Ceci vaut cela ?
Le lien entre les migrants marocains déferlés sur l’enclave de Sebta et la complicité avérée de l’Espagne d’avec le dissident-tortionnaire-faussaire « Ghali » chéri-atterri sur son sol, sous couvert de « raison humanitaire », alors qu’un mandat de recherche court à ses trousses, n’est plus à démontrer…
D’abord, l’opinion publique, soucieuse des tournures Maroco-espagnoles, s’est vite accaparée cet évènement pour en faire une conviction.
Une conviction qui vaut par sa concision « Ceci vaut cela !».
Le scénario des accointances entre Madrid et Alger a lourdement pris sur nos concitoyens. En ressort ce lien imparable entre les agissements de l’Espagne d’un côté, et la masse migrante lâchée en partance pour le territoire « allié »...du moins sur papier.
De même entend-on qu'une ligne maritime entre Oran et Melilia viendrait empoisonner les rapports déjà entamés...
Comprenne qui pourra…
Nos concitoyens, loin de lésiner sur les tours fin prêts de leurs cocasseries, ont marqué du rire de la : « raison humanitaire », nos migrants en masse…Un autre « Ceci vaut cela ! » .
Place aux officialités, notre ambassadrice, à l’issu des pourparlers avec la cheffe de diplomatie Espagnole, ne laissa de souligner ce qui va…de côté.
Des mots crus et allusifs, qui accourent conforter l’idée prégnante du « ceci vaut cela ! ». Des mots qui rappellent les conséquences d’une action… comprenne qui pourra.
De même, notre ambassadrice fut illico presto convoquée à Rabat pour consultations. Une convocation, dit-on, d’une autre paire de manche, où les migrants en masse seraient accessoires, advenue suite au délai imparti à Madrid pour tirer au clair l’affaire « Ghali ».
Une affaire où Madrid se rebiffe, peine à rayer du menu fade, desservi à vous soulever ce cœur d’amitié…
Un menu où le plat du jour n’est autre que cette « raison humanitaire » saucée d’avec un concentré de mauvaise foi.
Le lien entre les migrants marocains déferlés sur l’enclave de Sebta et la complicité avérée de l’Espagne d’avec le dissident-tortionnaire-faussaire « Ghali » chéri-atterri sur son sol, sous couvert de « raison humanitaire », alors qu’un mandat de recherche court à ses trousses, n’est plus à démontrer…
D’abord, l’opinion publique, soucieuse des tournures Maroco-espagnoles, s’est vite accaparée cet évènement pour en faire une conviction.
Une conviction qui vaut par sa concision « Ceci vaut cela !».
Le scénario des accointances entre Madrid et Alger a lourdement pris sur nos concitoyens. En ressort ce lien imparable entre les agissements de l’Espagne d’un côté, et la masse migrante lâchée en partance pour le territoire « allié »...du moins sur papier.
De même entend-on qu'une ligne maritime entre Oran et Melilia viendrait empoisonner les rapports déjà entamés...
Comprenne qui pourra…
Nos concitoyens, loin de lésiner sur les tours fin prêts de leurs cocasseries, ont marqué du rire de la : « raison humanitaire », nos migrants en masse…Un autre « Ceci vaut cela ! » .
Place aux officialités, notre ambassadrice, à l’issu des pourparlers avec la cheffe de diplomatie Espagnole, ne laissa de souligner ce qui va…de côté.
Des mots crus et allusifs, qui accourent conforter l’idée prégnante du « ceci vaut cela ! ». Des mots qui rappellent les conséquences d’une action… comprenne qui pourra.
De même, notre ambassadrice fut illico presto convoquée à Rabat pour consultations. Une convocation, dit-on, d’une autre paire de manche, où les migrants en masse seraient accessoires, advenue suite au délai imparti à Madrid pour tirer au clair l’affaire « Ghali ».
Une affaire où Madrid se rebiffe, peine à rayer du menu fade, desservi à vous soulever ce cœur d’amitié…
Un menu où le plat du jour n’est autre que cette « raison humanitaire » saucée d’avec un concentré de mauvaise foi.
