Sa monoplace, par contre, a été quasiment désintégrée et son équipe a préféré ne pas la reconstruire dans l'urgence et ainsi conserver des pièces de remplacement pour la prochaine course en Australie du 8 au 10 avril. "Il faut gérer nos composants et les pièces de la voiture", a développé Schumacher lors d'un point presse sur le paddock du circuit de Jeddah.
La séance a été interrompue immédiatement après son crash, pour une cinquantaine de minutes, le temps d'un premier bilan de santé puis de dégager sa monoplace. Les images prises immédiatement après étaient inquiétantes, le pilote ne bougeant pas. Mais "j'étais à 100%, a-t-il assuré. C'est surtout de la frustration à propos de ce qui venait de se produire. Je réfléchissais à ce qui venait de se passer et ce que j'aurais pu mieux faire."
Schumacher a finalement été emmené en ambulance au centre médical du circuit puis héliporté vers un hôpital pour des contrôles de précaution, avant d'être rapidement autorisé à rentrer à son hôtel.
LODJ avec AFP
"C'est la deuxième course, c'est assez tendu pour les pièces de rechange à ce moment de l'année, donc je me doutais que ça serait difficile" de prendre le départ du GP à 20h00 locales (19h00 en France). Pendant la deuxième partie des qualifications, le fils de Michael Schumacher a perdu le contrôle de sa monoplace, avant de percuter violemment un muret.
Cet accident a ravivé les inquiétudes à propos d'un circuit très rapide et étroit, sur lequel les crashs ne pardonnent pas et la visibilité fait parfois défaut. "Ca n'est pas à moi de juger de la sécurité mais aux officiels et aux personnes qui décident, a répondu le pilote. Mais je pense qu'il y aura des choses à examiner. (...) Heureusement, les voitures sont tellement sûres de nos jours que j'ai pu m'en sortir."
La séance a été interrompue immédiatement après son crash, pour une cinquantaine de minutes, le temps d'un premier bilan de santé puis de dégager sa monoplace. Les images prises immédiatement après étaient inquiétantes, le pilote ne bougeant pas. Mais "j'étais à 100%, a-t-il assuré. C'est surtout de la frustration à propos de ce qui venait de se produire. Je réfléchissais à ce qui venait de se passer et ce que j'aurais pu mieux faire."
"Avant de commencer à bouger dans tous les sens, je voulais m'assurer que tout allait bien", a-t-il ajouté. "Puis les commissaires de piste et les médecins sont arrivés pour vérifier que j'allais bien. Quand j'ai senti que je pouvais bouger, je le leur ai dit mais ils trouvaient plus sûr de faire les vérifications médicales et tout ça."
Schumacher a finalement été emmené en ambulance au centre médical du circuit puis héliporté vers un hôpital pour des contrôles de précaution, avant d'être rapidement autorisé à rentrer à son hôtel.
LODJ avec AFP