Le journal a notamment ajouté : «qu’après avoir annoncé la rupture des relations diplomatiques entre l'Algérie et le Maroc, l'Algérie a décidé unilatéralement de ne pas renouveler le contrat de transit du gazoduc Maghreb-Europe (GME) qui traverse le pays voisin et se termine en Espagne. Ce qui signifie une perte pour le Maroc, qui bénéfice de 7% du carburant qui le traverse vers la péninsule ibérique à titre de redevances, soulignant que cette nouvelle situation oblige le Royaume à accélérer sa politique de promotion des énergies renouvelables, notamment pour les cellules photovoltaïques, afin d’assurer son approvisionnement énergétique.
Le quotidien espagnol, traditionnellement peu favorable au Royaume, a expliqué qu'en 2016, la plus grande centrale solaire au monde a été ouverte dans la région de Ouarzazate, et le projet Noor s'est développé en plein désert, dans un « paradis solaire », ayant 320 jours par an d’ensoleillement à disposition des ressources du photovoltaïque disponible, et ce pour produire de l'électricité. Suite à quoi, nombreux pays ont posé les yeux sur le Maroc et sur ce projet inédit.
La publication a également rapporter que selon Rayan Merkaoui, consultant spécialisé dans les énergies renouvelables, le Maroc était considéré comme « La centrale solaire mondiale », ajoutant que puisque ce nouveau test était associé à la célébration de la conférence COP22 à Marrakech la même année, et à la signature de les accords de Paris sur le climat, le Maroc poursuit le développement de son énergie solaire, au point que le fameux « Green Future Index » du Massachusetts Institute of Technology, dans son édition 2021, a placé le Maroc à la cinquième place du classement mondial dans la catégorie « Clean Innovation ». Le pays confirme ainsi sa position de leader sur le marché de l'énergie solaire en Afrique.
Le journal a souligné que : « le paysage sur le continent africain est en train de changer, et les petites entreprises se développent et ont besoin d'électricité, grâce à des capitaux privés et des structures plus spécialisées dans le secteur photovoltaïque qui permettent l'autoproduction d'énergie, comme José Donoso, directeur Général de la Fédération espagnole de l'énergie photovoltaïque, décrit cette nouvelle technologie pour électrifier le continent comme une "mini-révolution" et insiste sur le fait que l'énergie solaire est bien l'énergie du présent."
En conclusion, "les objectifs sont clairs et ambitieux. Augmenter la part d'énergie électrique issue de sources renouvelables à 42% d'ici 2020 et 52% d'ici 2030, en fait, permettra au Royaume du Maroc de faire d'une pierre deux coups" commente El Mundo.
Le journal espagnol a soutenu que, « d'une part, il répond à ses besoins croissants en électricité, et d'autre part, il augmente sa capacité à exporter de l'électricité vers l'Europe, ce qui générera de la richesse pour son économie dans son ensemble selon les propos de l’agence pour l'énergie durable.
Le journal souligne enfin que « le Maroc a de nombreux atouts pour mettre en place un marché de l'énergie solaire très compétitif, outre le climat favorable, avec un ensoleillement massif, et le pays est idéalement situé, ce qui est l'un des arguments qui ont convaincu Thierry Poitout, l’investisseur français, pour implanter ses entreprises photovoltaïques au Maroc.
Le quotidien espagnol, traditionnellement peu favorable au Royaume, a expliqué qu'en 2016, la plus grande centrale solaire au monde a été ouverte dans la région de Ouarzazate, et le projet Noor s'est développé en plein désert, dans un « paradis solaire », ayant 320 jours par an d’ensoleillement à disposition des ressources du photovoltaïque disponible, et ce pour produire de l'électricité. Suite à quoi, nombreux pays ont posé les yeux sur le Maroc et sur ce projet inédit.
La publication a également rapporter que selon Rayan Merkaoui, consultant spécialisé dans les énergies renouvelables, le Maroc était considéré comme « La centrale solaire mondiale », ajoutant que puisque ce nouveau test était associé à la célébration de la conférence COP22 à Marrakech la même année, et à la signature de les accords de Paris sur le climat, le Maroc poursuit le développement de son énergie solaire, au point que le fameux « Green Future Index » du Massachusetts Institute of Technology, dans son édition 2021, a placé le Maroc à la cinquième place du classement mondial dans la catégorie « Clean Innovation ». Le pays confirme ainsi sa position de leader sur le marché de l'énergie solaire en Afrique.
Le journal a souligné que : « le paysage sur le continent africain est en train de changer, et les petites entreprises se développent et ont besoin d'électricité, grâce à des capitaux privés et des structures plus spécialisées dans le secteur photovoltaïque qui permettent l'autoproduction d'énergie, comme José Donoso, directeur Général de la Fédération espagnole de l'énergie photovoltaïque, décrit cette nouvelle technologie pour électrifier le continent comme une "mini-révolution" et insiste sur le fait que l'énergie solaire est bien l'énergie du présent."
En conclusion, "les objectifs sont clairs et ambitieux. Augmenter la part d'énergie électrique issue de sources renouvelables à 42% d'ici 2020 et 52% d'ici 2030, en fait, permettra au Royaume du Maroc de faire d'une pierre deux coups" commente El Mundo.
Le journal espagnol a soutenu que, « d'une part, il répond à ses besoins croissants en électricité, et d'autre part, il augmente sa capacité à exporter de l'électricité vers l'Europe, ce qui générera de la richesse pour son économie dans son ensemble selon les propos de l’agence pour l'énergie durable.
Le journal souligne enfin que « le Maroc a de nombreux atouts pour mettre en place un marché de l'énergie solaire très compétitif, outre le climat favorable, avec un ensoleillement massif, et le pays est idéalement situé, ce qui est l'un des arguments qui ont convaincu Thierry Poitout, l’investisseur français, pour implanter ses entreprises photovoltaïques au Maroc.