Quel pari que celui de louper le diagnostic ! Un brin d’ironie avant de nous confier aux faits, aux questions qui les font…ou les défont. Que le jargon juridique ne nous berne pas. Que la facilité mise en bouche par les « accusés », sur fond de « détournement » de cause, ne nous soutire pas des larmes indues.
Avez-vous la larme facile ? Suffit-il de nous vendre les prouesses d’une incantation en v(a)gue ? Comme…instrumentalisation. Un exutoire de l’apanage des politiques, loin du quidam qui, s’il s’y brûle la lèvre, reçoit une flopée de rires, ringard aux yeux de l’opinion.
De quoi il retourne ? De quoi ce tintamarre est-il le nom ? Rachida Dati, la nôtre, par correspondance de cœurs, la leur par procuration, est mise en examen. Et alors ? Son sort n’est-il pas du ressort de la justice ? C’est selon…
De quel côté vous trouvez-vous ? Rachida est du métier, mais la maire en elle, y voit trouble, clame manigance ou complot, contre la politique qu’elle est. Une casquette tricolore qui sort à temps, peut-être à raison… y-a-t-il matière à rallier sa cause ? Oui.
L’approche des élections, et le LR en tête de course. On n’ouvre pas la chasse par le gros gibier, si des farceurs ne voient en Bertrand qu’un Fillon en gestation, poussent leurs dards jusqu’affubler de la même trappe à « costumes » ce « meneur » d’un temps…et celui d’après ?
D’autres, adeptes du « nivellement » par le bas, disent « casser » du LR en se ruant sur les « pièces » voisines, cette forteresse du « maître » candidat. Les médias diraient : Diabolisation. Une facilité ?
Et si Rachida cachait « mal » son « jeu » présidentiel ? Et si elle disait vrai ? Qui tiendrait ses fils qui remueraient le parquet en sa défaveur ? Il faut bien un instigateur non ? On connait la dent de Rachida contre le parti en place, « En marche » : un « ramassis » de traitres de gauches et de droites. Dit-elle à un mot près.
Peut-on seulement être plus coupant ? Si l’objet de dégoût de Rachida pouvait toucher un mot au parquet, que ne l’a-t-il pas fait pour qu’il lâche la grappe à Moretti ? Ou est-ce plus tortueux que cela ? Ou est-ce les juges qui se politisent ?
Mettons que ce « linge sale » que l’on couva pour l’occasion, fasse sauter la « candidate » en lice ? Et que « Tous pourris » soit l’estampille de LR ? Il n’en demeure pas moins que « linge sale » il y aurait… à tendre l’oreille…du côté du PNF.
Rachida, alors députée européenne, eut le malheur d’avoir côtoyé le « fanfaron » ou « le sauveur » selon les époques, une tête faite « d’étoiles », puis déchue : Carlos Ghosn.
L’ex-conseillère de Sarkozy, Pourquoi parler du président « Bling bling » ? c’est qu’il avait en horreur Carlos, mais pouvait-il seulement le mettre au pied ? Ce bon pourvoyeur d’emplois ? Non merci. C’est composer avec l’ennemi… N’est-ce pas l’entournure de la politique ?
Et Carlos de survivre à Sarkozy, à Holland, jusqu’à sa chute…Sacrifié par le président, jadis « Jupitérien » ? sur l’autel des relations nippones ? Mais qui sauva Nissan ? Parle-t-on « gratitude » au Japon ou très peu ? Passons…
Rachida Dati, aurait perçu la coquette somme de 900000 euros en deux ans chrono, de 2010 à 2012. À quel titre ? Et c’est là où le bât blesse…car pour faire du conseil juridique, il ne suffit pas d’être magistrat mais avocat ! Ce que Dati, dit-on, n’était pas…Pourquoi ? Elle n’aurait pas encore fait son serment d’avocat ! Subtil non ? Une forme à respecter…
Sur le fond, un doute est sitôt émis par le PNF sur la nature des prestations, et de conclure à un « emploi de complaisance ». En gros, une devanture pour camoufler ce qui s’apparenterait à du Lobbying. Un « trafic d’influence » pour favoriser la machine « Carlos Ghosn », lui faire gagner du territoire.
Et si ce fut une magouille ? Que ne l’a-t-on pas bien ficelé ? un excès de zèle ? d'où émanerait cette confiance excessive ? De un, la « tache » Dati fut couverte par le secret professionnel, de deux, même Nostradamus n’aurait pas prévu la chute de Carlos, ce gardien du temple et de tous les secrets.
Qui fit part au parquet de ce dérèglement ? Une actionnaire Renault, une fois le patron destitué. Sauf que l’État Français est aussi actionnaire, ne gardait-il pas un œil sur les comptes ? N’avait-il vent de l’affaire « Dati » ? Et si l'État était ce lanceur d’alerte ? À l’origine de cette plainte ? Plutôt pour enfoncer Carlos que pour tacler Rachida ? Ou c’est « d’une pierre deux coups » ?
