À fin 2023, 23.000 personnes vivaient avec le VIH au Maroc
Le dernier rapport national sur le VIH au Maroc révèle qu’à fin 2023, environ 23.000 personnes vivent avec le virus, dont 970 nouvelles infections et 390 décès enregistrés au cours de l’année. Bien que ces chiffres marquent une baisse par rapport aux années précédentes, notamment grâce aux campagnes de sensibilisation et à l’accès élargi aux traitements antirétroviraux, le défi reste de taille.
Les populations vulnérables, comme les travailleurs du sexe ou les usagers de drogues injectables, sont particulièrement touchées. Cependant, les tabous sociaux et la stigmatisation continuent de freiner la lutte contre le VIH. "La peur d’être marginalisé pousse de nombreux malades à ne pas se faire diagnostiquer ou traiter", explique un responsable d’une ONG locale.
Comparé à d’autres pays de la région, le Maroc affiche des progrès notables grâce à une stratégie nationale intégrant prévention, traitement et inclusion sociale. Pourtant, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour atteindre les objectifs fixés par l’ONU.
La baisse des nouvelles infections est encourageante, mais le combat contre le VIH nécessite un engagement collectif durable. À court terme, renforcer l’éducation sanitaire dans les zones rurales est une priorité. À long terme, une sensibilisation accrue pourrait éradiquer les discriminations et sauver des vies.
Les populations vulnérables, comme les travailleurs du sexe ou les usagers de drogues injectables, sont particulièrement touchées. Cependant, les tabous sociaux et la stigmatisation continuent de freiner la lutte contre le VIH. "La peur d’être marginalisé pousse de nombreux malades à ne pas se faire diagnostiquer ou traiter", explique un responsable d’une ONG locale.
Comparé à d’autres pays de la région, le Maroc affiche des progrès notables grâce à une stratégie nationale intégrant prévention, traitement et inclusion sociale. Pourtant, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour atteindre les objectifs fixés par l’ONU.
La baisse des nouvelles infections est encourageante, mais le combat contre le VIH nécessite un engagement collectif durable. À court terme, renforcer l’éducation sanitaire dans les zones rurales est une priorité. À long terme, une sensibilisation accrue pourrait éradiquer les discriminations et sauver des vies.