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Comme un « Messi »...L'Espagne s'essaie au dribble
Toutefois, cette consultation ne saurait être une coïncidence de calendrier…
C’est dire que les échanges à peine mouchetés entre l’ambassadrice et la cheffe de diplomatie butent en touche, que l’espoir escompté va de biais...
Pour rappel, pas de mesures conservatoires à l’égard du tortionnaire…le « cher-contre-tous » dispose toujours de « son » passeport…
Autre son de cloche du côté de Madrid, qui, à scruter ses « contournements » de cette flambée migrante, oppose un niet implacable au lien pressenti entre ce « lâché » d’immigrés, et cette affaire qui lui est « cher » à l’égale du sujet éponyme.
Ce « Ghali » pour qui on sacrifie sur l’autel du gaz algérien ? les relations entre Rabat et Madrid.
Preuve de cette diversion, ce déni sournois de la cheffe de diplomatie qui, après avoir joué sur les cordes creuses et expéditives : Nous n’avons rien à rajouter ! Vivement que « la raison humanitaire » suffise pour nous duper ! use, à cette heure déferlante, d’une empathie sur fond diabolisant : Je ne crois pas que le Maroc enverrait ses enfants mourir rien pour nous reprocher notre « raison humanitaire ».
Et de rajouter : « On m’a assuré que ce n’est pas le cas… »
Un « Ghali » qui coûte « cher »…
De son côté, le gouvernement Espagnol a jugé bon de taire cette affaire « humanitaire » au profit d’une simple contrainte pécuniaire, et d’allouer en vitesse une trentaine de millions d’euros au Maroc pour surveiller ses frontières.
Ce ne serait qu’une question d’argent…
L’Espagne aurait-elle péché par suffisance ? Pour elle, La garde aux frontières serait-elle chose acquise ? Ou c’est là que le qualificatif d’ « allié » prend de la hauteur ?
L’habitude est mauvaise conseillère… se rajoute à cette mauvaise facture, de cette main retirée… à l’initiative de nos services de renseignements.
Qu’est-ce qu’il coûte cher ce « Ghali » ! Triste pléonasme…
Hicham Aboumerrouane
Toutefois, cette consultation ne saurait être une coïncidence de calendrier…
C’est dire que les échanges à peine mouchetés entre l’ambassadrice et la cheffe de diplomatie butent en touche, que l’espoir escompté va de biais...
Pour rappel, pas de mesures conservatoires à l’égard du tortionnaire…le « cher-contre-tous » dispose toujours de « son » passeport…
Autre son de cloche du côté de Madrid, qui, à scruter ses « contournements » de cette flambée migrante, oppose un niet implacable au lien pressenti entre ce « lâché » d’immigrés, et cette affaire qui lui est « cher » à l’égale du sujet éponyme.
Ce « Ghali » pour qui on sacrifie sur l’autel du gaz algérien ? les relations entre Rabat et Madrid.
Preuve de cette diversion, ce déni sournois de la cheffe de diplomatie qui, après avoir joué sur les cordes creuses et expéditives : Nous n’avons rien à rajouter ! Vivement que « la raison humanitaire » suffise pour nous duper ! use, à cette heure déferlante, d’une empathie sur fond diabolisant : Je ne crois pas que le Maroc enverrait ses enfants mourir rien pour nous reprocher notre « raison humanitaire ».
Et de rajouter : « On m’a assuré que ce n’est pas le cas… »
Un « Ghali » qui coûte « cher »…
De son côté, le gouvernement Espagnol a jugé bon de taire cette affaire « humanitaire » au profit d’une simple contrainte pécuniaire, et d’allouer en vitesse une trentaine de millions d’euros au Maroc pour surveiller ses frontières.
Ce ne serait qu’une question d’argent…
L’Espagne aurait-elle péché par suffisance ? Pour elle, La garde aux frontières serait-elle chose acquise ? Ou c’est là que le qualificatif d’ « allié » prend de la hauteur ?
L’habitude est mauvaise conseillère… se rajoute à cette mauvaise facture, de cette main retirée… à l’initiative de nos services de renseignements.
Qu’est-ce qu’il coûte cher ce « Ghali » ! Triste pléonasme…
Hicham Aboumerrouane