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Et pour causes, ces mêmes perspectives dépendent, non seulement, de l'issue de la course entre le virus et les vaccins, mais aussi de l'efficacité avec laquelle les mesures économiques mises en œuvre dans un contexte de forte incertitude peuvent limiter les séquelles causées par cette crise inédite.
Globalement, cette institution de Bretton Woods situe, jusqu’ici, la croissance mondiale à 6 % en 2021 puis à 4,4 % en 2022.
Pour ce qui est du Maroc, les projections du FMI évoquent une progression du PIB réel de l’ordre de 4,5 % en 2021 et de 3,9 % en 2022.
Des projections de croissance qui demeurent au titre de l’exercice en cours bien en deca de celles retenues par Bank Al Maghrib (5,3 %) lors de son tout dernier conseil du 23 mars dernier ou celles, toutes récentes, du Comité de veille économique qui ont retenu le 2 avril dernier un taux de 5,2 % , soit 0,4 point de plus par rapport aux prévisions retenues dans le cadre de la Loi de Finances 2021.
Pour bien d’autres indicateurs, le FMI anticipe un recul de chômage qui devrait se situer à 10,5 % en 2021, en baisse par rapport à 11,9 % en 2020, contre 9,7 % en 2022.
Et ce, au moment où les prix à la consommation ou l’inflation devraient se situer à 0,8 % en 2021 avant de grimper à 1,2 % en 2022.
Noureddine BATIJE
Globalement, cette institution de Bretton Woods situe, jusqu’ici, la croissance mondiale à 6 % en 2021 puis à 4,4 % en 2022.
Pour ce qui est du Maroc, les projections du FMI évoquent une progression du PIB réel de l’ordre de 4,5 % en 2021 et de 3,9 % en 2022.
Des projections de croissance qui demeurent au titre de l’exercice en cours bien en deca de celles retenues par Bank Al Maghrib (5,3 %) lors de son tout dernier conseil du 23 mars dernier ou celles, toutes récentes, du Comité de veille économique qui ont retenu le 2 avril dernier un taux de 5,2 % , soit 0,4 point de plus par rapport aux prévisions retenues dans le cadre de la Loi de Finances 2021.
Pour bien d’autres indicateurs, le FMI anticipe un recul de chômage qui devrait se situer à 10,5 % en 2021, en baisse par rapport à 11,9 % en 2020, contre 9,7 % en 2022.
Et ce, au moment où les prix à la consommation ou l’inflation devraient se situer à 0,8 % en 2021 avant de grimper à 1,2 % en 2022.
Noureddine BATIJE