Elon Musk demande la vente aux enchères d’une partie de la participation d’OpenAI dans le cadre d’une bataille juridique
Pour comprendre cette bataille judiciaire, il faut remonter à 2018, année où Elon Musk quitte OpenAI, une organisation qu’il avait cofondée. À l’époque, Musk justifie son départ en invoquant des divergences stratégiques et des préoccupations éthiques. Mais depuis, OpenAI, sous la direction de Sam Altman, a pris un virage commercial en collaborant étroitement avec Microsoft, notamment pour le développement et la monétisation de ChatGPT. Ce succès fulgurant a suscité des critiques, mais aussi des accusations. Musk estime qu’OpenAI, avec le soutien de Microsoft, adopte des pratiques anticoncurrentielles, freinant l’innovation et limitant l’accès équitable aux technologies d’intelligence artificielle.
Le milliardaire, désormais à la tête de xAI, une entreprise concurrente spécialisée dans l’IA, a monté un dossier solide pour attaquer OpenAI en justice. Le mois dernier, il avait déjà reçu le soutien d’Encode, une organisation à but non lucratif prônant une IA éthique et transparente. Aujourd’hui, ce sont deux autorités publiques américaines qui se rangent à ses côtés, renforçant son argumentaire et donnant une dimension institutionnelle à ce conflit.
Ce soutien pourrait avoir des répercussions majeures sur l’issue du procès, mais aussi sur l’avenir de la régulation de l’intelligence artificielle. Il met en lumière des enjeux cruciaux : la concentration des pouvoirs technologiques, la concurrence équitable et les implications éthiques des avancées en IA.
Le milliardaire, désormais à la tête de xAI, une entreprise concurrente spécialisée dans l’IA, a monté un dossier solide pour attaquer OpenAI en justice. Le mois dernier, il avait déjà reçu le soutien d’Encode, une organisation à but non lucratif prônant une IA éthique et transparente. Aujourd’hui, ce sont deux autorités publiques américaines qui se rangent à ses côtés, renforçant son argumentaire et donnant une dimension institutionnelle à ce conflit.
Ce soutien pourrait avoir des répercussions majeures sur l’issue du procès, mais aussi sur l’avenir de la régulation de l’intelligence artificielle. Il met en lumière des enjeux cruciaux : la concentration des pouvoirs technologiques, la concurrence équitable et les implications éthiques des avancées en IA.