Organisé par l’Association Essaouira Mogador, avec le soutien du Ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication du Maroc, de l’Ambassade d’Italie au Maroc et de l’Institut Culturel Italien de Rabat, ce festival promet une immersion unique dans l’univers riche et varié du cinéma transalpin. L’événement mettra à l’honneur les femmes et leurs contributions au septième art, tout en établissant un dialogue artistique entre l’Italie et le Maroc.
Une édition dédiée au cinéma féminin
Cette année, les femmes sont au cœur de la programmation, avec des œuvres qui célèbrent leur sensibilité, leur force et leur créativité. Parmi les films phares, le documentaire « Womeness » réalisé par Yvonne Sciò, occupe une place centrale. Ce film met en lumière la féminité à travers les portraits de cinq femmes d’exception : Dacia Maraini, Emma Bonino, Sussan Deyhim, Tomaso Binga et Setsuko Klossowska de Rola. Ces figures emblématiques incarnent différentes facettes de l’art et de l’engagement, offrant une perspective riche et nuancée sur le rôle des femmes dans la société et le cinéma.
Cette orientation s’inscrit dans la continuité de la précédente édition, qui avait attiré un public grandissant avec une affluence quotidienne dépassant les 1000 spectateurs. Cette fois encore, le festival promet de captiver les cinéphiles tout en sensibilisant à des thématiques universelles.
Un dialogue entre le cinéma marocain et italien
Une nouveauté majeure de cette édition est la mise en regard du cinéma marocain et italien. Le Maroc, dont le septième art connaît un essor remarquable sur la scène internationale, sera représenté à travers trois films emblématiques. Ces œuvres illustrent l’émergence d’une nouvelle génération de cinéastes marocains, visionnaires et audacieux. Comme le souligne Youness Ajarrai, critique de cinéma, le Maroc s’impose désormais comme une référence mondiale, grâce à des productions primées et au développement d’infrastructures modernes.
Ce dialogue entre les deux cultures cinématographiques vise à enrichir les échanges artistiques et à renforcer les liens historiques et culturels entre les deux pays. Il reflète également l’engagement du festival à promouvoir la diversité et la créativité.
Le cinéma au service des jeunes générations
En parallèle des projections, le festival met un point d’honneur à intégrer la jeunesse dans son programme. Chaque jour, 250 élèves auront l’opportunité d’assister à des projections adaptées à leur âge, accompagnées de guides explicatifs et de synopsis pour approfondir leur compréhension. Des masterclass animées par des professionnels du cinéma permettront également aux jeunes spectateurs de découvrir les coulisses du septième art et d’explorer les techniques cinématographiques.
Pour encourager leur créativité, un concours d’écriture de scénario sera organisé en mars 2025. Les trois lauréats verront leurs scénarios récompensés et mis en avant lors du festival. En point d’orgue, un court-métrage réalisé par les élèves sera projeté en clôture, témoignant de leur talent et de leur implication.
Un rendez-vous culturel incontournable
Placée sous la direction artistique de Laura Delli Colli, présidente du Syndicat des journalistes cinématographiques italiens, et de Giorgio Gosetti, critique et directeur de festivals, cette troisième édition promet une programmation riche et engagée. Entre projections, débats et rencontres, La Dolce Vita à Mogador s’impose comme un événement incontournable, tissant un pont culturel entre l’Italie et le Maroc. Cette initiative renforce le rôle d’Essaouira comme carrefour culturel et lieu de dialogue entre les civilisations.
À propos de l’Association Essaouira Mogador
Fondée en 1992 par André Azoulay, l’Association Essaouira Mogador œuvre à la préservation et à la valorisation du patrimoine culturel et historique d’Essaouira. Elle est à l’origine de plusieurs événements majeurs, dont le Festival Gnaoua et Musiques du Monde, le Printemps Musical des Alizés et les Andalousies Atlantiques. Avec La Dolce Vita à Mogador, l’association continue de promouvoir le dialogue interculturel et de contribuer au rayonnement socio-économique de la région.
Une édition dédiée au cinéma féminin
Cette année, les femmes sont au cœur de la programmation, avec des œuvres qui célèbrent leur sensibilité, leur force et leur créativité. Parmi les films phares, le documentaire « Womeness » réalisé par Yvonne Sciò, occupe une place centrale. Ce film met en lumière la féminité à travers les portraits de cinq femmes d’exception : Dacia Maraini, Emma Bonino, Sussan Deyhim, Tomaso Binga et Setsuko Klossowska de Rola. Ces figures emblématiques incarnent différentes facettes de l’art et de l’engagement, offrant une perspective riche et nuancée sur le rôle des femmes dans la société et le cinéma.
Cette orientation s’inscrit dans la continuité de la précédente édition, qui avait attiré un public grandissant avec une affluence quotidienne dépassant les 1000 spectateurs. Cette fois encore, le festival promet de captiver les cinéphiles tout en sensibilisant à des thématiques universelles.
Un dialogue entre le cinéma marocain et italien
Une nouveauté majeure de cette édition est la mise en regard du cinéma marocain et italien. Le Maroc, dont le septième art connaît un essor remarquable sur la scène internationale, sera représenté à travers trois films emblématiques. Ces œuvres illustrent l’émergence d’une nouvelle génération de cinéastes marocains, visionnaires et audacieux. Comme le souligne Youness Ajarrai, critique de cinéma, le Maroc s’impose désormais comme une référence mondiale, grâce à des productions primées et au développement d’infrastructures modernes.
Ce dialogue entre les deux cultures cinématographiques vise à enrichir les échanges artistiques et à renforcer les liens historiques et culturels entre les deux pays. Il reflète également l’engagement du festival à promouvoir la diversité et la créativité.
Le cinéma au service des jeunes générations
En parallèle des projections, le festival met un point d’honneur à intégrer la jeunesse dans son programme. Chaque jour, 250 élèves auront l’opportunité d’assister à des projections adaptées à leur âge, accompagnées de guides explicatifs et de synopsis pour approfondir leur compréhension. Des masterclass animées par des professionnels du cinéma permettront également aux jeunes spectateurs de découvrir les coulisses du septième art et d’explorer les techniques cinématographiques.
Pour encourager leur créativité, un concours d’écriture de scénario sera organisé en mars 2025. Les trois lauréats verront leurs scénarios récompensés et mis en avant lors du festival. En point d’orgue, un court-métrage réalisé par les élèves sera projeté en clôture, témoignant de leur talent et de leur implication.
Un rendez-vous culturel incontournable
Placée sous la direction artistique de Laura Delli Colli, présidente du Syndicat des journalistes cinématographiques italiens, et de Giorgio Gosetti, critique et directeur de festivals, cette troisième édition promet une programmation riche et engagée. Entre projections, débats et rencontres, La Dolce Vita à Mogador s’impose comme un événement incontournable, tissant un pont culturel entre l’Italie et le Maroc. Cette initiative renforce le rôle d’Essaouira comme carrefour culturel et lieu de dialogue entre les civilisations.
À propos de l’Association Essaouira Mogador
Fondée en 1992 par André Azoulay, l’Association Essaouira Mogador œuvre à la préservation et à la valorisation du patrimoine culturel et historique d’Essaouira. Elle est à l’origine de plusieurs événements majeurs, dont le Festival Gnaoua et Musiques du Monde, le Printemps Musical des Alizés et les Andalousies Atlantiques. Avec La Dolce Vita à Mogador, l’association continue de promouvoir le dialogue interculturel et de contribuer au rayonnement socio-économique de la région.