D’emblée, l’on retiendra que « globalement ces besoins sont estimés à un financement à 80 % sur le marché intérieur et 20 % sur le marché extérieur », et ce, par le biais de mécanismes de financement habituel à l'extérieur avec les partenaires bilatéraux ou multilatéraux habituels, ainsi que toutes les solutions sur le marché intérieur qui, de l’avis de Mme. Nadia Fettah, " n'a posé aucun problème même ces deux années en termes de crise".
Traitant de l’emprunt national et de la sortie à l’international, la ministre estime que c’est une question du timing et du moment opportun pour tirer profit de bonnes conditions financières et des taux de sursouscriptions importants à l’image de ce qui a été fait en 2021.
Une manière aussi de suivre comment vont se comporter les marchés l’année prochaine et être à même d’arbitrer entre des solutions internes et externes pour aboutir aux meilleurs équilibres et conditions de financement.
La même démarche serait adoptée pour ce qui est de la mobilisation du financement intérieur moyennant l’emprunt national, dans la mesure où il est aussi question, de par l’importance de l’épargne dans le mécanisme de financement, d’opter pour le moment opportun pour chacune des parties concernées que ce soit de point de vue du budget de l'Etat ou des intérêts des épargnants.
Coté financement, Mme. Fettah rassure : "Aujourd’hui, nous avons toutes les assurances que le financement de ce programme (PLF) est assuré avec les mécanismes que nous avons aujourd’hui et avec ce que nous avons enclenché avec nos partenaires et pour les opportunités supplémentaires, nous sommes à l’écoute du marché."
Et c’est justement cette écoute du marché et, une nouvelle fois, l’éventuelle opportunité qui en découle, qui finalement, permettrait de procéder à un arbitrage entre actifs et décider du devenir du portefeuille de l’Etat que ce soit en termes de privatisations ou en termes de PPP, Partenariat Public Privé.
N’empêche qu’un chiffre est déjà annoncé le processus de privatisation porte, au titre de l’exercice 2022, sur un montant total estimé à 8 milliards de dirhams.
Traitant de l’emprunt national et de la sortie à l’international, la ministre estime que c’est une question du timing et du moment opportun pour tirer profit de bonnes conditions financières et des taux de sursouscriptions importants à l’image de ce qui a été fait en 2021.
Une manière aussi de suivre comment vont se comporter les marchés l’année prochaine et être à même d’arbitrer entre des solutions internes et externes pour aboutir aux meilleurs équilibres et conditions de financement.
La même démarche serait adoptée pour ce qui est de la mobilisation du financement intérieur moyennant l’emprunt national, dans la mesure où il est aussi question, de par l’importance de l’épargne dans le mécanisme de financement, d’opter pour le moment opportun pour chacune des parties concernées que ce soit de point de vue du budget de l'Etat ou des intérêts des épargnants.
Coté financement, Mme. Fettah rassure : "Aujourd’hui, nous avons toutes les assurances que le financement de ce programme (PLF) est assuré avec les mécanismes que nous avons aujourd’hui et avec ce que nous avons enclenché avec nos partenaires et pour les opportunités supplémentaires, nous sommes à l’écoute du marché."
Et c’est justement cette écoute du marché et, une nouvelle fois, l’éventuelle opportunité qui en découle, qui finalement, permettrait de procéder à un arbitrage entre actifs et décider du devenir du portefeuille de l’Etat que ce soit en termes de privatisations ou en termes de PPP, Partenariat Public Privé.
N’empêche qu’un chiffre est déjà annoncé le processus de privatisation porte, au titre de l’exercice 2022, sur un montant total estimé à 8 milliards de dirhams.