Le cancer du poumon enregistre le plus grand nombre de cas (201 660) et de décès (122 740) dus à des facteurs de risque identifiés, suivi par le cancer du sein féminin (83 840 cas), le mélanome cutané (82 710 cas) et le cancer colorectal (78 440 cas).
En termes de décès, les cancers les plus meurtriers sont le cancer colorectal (25 800), le cancer du foie (14 720) et le cancer de l’œsophage (13 600). Aux États-Unis, un nombre élevé de cas et de décès dus au cancer sont attribuables à des facteurs de risque modifiables.
Les principaux facteurs de risque modifiables incluent :
- Le tabagisme et le tabagisme passif
- L'excès de poids
- La consommation d'alcool
- L'alimentation
- L'inactivité physique
- L'exposition aux rayons ultraviolets
- Les infections telles que le HPV
Une analyse menée sur 18 facteurs de risque modifiables pour 30 types de cancer révèle que le tabagisme est le facteur de risque le plus prévalent, responsable de près de 20 % des cas de cancer et d'un tiers des décès liés au cancer. Il affecte divers types de cancers, notamment le cancer du poumon, de la vessie, de la gorge et du pancréas. Le tabac introduit des cancérigènes dans le corps, favorise des mutations génétiques et altère le système immunitaire, contribuant ainsi au développement des tumeurs.
L'excès de poids est également un facteur majeur. L'excès de graisse corporelle augmente la production d'hormones et de facteurs de croissance qui favorisent l'inflammation et la prolifération cellulaire, propice au développement du cancer, notamment le cancer du sein où l'excès de tissu adipeux augmente les niveaux d'œstrogènes. Une perte de poids même modeste peut avoir un impact significatif.
La consommation d'alcool est un autre facteur de risque important. Elle accroît le risque de cancers du foie, de la bouche, de la gorge et du sein. Même une consommation modérée peut augmenter le risque de plusieurs cancers. Pendant le traitement du cancer, l'alcool peut interférer avec la guérison et aggraver les dommages, notamment dans le cancer du foie. Réduire ou éliminer la consommation d'alcool peut améliorer les résultats du traitement.
L'inactivité physique est aussi liée à un risque accru de cancer. L'exercice réduit le risque de nombreux cancers, dont ceux du côlon, du sein (post-ménopause) et de l'endomètre. Il aide à réguler les hormones et soutient un système immunitaire efficace. Des activités modérées comme la marche, la natation ou le vélo peuvent réduire le risque de cancer.
Les infections comme le HPV augmentent également le risque de certains cancers. Le HPV est lié au cancer du col de l'utérus et peut aussi entraîner des cancers de la vulve, du vagin, du pénis, de l'anus et de l'oropharynx. La vaccination contre le HPV est efficace pour prévenir ces infections et le dépistage régulier peut détecter les changements précancéreux tôt.
Les conclusions de cette étude soulignent l'importance des initiatives préventives pour réduire la morbidité et la mortalité prématurée dues au cancer, comme les taxes sur le tabac, le dépistage et le traitement des infections virales, et la vaccination contre le HPV.
En termes de décès, les cancers les plus meurtriers sont le cancer colorectal (25 800), le cancer du foie (14 720) et le cancer de l’œsophage (13 600). Aux États-Unis, un nombre élevé de cas et de décès dus au cancer sont attribuables à des facteurs de risque modifiables.
Les principaux facteurs de risque modifiables incluent :
- Le tabagisme et le tabagisme passif
- L'excès de poids
- La consommation d'alcool
- L'alimentation
- L'inactivité physique
- L'exposition aux rayons ultraviolets
- Les infections telles que le HPV
Une analyse menée sur 18 facteurs de risque modifiables pour 30 types de cancer révèle que le tabagisme est le facteur de risque le plus prévalent, responsable de près de 20 % des cas de cancer et d'un tiers des décès liés au cancer. Il affecte divers types de cancers, notamment le cancer du poumon, de la vessie, de la gorge et du pancréas. Le tabac introduit des cancérigènes dans le corps, favorise des mutations génétiques et altère le système immunitaire, contribuant ainsi au développement des tumeurs.
L'excès de poids est également un facteur majeur. L'excès de graisse corporelle augmente la production d'hormones et de facteurs de croissance qui favorisent l'inflammation et la prolifération cellulaire, propice au développement du cancer, notamment le cancer du sein où l'excès de tissu adipeux augmente les niveaux d'œstrogènes. Une perte de poids même modeste peut avoir un impact significatif.
La consommation d'alcool est un autre facteur de risque important. Elle accroît le risque de cancers du foie, de la bouche, de la gorge et du sein. Même une consommation modérée peut augmenter le risque de plusieurs cancers. Pendant le traitement du cancer, l'alcool peut interférer avec la guérison et aggraver les dommages, notamment dans le cancer du foie. Réduire ou éliminer la consommation d'alcool peut améliorer les résultats du traitement.
L'inactivité physique est aussi liée à un risque accru de cancer. L'exercice réduit le risque de nombreux cancers, dont ceux du côlon, du sein (post-ménopause) et de l'endomètre. Il aide à réguler les hormones et soutient un système immunitaire efficace. Des activités modérées comme la marche, la natation ou le vélo peuvent réduire le risque de cancer.
Les infections comme le HPV augmentent également le risque de certains cancers. Le HPV est lié au cancer du col de l'utérus et peut aussi entraîner des cancers de la vulve, du vagin, du pénis, de l'anus et de l'oropharynx. La vaccination contre le HPV est efficace pour prévenir ces infections et le dépistage régulier peut détecter les changements précancéreux tôt.
Les conclusions de cette étude soulignent l'importance des initiatives préventives pour réduire la morbidité et la mortalité prématurée dues au cancer, comme les taxes sur le tabac, le dépistage et le traitement des infections virales, et la vaccination contre le HPV.