Gardait-il ce « dossier » au chaud pour l’occasion ? N’est-ce pas toujours bon un « dossier » sous-main ? Aussi, pourquoi ce « conflit d’intérêt » ne fut pas « neutralisé » d’avance par la législation ? Pourquoi autoriser un député à doubler sa fonction de par l’exercice d’un métier porteur de conflit ?
Pour rappel, d’autres députés à l’époque furent avocats en exercice… Est-ce une brèche dans laquelle viendrait s’immiscer sur le tard, et au besoin, Dame justice, ou autres intéressés ?
Ou ce « conflit d’intérêt » suspendu sur la tête de tout un, reste soumis à l’appréciation du seul juge, appuyé par des approximations quelques fois biaisés ?
Car suffit-il que l’on soit garde des sceaux, que l’on ordonne des enquêtes administratives sur des magistrats avec lesquels nous eûmes embrouilles, pour que ces derniers, susceptibles ou pas... crient au scandale, au règlement de compte, et de là au conflit d’intérêt ? Ça vous rappelle quelqu’un ? L’actuel garde des sceaux bien sûr…Moretti.
C’est dire de la subtilité en la matière…n’est-ce pas là plutôt une faille juridique ? que des garde-fous se doivent être pensés pour parer, au mieux que l’on peut, contre l’équivoque ? Mieux vaut punir que prévenir ?
Pour Rachida Dati y eut-il conflit d’intérêt ? agrémentons cette question par lesdits prestations dont la nature ne serait pas clairement définie…cela mettrait-il à mal la « devanture » conseil ? pourvu que c’en soit une…
Les 900000 euros, ne tranchent-ils pas avec la réputation de « Cost Killer » décernée à Carlos ? N’est-ce pas la coupe dans la masse salariale de « Nissan » qui sauva Nissan de la faillite ?
Quoique de l’autre côté, le salaire " Ghosn" équivalait à 750 fois le smig, sa sœur aurait, dit-on, bénéficié d’un « emploi de complaisance » en tant que chargée d’actions caritatives, qu’au fil de ses années en poste quelques 70 millions d’euros auraient disparu de la circulation...
Était-ce un « dossier » qui l’attendait au coin ? à l’exemple de ceux supposés tels, précités ? Rachida risque-t-elle d’être lâchée par les siens à l’exemple de Carlos ?
Avez-vous la larme facile ? Suffit-il de nous vendre les prouesses d’une incantation en v(a)gue ? Comme…instrumentalisation. Un exutoire de l’apanage des politiques, loin du quidam qui, s’il s’y brûle la lèvre, reçoit une flopée de rires, ringard aux yeux de l’opinion.
De quoi il retourne ? De quoi ce tintamarre est-il le nom ? Rachida Dati, la nôtre, par correspondance de cœurs, la leur par procuration, est mise en examen. Et alors ? Son sort n’est-il pas du ressort de la justice ? C’est selon…
De quel côté vous trouvez-vous ? Rachida est du métier, mais la maire en elle, y voit trouble, clame manigance ou complot, contre la politique qu’elle est. Une casquette tricolore qui sort à temps, peut-être à raison… y-a-t-il matière à rallier sa cause ? Oui.
L’approche des élections, et le LR en tête de course. On n’ouvre pas la chasse par le gros gibier, si des farceurs ne voient en Bertrand qu’un Fillon en gestation, poussent leurs dards jusqu’affubler de la même trappe à « costumes » ce « meneur » d’un temps…et celui d’après ?
D’autres, adeptes du « nivellement » par le bas, disent « casser » du LR en se ruant sur les « pièces » voisines, cette forteresse du « maître » candidat. Les médias diraient : Diabolisation. Une facilité ?
Et si Rachida cachait « mal » son « jeu » présidentiel ? Et si elle disait vrai ? Qui tiendrait ses fils qui remueraient le parquet en sa défaveur ? Il faut bien un instigateur non ? On connait la dent de Rachida contre le parti en place, « En marche » : un « ramassis » de traitres de gauches et de droites. Dit-elle à un mot près.
Peut-on seulement être plus coupant ? Si l’objet de dégoût de Rachida pouvait toucher un mot au parquet, que ne l’a-t-il pas fait pour qu’il lâche la grappe à Moretti ? Ou est-ce plus tortueux que cela ? Ou est-ce les juges qui se politisent ?
Mettons que ce « linge sale » que l’on couva pour l’occasion, fasse sauter la « candidate » en lice ? Et que « Tous pourris » soit l’estampille de LR ? Il n’en demeure pas moins que « linge sale » il y aurait… à tendre l’oreille…du côté du PNF.
