Cette décision fait suite à une vague de mécontentement parmi les consommateurs, exacerbée par la hausse vertigineuse des prix des boissons et aliments, certains ayant même doublé. Par exemple, le prix du kilogramme de café en grains est passé de 60 à 120 dirhams, impactant directement le coût d’une tasse de café, désormais vendue jusqu'à 25 dirhams contre 8 dirhams auparavant.
Cette situation a poussé les associations de protection des consommateurs à dénoncer ce qu'elles considèrent comme une exploitation injuste de la situation économique par les restaurateurs et fournisseurs. Le Conseil de la concurrence a promis une enquête approfondie pour identifier les responsables et prendre les mesures nécessaires pour protéger les consommateurs. Cette affaire met en lumière les défis économiques actuels du Maroc, où l'inflation et la hausse des prix pèsent de plus en plus sur le pouvoir d'achat des citoyens.
Cette situation a poussé les associations de protection des consommateurs à dénoncer ce qu'elles considèrent comme une exploitation injuste de la situation économique par les restaurateurs et fournisseurs. Le Conseil de la concurrence a promis une enquête approfondie pour identifier les responsables et prendre les mesures nécessaires pour protéger les consommateurs. Cette affaire met en lumière les défis économiques actuels du Maroc, où l'inflation et la hausse des prix pèsent de plus en plus sur le pouvoir d'achat des citoyens.