Parti en pole position, le Néerlandais a largement devancé le Britannique Lewis Hamilton (Mercedes) et le local de l'étape, l'autre Red Bull du Mexicain Sergio Pérez, pour la 20e manche sur 22 sur le circuit des Frères Rodriguez.
"14 victoires, c'est incroyable!", a savouré le double champion, inarrêtable, qui a fini avec 15 secondes d'avance.
George Russell (Mercedes), parti 2e mais doublé dès les premiers virages par son équipier Hamilton et par Pérez, a fini 4e, devant les Ferrari de Carlos Sainz et Charles Leclerc, peu performants ce week-end.
- 395.000 spectateurs depuis vendredi -
Assuré du titre depuis le Japon il y a deux courses déjà, Verstappen remporte là sa 34e victoire. A 25 ans, il est le 6e pilote le plus prolifique de l'histoire de la F1 et a en ligne de mire la légende brésilienne Ayrton Senna et ses 41 succès.
Red Bull, titrée chez les constructeurs dimanche dernier à Austin, continue son cavalier seul. Imbattable depuis neuf courses désormais avec une dernière défaite le 10 juillet en Autriche (Leclerc), elle se comporte mieux en piste qu'en dehors, après avoir été sanctionnée pour avoir dépassé le plafond budgétaire 2021.
L'écurie a remporté 16 des 20 courses disputées, en comptant les deux de Pérez. Devant une foule acquise à sa cause, Pérez aurait bien voulu en ajouter une troisième.
Porté par les "Checo! Checo!" de ses supporters déchaînés, notamment dans l'assourdissant stadium Foro Sol, le Mexicain n'a pas pu faire mieux. Il se console en doublant Leclerc à la 2e place au général.
En ce week-end de célébrations à Mexico, avant le Dia de muertos, la fête a donc été quasiment totale pour les 395.000 spectateurs venu remplir les tribunes depuis vendredi.
Presque, car encore une fois, la course a ressemblé à une longue procession avec Verstappen à sa tête. Au panthéon des victoires lors d'une même saison, Verstappen dépasse désormais les Allemands Michael Schumacher (2004) et Sebastian Vettel (2013), à égalité avec 13 succès.
Au pourcentage de victoires en revanche, "Schumi" reste pour le moment en tête avec 13 victoires sur 18 courses. Il faudra donc faire les comptes en fin de saison pour voir qui détient "réellement" le record.
Mercedes devance Ferrari
Verstappen, dont la faim de victoires n'a pas de limite, a encore deux occasions de briller: le Brésil (13 novembre) et Abou Dhabi (20 novembre).
Au Mexique, comme aux Etats-Unis la semaine dernière, c'est son meilleur ennemi, le vice-champion du monde en titre Hamilton qui a été la menace la plus sérieuse - quoique lointaine.
Hamilton n'a rien pu faire. Il n'a pas pu non plus bénéficier de l'arrivée d'une voiture de sécurité providentielle, même après l'arrêt moteur en fin de course de l'Alpine de Fernando Alonso, visiblement très énervé par ce nouveau souci de fiabilité.
Le Britannique n'a plus que deux courses pour sauver l'honneur, remporter une 104e victoire et glaner un autre fameux record: s'imposer au moins une fois lors de 16 années consécutives.
Et il y a des raisons d'y croire, vu les améliorations de Mercedes, en train de supplanter Ferrari comme deuxième force du plateau.
De quoi se projeter vers un nouveau match Red Bull - Mercedes en 2023... et de quoi donner des migraines à la direction de Ferrari, qui peine à tenir la cadence même si elle s'accroche à la 2e place au classement des constructeurs.
LODJ avec AFP
"Max, félicitations c'est un nouveau record!": dès la fin de course, plutôt une balade à 2200 mètres d'altitude, Verstappen a été congratulé par son patron Christian Horner.
"14 victoires, c'est incroyable!", a savouré le double champion, inarrêtable, qui a fini avec 15 secondes d'avance.
George Russell (Mercedes), parti 2e mais doublé dès les premiers virages par son équipier Hamilton et par Pérez, a fini 4e, devant les Ferrari de Carlos Sainz et Charles Leclerc, peu performants ce week-end.
- 395.000 spectateurs depuis vendredi -
Assuré du titre depuis le Japon il y a deux courses déjà, Verstappen remporte là sa 34e victoire. A 25 ans, il est le 6e pilote le plus prolifique de l'histoire de la F1 et a en ligne de mire la légende brésilienne Ayrton Senna et ses 41 succès.
Red Bull, titrée chez les constructeurs dimanche dernier à Austin, continue son cavalier seul. Imbattable depuis neuf courses désormais avec une dernière défaite le 10 juillet en Autriche (Leclerc), elle se comporte mieux en piste qu'en dehors, après avoir été sanctionnée pour avoir dépassé le plafond budgétaire 2021.
L'écurie a remporté 16 des 20 courses disputées, en comptant les deux de Pérez. Devant une foule acquise à sa cause, Pérez aurait bien voulu en ajouter une troisième.
Porté par les "Checo! Checo!" de ses supporters déchaînés, notamment dans l'assourdissant stadium Foro Sol, le Mexicain n'a pas pu faire mieux. Il se console en doublant Leclerc à la 2e place au général.
En ce week-end de célébrations à Mexico, avant le Dia de muertos, la fête a donc été quasiment totale pour les 395.000 spectateurs venu remplir les tribunes depuis vendredi.
Presque, car encore une fois, la course a ressemblé à une longue procession avec Verstappen à sa tête. Au panthéon des victoires lors d'une même saison, Verstappen dépasse désormais les Allemands Michael Schumacher (2004) et Sebastian Vettel (2013), à égalité avec 13 succès.
Au pourcentage de victoires en revanche, "Schumi" reste pour le moment en tête avec 13 victoires sur 18 courses. Il faudra donc faire les comptes en fin de saison pour voir qui détient "réellement" le record.
Mercedes devance Ferrari
Verstappen, dont la faim de victoires n'a pas de limite, a encore deux occasions de briller: le Brésil (13 novembre) et Abou Dhabi (20 novembre).
Au Mexique, comme aux Etats-Unis la semaine dernière, c'est son meilleur ennemi, le vice-champion du monde en titre Hamilton qui a été la menace la plus sérieuse - quoique lointaine.
Hamilton n'a rien pu faire. Il n'a pas pu non plus bénéficier de l'arrivée d'une voiture de sécurité providentielle, même après l'arrêt moteur en fin de course de l'Alpine de Fernando Alonso, visiblement très énervé par ce nouveau souci de fiabilité.
Le Britannique n'a plus que deux courses pour sauver l'honneur, remporter une 104e victoire et glaner un autre fameux record: s'imposer au moins une fois lors de 16 années consécutives.
Et il y a des raisons d'y croire, vu les améliorations de Mercedes, en train de supplanter Ferrari comme deuxième force du plateau.
De quoi se projeter vers un nouveau match Red Bull - Mercedes en 2023... et de quoi donner des migraines à la direction de Ferrari, qui peine à tenir la cadence même si elle s'accroche à la 2e place au classement des constructeurs.
LODJ avec AFP