Toutes les belles choses ont une fin. Les Lions de l’Atlas se sont arrêtés en demi-finale de la Coupe du monde Qatar 2022 après leur défaite contre la France (2-0), championne du monde en titre, ce mercredi 14 décembre.
Mais cette défaite n’enlève en rien du mérite des hommes de Walid Regragui, qui ont marqué l’histoire du football marocain et africain en devenant la première équipe du continent à briser le plafond de verre en atteignant ce stade de la compétition.
Le cortège de blessés a peut-être joué en défaveur de l’équipe nationale, mais pour le sélectionneur national, ses joueurs ont donné le maximum.
«Le plus important c'est d'avoir donné une bonne image, d'avoir montré au monde que le football marocain existait. Pour atteindre le très, très haut niveau, aller gagner une Coupe du monde, il faudra encore travailler mais on n'en est pas très loin», a déclaré le patron des Lions après la rencontre.
Désormais, l’avenir est tout tracé pour l’ancien entraîneur du Wydad qui, avec son effectif, a acquis une expérience non négligeable lors du tournoi qatari en affrontant, et battant, les plus grandes écoles footballistiques de la planète foot comme la Belgique, l’Espagne et le Portugal.
Il a su regrouper une jeune équipe qui a un bel avenir devant elle. En effet, parmi les demi-finalistes au Qatar, seul le capitaine Romain Saïss (32 ans), et le gardien Yassine Bounou (31 ans) ont dépassé la trentaine. Tous les autres sont âgés entre 22 ans, comme Ounahi, et 29 ans, comme Sofiane Boufal et Hakim Zyech.
Après ce parcours exceptionnel au Qatar, fruit d’énormes efforts au Maroc pour le développement du football national, l’équipe marocaine peut désormais envisager l'avenir sereinement et continuer à rêver et à écrire de nouveaux chapitres glorieux de son histoire.
Regragui l’a dit avant la demi-finale, il n'a pas envie d'attendre «40 ans pour dire qu'on a la possibilité de ramener une équipe africaine en finale». Les yeux vont se tourner désormais vers la Coupe d’Afrique 2024 en Côte d’Ivoire et la Coupe du monde 2026 aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada. L’objectif logique serait de faire mieux à savoir se hisser en finale.
En attendant, il y a une troisième place à aller chercher pour entrer un peu plus dans l’histoire.
LODJ avec Le360.ma
Mais cette défaite n’enlève en rien du mérite des hommes de Walid Regragui, qui ont marqué l’histoire du football marocain et africain en devenant la première équipe du continent à briser le plafond de verre en atteignant ce stade de la compétition.
Le cortège de blessés a peut-être joué en défaveur de l’équipe nationale, mais pour le sélectionneur national, ses joueurs ont donné le maximum.
«Le plus important c'est d'avoir donné une bonne image, d'avoir montré au monde que le football marocain existait. Pour atteindre le très, très haut niveau, aller gagner une Coupe du monde, il faudra encore travailler mais on n'en est pas très loin», a déclaré le patron des Lions après la rencontre.
Désormais, l’avenir est tout tracé pour l’ancien entraîneur du Wydad qui, avec son effectif, a acquis une expérience non négligeable lors du tournoi qatari en affrontant, et battant, les plus grandes écoles footballistiques de la planète foot comme la Belgique, l’Espagne et le Portugal.
Il a su regrouper une jeune équipe qui a un bel avenir devant elle. En effet, parmi les demi-finalistes au Qatar, seul le capitaine Romain Saïss (32 ans), et le gardien Yassine Bounou (31 ans) ont dépassé la trentaine. Tous les autres sont âgés entre 22 ans, comme Ounahi, et 29 ans, comme Sofiane Boufal et Hakim Zyech.
Après ce parcours exceptionnel au Qatar, fruit d’énormes efforts au Maroc pour le développement du football national, l’équipe marocaine peut désormais envisager l'avenir sereinement et continuer à rêver et à écrire de nouveaux chapitres glorieux de son histoire.
Regragui l’a dit avant la demi-finale, il n'a pas envie d'attendre «40 ans pour dire qu'on a la possibilité de ramener une équipe africaine en finale». Les yeux vont se tourner désormais vers la Coupe d’Afrique 2024 en Côte d’Ivoire et la Coupe du monde 2026 aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada. L’objectif logique serait de faire mieux à savoir se hisser en finale.
En attendant, il y a une troisième place à aller chercher pour entrer un peu plus dans l’histoire.
LODJ avec Le360.ma