Par Adnane Benchakroun
Un voyage au cœur de moi-même, un explorateur.
Dans un monde où l'émotion est souvent réprimée,
Je choisis de les embrasser, dans leur beauté affirmée.
La colère, flamme ardente de mon être,
N'est plus un fardeau, mais un moteur à connaître.
Elle forge ma volonté, éclaire ma route,
Dans les défis de la vie, elle est ma voûte.
Je m'énerve, je crie, non pas en vain,
Mais pour atteindre mes objectifs, main dans la main.
Comme l'ont montré ces études, si éclairantes,
La colère est une force, parfois déroutante.
Puis, il y a la rêverie, douce évasion,
Un monde où je me perds sans hésitation.
Dans le labyrinthe de mes pensées vagabondes,
Je trouve des idées, des solutions fécondes.
La rêverie n'est pas une perte de temps,
Mais un jardin secret, florissant et charmant.
Elle nourrit mon esprit, étend mon horizon,
Dans ce monde pressé, elle est ma chanson.
Et la paresse, souvent méprisée,
Est en réalité une alliée appréciée.
Elle me rappelle de ralentir, de respirer,
Dans la course de la vie, de me reposer.
Ce n'est pas de la faiblesse, mais une sagesse,
Un moment pour moi, une douce caresse.
Comme l'hiver invite au sommeil prolongé,
La paresse est un cycle, naturellement réglé.
En 2024, je ne serai pas un robot,
Je serai humain, avec mes hauts et mes bas,
Embrassant colère, rêverie et paresse,
Pour une vie plus riche, pleine de promesses.
Je naviguerai dans ces émotions avec art,
Chaque sentiment jouant son propre rôle, sa part.
Dans cette symphonie de l'âme humaine,
Je trouverai ma force, ma voie sereine.
Alors, en cette année nouvelle,
Je choisis de vivre, pas seulement de survivre.
En colère, en rêve, en repos, je m'éveille,
Pour un 2024 où je choisis de vraiment vivre.
Dans un monde où l'émotion est souvent réprimée,
Je choisis de les embrasser, dans leur beauté affirmée.
La colère, flamme ardente de mon être,
N'est plus un fardeau, mais un moteur à connaître.
Elle forge ma volonté, éclaire ma route,
Dans les défis de la vie, elle est ma voûte.
Je m'énerve, je crie, non pas en vain,
Mais pour atteindre mes objectifs, main dans la main.
Comme l'ont montré ces études, si éclairantes,
La colère est une force, parfois déroutante.
Puis, il y a la rêverie, douce évasion,
Un monde où je me perds sans hésitation.
Dans le labyrinthe de mes pensées vagabondes,
Je trouve des idées, des solutions fécondes.
La rêverie n'est pas une perte de temps,
Mais un jardin secret, florissant et charmant.
Elle nourrit mon esprit, étend mon horizon,
Dans ce monde pressé, elle est ma chanson.
Et la paresse, souvent méprisée,
Est en réalité une alliée appréciée.
Elle me rappelle de ralentir, de respirer,
Dans la course de la vie, de me reposer.
Ce n'est pas de la faiblesse, mais une sagesse,
Un moment pour moi, une douce caresse.
Comme l'hiver invite au sommeil prolongé,
La paresse est un cycle, naturellement réglé.
En 2024, je ne serai pas un robot,
Je serai humain, avec mes hauts et mes bas,
Embrassant colère, rêverie et paresse,
Pour une vie plus riche, pleine de promesses.
Je naviguerai dans ces émotions avec art,
Chaque sentiment jouant son propre rôle, sa part.
Dans cette symphonie de l'âme humaine,
Je trouverai ma force, ma voie sereine.
Alors, en cette année nouvelle,
Je choisis de vivre, pas seulement de survivre.
En colère, en rêve, en repos, je m'éveille,
Pour un 2024 où je choisis de vraiment vivre.