L'approbation de la FDA et les objectifs ambitieux de Neuralink :
Neuralink a obtenu l'approbation de la FDA plus tôt cette année pour tester ses implants cérébraux sur des humains. Les essais cliniques visent à démontrer la sécurité des dispositifs, avec l'objectif ultime de permettre aux personnes paralysées de contrôler des objets par la pensée. Bien que la société soit techniquement prête pour les interventions, aucun candidat n'a encore été retenu.
Les critères de sélection et la quête du patient idéal :
Alors que Neuralink vise à opérer 22 000 personnes d'ici 2030, elle prévoit de commencer avec 11 patients en 2024. Cependant, la recherche du patient idéal pour la première opération se révèle être un défi. Les critères spécifiques incluent un âge inférieur à 40 ans et une paralysie des quatre membres due à une lésion de la moelle épinière ou à une sclérose latérale amyotrophique.
L'engouement des volontaires et les controverses passées :
Malgré les critères stricts, des milliers de personnes ont exprimé leur intérêt pour les essais cliniques. Cette réponse positive survient malgré les controverses passées liées aux expérimentations animales de Neuralink, indiquant que le public semble avoir oublié les préoccupations antérieures.
L'innovation du Robot chirurgical :
Les opérations chez Neuralink seront effectuées par un robot chirurgical innovant. Cette approche vise à garantir une précision maximale pour minimiser les dommages aux tissus cérébraux. Équipé de caméras et de capteurs, le robot insérera des électrodes dans le cerveau des patients, évitant soigneusement les vaisseaux sanguins.
Les pressions d'Elon Musk et les précautions nécessaires :
Elon Musk aurait poussé pour réduire le temps d'intervention du robot et envisage même un scénario où la machine pourrait opérer sans l'aide d'un chirurgien humain. Malgré ces ambitions, la directrice des projets spéciaux de Neuralink souligne l'importance de la prudence dans cette approche novatrice.
Neuralink a obtenu l'approbation de la FDA plus tôt cette année pour tester ses implants cérébraux sur des humains. Les essais cliniques visent à démontrer la sécurité des dispositifs, avec l'objectif ultime de permettre aux personnes paralysées de contrôler des objets par la pensée. Bien que la société soit techniquement prête pour les interventions, aucun candidat n'a encore été retenu.
Les critères de sélection et la quête du patient idéal :
Alors que Neuralink vise à opérer 22 000 personnes d'ici 2030, elle prévoit de commencer avec 11 patients en 2024. Cependant, la recherche du patient idéal pour la première opération se révèle être un défi. Les critères spécifiques incluent un âge inférieur à 40 ans et une paralysie des quatre membres due à une lésion de la moelle épinière ou à une sclérose latérale amyotrophique.
L'engouement des volontaires et les controverses passées :
Malgré les critères stricts, des milliers de personnes ont exprimé leur intérêt pour les essais cliniques. Cette réponse positive survient malgré les controverses passées liées aux expérimentations animales de Neuralink, indiquant que le public semble avoir oublié les préoccupations antérieures.
L'innovation du Robot chirurgical :
Les opérations chez Neuralink seront effectuées par un robot chirurgical innovant. Cette approche vise à garantir une précision maximale pour minimiser les dommages aux tissus cérébraux. Équipé de caméras et de capteurs, le robot insérera des électrodes dans le cerveau des patients, évitant soigneusement les vaisseaux sanguins.
Les pressions d'Elon Musk et les précautions nécessaires :
Elon Musk aurait poussé pour réduire le temps d'intervention du robot et envisage même un scénario où la machine pourrait opérer sans l'aide d'un chirurgien humain. Malgré ces ambitions, la directrice des projets spéciaux de Neuralink souligne l'importance de la prudence dans cette approche novatrice.