Le président de l’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa, a annoncé, le 20 février, la tenue des élections nationales le 29 mai, au moment où les sondages montrent que son parti, le Congrès national africain (ANC), pourrait probablement perdre la majorité depuis son arrivée au pouvoir, il y a 30 ans.
L’économie sud-africaine est, en effet, dans un piteux état et le taux de chômage a atteint un record. Les ménages et les entreprises souffrent, par ailleurs, de coupures fréquentes du courant électrique.
Sans majorité pour constituer seul un gouvernement, l’ANC va se trouver dans l’obligation de former une coalition afin de permettre au président Ramaphosa d’exercer un 2ème et dernier mandat.
L’économie sud-africaine est, en effet, dans un piteux état et le taux de chômage a atteint un record. Les ménages et les entreprises souffrent, par ailleurs, de coupures fréquentes du courant électrique.
Sans majorité pour constituer seul un gouvernement, l’ANC va se trouver dans l’obligation de former une coalition afin de permettre au président Ramaphosa d’exercer un 2ème et dernier mandat.