La qualification:
Pour décrocher son ticket pour la CAN 2023, la RDC a fini première du groupe I des éliminatoires avec 12 points au compteur.
Les Léopards ont pourtant démarré par deux défaites, contre le Gabon (0-1) et le Soudan (2-1). Ils ont ensuite enchaîné quatre victoires: contre la Mauritanie (3-1 puis 0-3), le Gabon (0-2) et le Soudan (2-0).
La Mauritanie, qui a récolté 10 points, est l’autre équipe qualifiée dans ce groupe assez relevé.
Les précédentes performances en CAN:
21e nation à arracher sa qualification pour la CAN 2023, la RD Congo y participera pour la 20e fois de son histoire.
Sa dernière apparition date de 2019, lorsqu’elle s’était arrêtée en huitième de finale. Demi-finaliste en 2015 et 1998, elle a deux sacres à son actif en 1968 et 1974.
64e nation au classement FIFA, la RDC est 12e sur le plan africain.
L’historique des confrontations:
Au total, le Maroc et la RDC (précédemment Zaïre) se sont affrontés à 11 reprises pour un bilan de 3 victoires, 5 nuls et 3 défaites.
Les deux nations étaient face à face lors de 5 éditions de la CAN: en 1972 (1-1), 1976 (victoire par 1 à 0), 1988 (1-1), 1992 (1-1) et 2017 (défaite par 1 à 0).
La star:
Coaché par le Français Sébastien Desabre, ancien entraîneur du Wydad de Casablanca, la RDC peut compter sur l’inoxydable Cédric Bakambu (32 ans).
En 42 sélections, il a inscrit 15 buts, ce qui le place à la deuxième place du classement des meilleurs buteurs de l’histoire de cette équipe congolaise, à 7 longueurs de la légende Dieumerci Mbokani.
Évoluant à Galatasaray, comme Hakim Ziyech, Cédric Bakambu a disputé trois éditions de la CAN (2015, 2017 et 2019). Il avait pris sa retraite en avril 2022, avant de revenir sur sa décision en mars 2023 après les sollicitations de Desabre.
Leur surnom:
Les joueurs internationaux de la RDC sont surnommés les Léopards. Une tête de léopard figure d’ailleurs au centre des armoiries de l’équipe.
Comme pour beaucoup de nations africaines, leur surnom fait référence à un animal présent dans le pays.
Entre 1997 et 2006, donc peu après le changement de nom du pays, les joueurs étaient surnommés les Simba, ce qui veut dire lion en swahili, langue largement parlée en l'Afrique de l'Est.
Pour décrocher son ticket pour la CAN 2023, la RDC a fini première du groupe I des éliminatoires avec 12 points au compteur.
Les Léopards ont pourtant démarré par deux défaites, contre le Gabon (0-1) et le Soudan (2-1). Ils ont ensuite enchaîné quatre victoires: contre la Mauritanie (3-1 puis 0-3), le Gabon (0-2) et le Soudan (2-0).
La Mauritanie, qui a récolté 10 points, est l’autre équipe qualifiée dans ce groupe assez relevé.
Les précédentes performances en CAN:
21e nation à arracher sa qualification pour la CAN 2023, la RD Congo y participera pour la 20e fois de son histoire.
Sa dernière apparition date de 2019, lorsqu’elle s’était arrêtée en huitième de finale. Demi-finaliste en 2015 et 1998, elle a deux sacres à son actif en 1968 et 1974.
64e nation au classement FIFA, la RDC est 12e sur le plan africain.
L’historique des confrontations:
Au total, le Maroc et la RDC (précédemment Zaïre) se sont affrontés à 11 reprises pour un bilan de 3 victoires, 5 nuls et 3 défaites.
Les deux nations étaient face à face lors de 5 éditions de la CAN: en 1972 (1-1), 1976 (victoire par 1 à 0), 1988 (1-1), 1992 (1-1) et 2017 (défaite par 1 à 0).
La star:
Coaché par le Français Sébastien Desabre, ancien entraîneur du Wydad de Casablanca, la RDC peut compter sur l’inoxydable Cédric Bakambu (32 ans).
En 42 sélections, il a inscrit 15 buts, ce qui le place à la deuxième place du classement des meilleurs buteurs de l’histoire de cette équipe congolaise, à 7 longueurs de la légende Dieumerci Mbokani.
Évoluant à Galatasaray, comme Hakim Ziyech, Cédric Bakambu a disputé trois éditions de la CAN (2015, 2017 et 2019). Il avait pris sa retraite en avril 2022, avant de revenir sur sa décision en mars 2023 après les sollicitations de Desabre.
Leur surnom:
Les joueurs internationaux de la RDC sont surnommés les Léopards. Une tête de léopard figure d’ailleurs au centre des armoiries de l’équipe.
Comme pour beaucoup de nations africaines, leur surnom fait référence à un animal présent dans le pays.
Entre 1997 et 2006, donc peu après le changement de nom du pays, les joueurs étaient surnommés les Simba, ce qui veut dire lion en swahili, langue largement parlée en l'Afrique de l'Est.