Virus crawlé
Le gouvernement espagnol de Pedro Sanchez a fait très fort avec son dernier décret sur le port du masque obligatoire étendu à l’ensemble du territoire.
Désormais, sur les plages d’Espagne, il faut aussi garder son masque au visage en allant se tremper dans l’eau !
Vous connaissiez déjà le maillot de bain, voilà désormais le masque de bain.
Aucune instruction, toutefois, n’a été donnée concernant l’usage du gel hydroalcoolique.
On ne sait, en effet, pas s’il faut s’en enduire le corps tout entier avant de se baigner, et ce afin d’éviter d’entrer en contact avec un virus qui serait en train de faire quelques brasses.
Désormais, sur les plages d’Espagne, il faut aussi garder son masque au visage en allant se tremper dans l’eau !
Vous connaissiez déjà le maillot de bain, voilà désormais le masque de bain.
Aucune instruction, toutefois, n’a été donnée concernant l’usage du gel hydroalcoolique.
On ne sait, en effet, pas s’il faut s’en enduire le corps tout entier avant de se baigner, et ce afin d’éviter d’entrer en contact avec un virus qui serait en train de faire quelques brasses.
Raison masquée
Il va sans dire que les professionnels du tourisme dans les stations balnéaires et les gouvernements locaux qui en tirent des recettes fiscales n’ont pas du tout apprécié cette disposition excessive du gouvernement Sanchez.
C’est à se demander si Madrid ne cherche pas, avec des mesures stupides, à pousser à bout ses citoyens, dont certains prêtent déjà oreille attentive aux élucubrations des théoriciens du complot.
Des manifestants ont, en effet, battu le pavé, fin janvier, au centre de la capitale ibérique, tellement asphyxiés par les restrictions imposés par leur gouvernement qu’ils en étaient arrivés à crier que le virus n’existe même pas !
C’est à se demander si Madrid ne cherche pas, avec des mesures stupides, à pousser à bout ses citoyens, dont certains prêtent déjà oreille attentive aux élucubrations des théoriciens du complot.
Des manifestants ont, en effet, battu le pavé, fin janvier, au centre de la capitale ibérique, tellement asphyxiés par les restrictions imposés par leur gouvernement qu’ils en étaient arrivés à crier que le virus n’existe même pas !
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Effet inversé
Les dispositions radicales prises pour assurer la sécurité sanitaire des citoyens perdent de leur crédibilité quand quelques unes d’entre elles s’opposent au bon sens commun, sans parler de l’hérésie scientifique qu’elles constituent.
Comme le dit le proverbe arabe : « quand une chose dépasse sa limite, elle se transforme en son contraire ».
Comme le dit le proverbe arabe : « quand une chose dépasse sa limite, elle se transforme en son contraire ».