Rachida, alors députée européenne, eut le malheur d’avoir côtoyé le « fanfaron » ou « le sauveur » selon les époques, une tête faite « d’étoiles », puis déchue : Carlos Ghosn.
L’ex-conseillère de Sarkozy, Pourquoi parler du président « Bling bling » ? c’est qu’il avait en horreur Carlos, mais pouvait-il seulement le mettre au pied ? Ce bon pourvoyeur d’emplois ? Non merci. C’est composer avec l’ennemi… N’est-ce pas l’entournure de la politique ?
Et Carlos de survivre à Sarkozy, à Holland, jusqu’à sa chute…Sacrifié par le président, jadis « Jupitérien » ? sur l’autel des relations nippones ? Mais qui sauva Nissan ? Parle-t-on « gratitude » au Japon ou très peu ? Passons…
Rachida Dati, aurait perçu la coquette somme de 900000 euros en deux ans chrono, de 2010 à 2012. À quel titre ? Et c’est là où le bât blesse…car pour faire du conseil juridique, il ne suffit pas d’être magistrat mais avocat ! Ce que Dati, dit-on, n’était pas…Pourquoi ? Elle n’aurait pas encore fait son serment d’avocat ! Subtil non ? Une forme à respecter…
Sur le fond, un doute est sitôt émis par le PNF sur la nature des prestations, et de conclure à un « emploi de complaisance ». En gros, une devanture pour camoufler ce qui s’apparenterait à du Lobbying. Un « trafic d’influence » pour favoriser la machine « Carlos Ghosn », lui faire gagner du territoire.
Et si ce fut une magouille ? Que ne l’a-t-on pas bien ficelé ? un excès de zèle ? d'où émanerait cette confiance excessive ? De un, la « tache » Dati fut couverte par le secret professionnel, de deux, même Nostradamus n’aurait pas prévu la chute de Carlos, ce gardien du temple et de tous les secrets.
Qui fit part au parquet de ce dérèglement ? Une actionnaire Renault, une fois le patron destitué. Sauf que l’État Français est aussi actionnaire, ne gardait-il pas un œil sur les comptes ? N’avait-il vent de l’affaire « Dati » ? Et si l'État était ce lanceur d’alerte ? À l’origine de cette plainte ? Plutôt pour enfoncer Carlos que pour tacler Rachida ? Ou c’est « d’une pierre deux coups » ?
Gardait-il ce « dossier » au chaud pour l’occasion ? N’est-ce pas toujours bon un « dossier » sous-main ? Aussi, pourquoi ce « conflit d’intérêt » ne fut pas « neutralisé » d’avance par la législation ? Pourquoi autoriser un député à doubler sa fonction de par l’exercice d’un métier porteur de conflit ?
Pour rappel, d’autres députés à l’époque furent avocats en exercice… Est-ce une brèche dans laquelle viendrait s’immiscer sur le tard, et au besoin, Dame justice, ou autres intéressés ?
Ou ce « conflit d’intérêt » suspendu sur la tête de tout un, reste soumis à l’appréciation du seul juge, appuyé par des approximations quelques fois biaisés ?
Car suffit-il que l’on soit garde des sceaux, que l’on ordonne des enquêtes administratives sur des magistrats avec lesquels nous eûmes embrouilles, pour que ces derniers, susceptibles ou pas... crient au scandale, au règlement de compte, et de là au conflit d’intérêt ? Ça vous rappelle quelqu’un ? L’actuel garde des sceaux bien sûr…Moretti.
C’est dire de la subtilité en la matière…n’est-ce pas là plutôt une faille juridique ? que des garde-fous se doivent être pensés pour parer, au mieux que l’on peut, contre l’équivoque ? Mieux vaut punir que prévenir ?
Pour Rachida Dati y eut-il conflit d’intérêt ? agrémentons cette question par lesdits prestations dont la nature ne serait pas clairement définie…cela mettrait-il à mal la « devanture » conseil ? pourvu que c’en soit une…
Les 900000 euros, ne tranchent-ils pas avec la réputation de « Cost Killer » décernée à Carlos ? N’est-ce pas la coupe dans la masse salariale de « Nissan » qui sauva Nissan de la faillite ?
Quoique de l’autre côté, le salaire " Ghosn" équivalait à 750 fois le smig, sa sœur aurait, dit-on, bénéficié d’un « emploi de complaisance » en tant que chargée d’actions caritatives, qu’au fil de ses années en poste quelques 70 millions d’euros auraient disparu de la circulation...
Était-ce un « dossier » qui l’attendait au coin ? à l’exemple de ceux supposés tels, précités ? Rachida risque-t-elle d’être lâchée par les siens à l’exemple de Carlos ?