Par Adnane Benchakroun
Les Marocains sont là, par force écologistes,
Économisant l’eau, devenant alchimistes,
Chaque goutte précieuse, chaque geste est compté,
Leur quotidien change, leur vie transformée.
Se laver chaque jour, un luxe oublié,
Les corps s’adaptent bien à ce monde altéré,
L’aube et ses fraîches lueurs lavent leurs visages,
Leurs âmes se contentent de ce doux partage.
La viande trop chère fait d’eux des végétariens,
Les légumes et fruits remplissent leurs matins,
Le poulet incertain, ses prix montent et descendent,
Les marchés sont des jeux où les règles s’étendent.
Le poisson, trésor rare, au-delà de la mer,
Pour une sardine, il faut franchir la lumière,
Adieu ces merlans d’or, souvenirs d’enfance,
Aller en Espagne garde leurs espérances.
Les desserts retirés des repas quotidiens,
Aux noces et fêtes, un luxe ancien,
Seul un mariage offre une part sucrée,
Les jours de festin sont alors honorés.
Les légumes et fruits, comme caviar iranien,
Les prix s’envolent, un poids pour les anciens,
Les naturopathes sourient, leurs doctrines louées,
Les protides végétales enfin glorifiées.
Le ministre de la santé, son fardeau levé,
L’obésité s’efface, un mal dissipé,
Les conseils nutritionnels trouvent leur chemin,
Le Maroc s’allège, en santé il se maintient.
Ainsi va le monde, demandant résilience,
Chaque étage impose une dure résistance,
Les Marocains s’adaptent, leur courage immense,
Leur avenir vert brille d’une nouvelle essence.
Les montagnes hautes observent, impassibles,
Leur peuple se transforme, aux gestes indicibles,
Contre le gaspillage, une lutte honorable,
Leur marche vers l’avenir est irrémédiable.
Le soleil se couche, illuminant la terre,
Les âmes reposent, un instant de lumière,
Écologistes par force, ils embrassent le destin,
Et bâtissent l’avenir d’un monde plus humain.
Sous un ciel étoilé, en silence et en paix,
Les Marocains méditent sur leurs nouveaux projets,
Demain sera plus vert, demain sera plus grand,
En harmonie avec la nature et le temps.
Économisant l’eau, devenant alchimistes,
Chaque goutte précieuse, chaque geste est compté,
Leur quotidien change, leur vie transformée.
Se laver chaque jour, un luxe oublié,
Les corps s’adaptent bien à ce monde altéré,
L’aube et ses fraîches lueurs lavent leurs visages,
Leurs âmes se contentent de ce doux partage.
La viande trop chère fait d’eux des végétariens,
Les légumes et fruits remplissent leurs matins,
Le poulet incertain, ses prix montent et descendent,
Les marchés sont des jeux où les règles s’étendent.
Le poisson, trésor rare, au-delà de la mer,
Pour une sardine, il faut franchir la lumière,
Adieu ces merlans d’or, souvenirs d’enfance,
Aller en Espagne garde leurs espérances.
Les desserts retirés des repas quotidiens,
Aux noces et fêtes, un luxe ancien,
Seul un mariage offre une part sucrée,
Les jours de festin sont alors honorés.
Les légumes et fruits, comme caviar iranien,
Les prix s’envolent, un poids pour les anciens,
Les naturopathes sourient, leurs doctrines louées,
Les protides végétales enfin glorifiées.
Le ministre de la santé, son fardeau levé,
L’obésité s’efface, un mal dissipé,
Les conseils nutritionnels trouvent leur chemin,
Le Maroc s’allège, en santé il se maintient.
Ainsi va le monde, demandant résilience,
Chaque étage impose une dure résistance,
Les Marocains s’adaptent, leur courage immense,
Leur avenir vert brille d’une nouvelle essence.
Les montagnes hautes observent, impassibles,
Leur peuple se transforme, aux gestes indicibles,
Contre le gaspillage, une lutte honorable,
Leur marche vers l’avenir est irrémédiable.
Le soleil se couche, illuminant la terre,
Les âmes reposent, un instant de lumière,
Écologistes par force, ils embrassent le destin,
Et bâtissent l’avenir d’un monde plus humain.
Sous un ciel étoilé, en silence et en paix,
Les Marocains méditent sur leurs nouveaux projets,
Demain sera plus vert, demain sera plus grand,
En harmonie avec la nature et le temps.
A écouter en musique
Les Marocains, contraints par les circonstances, deviennent écologistes en économisant chaque goutte d'eau, rendant le lavage quotidien un luxe oublié.
Face au coût prohibitif de la viande, ils adoptent un régime végétarien, même si les prix du poulet varient. Le poisson devient rare, nécessitant des traversées de la Méditerranée pour des achats moins chers, évoquant la nostalgie des sardines et merlans d'enfance. Les desserts disparaissent des repas, n'apparaissant que lors de mariages. Les fruits et légumes deviennent coûteux comme du caviar iranien. Les naturopathes, prônant depuis longtemps les protides végétales, voient leurs conseils enfin suivis. Le ministre de la Santé n'a plus besoin de lutter contre l'obésité. Les Marocains, résilients, s'adaptent à ces changements imposés par le monde, marchant vers un avenir plus vert, en harmonie avec la nature, malgré une révolte intérieure face à ces contraintes.