le football est un sport universel, il unit les peuples et permet aussi à des cultures diverses de se découvrir. Mais, ce n’est pas vrai… Prenons comme exemple la dernière date FIFA et plus précisément les éliminatoires de la Coupe de Monde Qatar 2022-Zone Afrique. Beaucoup de nations africaines ont choisi d’accueillir leurs matchs dans un pays d’Afrique du nord, un pays disposant de plusieurs stades aux normes internationales.
Mais malheureusement, cette richesse en matière d’infrastructure sportive incommode dirigeants, journalistes et analystes d’un autre pays de la même région qui n’arrive toujours pas à fournir une pelouse digne de ce nom à sa propre équipe nationale…
Et afin d’atteindre a colère de leur entraîneur, de leurs joueurs et du public aussi, les personnes que nous venons de citer un peu plus haut ont fait sortir un mot magique : COMPLOT !
Cependant, selon eux, le Maroc serait derrière tous les maux dont souffre leur pays (pénurie d’eau courante, inflation, chômage, feux de forêt, perte de pouvoir d'achat, harragas qui quittent par centaines chaque jour le pays…), mais surtout, il est le principal responsable de l’état catastrophique de la pelouse de leur stade.
Ces personnes qui vise à déstabiliser leur équipe nationale, seraient recommandées par un seul homme : le président de la Fédération du pays voisin, qui est aussi un membre du Conseil de la FIFA et du Comité exécutif de la CAF.
S’agissant de Faouzi Lakjaa qui est devenu la cible de la presse algérienne, particulièrement de celle connue pour ses accointances avec la junte militaire.
Ces journaleux pro-régime militaire ne manquent aucune occasion pour discréditer le patron de la FRMF. Cet acharnement s’est accentué depuis que Lakjaa a rejoint le gouvernement d’Akhannouch en tant que ministre délégué auprès du ministre de l'Économie et des Finances, chargé du Budget. Ils demandent désormais à ce que Lekjaa soit exclu du Conseil de la FIFA !
Dans sa plaidoirie, un certain M.T. s’est référé aux statuts de l’instance dirigeante du football mondial et plus précisément à l’alinéa 4.2 qui explique que la “FIFA demeure neutre en matière de politique et de religion. Des exceptions peuvent être faites pour des questions touchant aux objectifs statutaires de la FIFA”. Voilà leur argument !
Par ailleurs, Lekjaa ne touche en aucun cas à la neutralité de cette instance vu qu’il n’a aucune appartenance politique. Son seul crime, c’est porter la nationalité marocaine détesté par le régime gouvernant notre ami M.T.
Cette attitude raciste qui est condamnée par cette même FIFA conformément à l’alinéa 4.1, se trouve juste au-dessus de celui présenté par notre journaleux: “Toute discrimination d’un pays, d’un individu ou d’un groupe de personnes pour des raisons de couleur de peau, d’origine ethnique, géographique ou sociale, de sexe, de handicap, de langue, de religion, de conceptions politiques ou autres, de fortune, de naissance ou autre statut, d’orientation sexuelle ou pour toute autre raison est expressément interdite, sous peine de suspension ou d’exclusion”.
“NoBody”, car c’est ton nouveau surnom désormais, tu viens, de démolir ta propre défense. Moutko était ministre des sports de 2008 à 2016 et ça ne l’a pas empêché de siéger au Conseil de la FIFA, depuis 2009. Il a été déclaré “non éligible” en raison d'un risque de conflit d'intérêt, car il était président du Comité d'organisation du Mondial 2018 en Russie, mais surtout à cause de sa fonction de vice-Premier ministre.
Moutko a fait également partie des responsables russes cités dans le rapport McLaren consacré au vaste scandale de dopage d'État en Russie de 2011 à 2015, notamment lors des Jeux olympiques d'hiver de Sotchi en 2014. Un détail que tu as visiblement oublié de préciser.
Est-ce que ça serait une manière de discréditer le président de la FIFA, Gianni Infantino, et un membre de son conseil à quelques semaines du vote pour le changement de la périodicité de la Coupe du monde?
Mais malheureusement, cette richesse en matière d’infrastructure sportive incommode dirigeants, journalistes et analystes d’un autre pays de la même région qui n’arrive toujours pas à fournir une pelouse digne de ce nom à sa propre équipe nationale…
Et afin d’atteindre a colère de leur entraîneur, de leurs joueurs et du public aussi, les personnes que nous venons de citer un peu plus haut ont fait sortir un mot magique : COMPLOT !
Cependant, selon eux, le Maroc serait derrière tous les maux dont souffre leur pays (pénurie d’eau courante, inflation, chômage, feux de forêt, perte de pouvoir d'achat, harragas qui quittent par centaines chaque jour le pays…), mais surtout, il est le principal responsable de l’état catastrophique de la pelouse de leur stade.
Ces personnes qui vise à déstabiliser leur équipe nationale, seraient recommandées par un seul homme : le président de la Fédération du pays voisin, qui est aussi un membre du Conseil de la FIFA et du Comité exécutif de la CAF.
S’agissant de Faouzi Lakjaa qui est devenu la cible de la presse algérienne, particulièrement de celle connue pour ses accointances avec la junte militaire.
Ces journaleux pro-régime militaire ne manquent aucune occasion pour discréditer le patron de la FRMF. Cet acharnement s’est accentué depuis que Lakjaa a rejoint le gouvernement d’Akhannouch en tant que ministre délégué auprès du ministre de l'Économie et des Finances, chargé du Budget. Ils demandent désormais à ce que Lekjaa soit exclu du Conseil de la FIFA !
Dans sa plaidoirie, un certain M.T. s’est référé aux statuts de l’instance dirigeante du football mondial et plus précisément à l’alinéa 4.2 qui explique que la “FIFA demeure neutre en matière de politique et de religion. Des exceptions peuvent être faites pour des questions touchant aux objectifs statutaires de la FIFA”. Voilà leur argument !
Par ailleurs, Lekjaa ne touche en aucun cas à la neutralité de cette instance vu qu’il n’a aucune appartenance politique. Son seul crime, c’est porter la nationalité marocaine détesté par le régime gouvernant notre ami M.T.
Cette attitude raciste qui est condamnée par cette même FIFA conformément à l’alinéa 4.1, se trouve juste au-dessus de celui présenté par notre journaleux: “Toute discrimination d’un pays, d’un individu ou d’un groupe de personnes pour des raisons de couleur de peau, d’origine ethnique, géographique ou sociale, de sexe, de handicap, de langue, de religion, de conceptions politiques ou autres, de fortune, de naissance ou autre statut, d’orientation sexuelle ou pour toute autre raison est expressément interdite, sous peine de suspension ou d’exclusion”.
“NoBody”, car c’est ton nouveau surnom désormais, tu viens, de démolir ta propre défense. Moutko était ministre des sports de 2008 à 2016 et ça ne l’a pas empêché de siéger au Conseil de la FIFA, depuis 2009. Il a été déclaré “non éligible” en raison d'un risque de conflit d'intérêt, car il était président du Comité d'organisation du Mondial 2018 en Russie, mais surtout à cause de sa fonction de vice-Premier ministre.
Moutko a fait également partie des responsables russes cités dans le rapport McLaren consacré au vaste scandale de dopage d'État en Russie de 2011 à 2015, notamment lors des Jeux olympiques d'hiver de Sotchi en 2014. Un détail que tu as visiblement oublié de préciser.
Est-ce que ça serait une manière de discréditer le président de la FIFA, Gianni Infantino, et un membre de son conseil à quelques semaines du vote pour le changement de la périodicité de la Coupe du monde?